Mon compte
    La Grande Bellezza
    Note moyenne
    4,0
    2684 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Grande Bellezza ?

    265 critiques spectateurs

    5
    58 critiques
    4
    89 critiques
    3
    45 critiques
    2
    35 critiques
    1
    22 critiques
    0
    16 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juillet 2013
    Un bijou, un film magnifique à ne pas rater:miroir d'une société décadente sous un œil détaché et pas moralisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 juillet 2013
    Un mot : magnifique ! Du grand cinéma. De grand acteurs.
    Dans la droite ligne de Roma de Fellini.
    beatrice .
    beatrice .

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juillet 2013
    la grande belleza, c'est l'Italie, sa beauté romantique et la capacité des italiens a se ficher de tout...c'est un très beau film (esthétique met parlant) avec de très belles images et de superbes acteurs .
    Jean-Sébastien D
    Jean-Sébastien D

    22 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juillet 2013
    Il y a toute l'Italie de Fellini à Passolini sans oublier Antonioni. L'amour des mouvements, de la lumière, de la musique. Une Rome comme on la rêve et comme on la déteste. Aussi beau que l'identification d'une femme.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 juillet 2013
    Magnifique film: superbe photographie avec des plans sublimes et des cadrages impressionnants et toujours justes, de très nombreux messages qui font réfléchir sur le sens de la vie, de la routine, de la nostalgie et j'en passe, et enfin un personnage principal
    magnifiquement interprété, drôle et touchant. A voir absolument!
    L_huitre
    L_huitre

    82 abonnés 354 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 juillet 2013
    Le film de l'année. Quelle merveille ! Ce film rare et peu couru du grand public est un petit plaisir qu'il faut faire l'effort d'aller chercher dans une salle d'art et d'essai. Mais dès les premières minutes, il vous enchante littéralement. Par son optimisme, son ton décalé, le jeu fiévreux et, en même temps, nonchalant des personnages. C'est absolument étonnant. Une farandole de scènes qui vous emporte dans un grand tourbillon, qui fait penser bien sûr à Fellini. Mais un Fellini qui serait plus humain, plus proche de nous, plus digeste que l'original. Mais en revanche, on y trouve la même gourmandise, la même italièneté désopilante, le même Rome éternelle qui vous captive et vous émoustille. Et quel humour ! On a des scènes d'une cruauté réjouissante. Et ici ou là, explosent quelques grenades bien senties contre les débordements et les hypocrisies de la société italienne. On assiste au jeu de massacre le sourire aux lèvres ( Ah ! Cette scène où une femme intellectuelle se fait dézinguer en public par le vieux Jap, C'est génial ! ). Même si elles gravitent autour du vieil auteur, les femmes tiennent une place considérable dans le film. Elles sont belles, généreuses, séduisantes ( apparition inattendue de Fanny Ardant ), démonstratives... Mais c'est sans conteste Tony Servillo qui porte le film sur ses épaules. Il promène son cynisme et son air désabusé avec un naturel incroyable. Il donne vraiment corps à son personnage. Et il transmet étonnamment bien au spectateur ses questionnement métaphysiques d'un homme dont l'essentiel de sa vie est derrière lui. Que dire de plus ? Il faut aller voir ce film ! C'est une évidence... Un film dont j'attends avec impatience la sortie du DVD. Rien que pour me replonger dans le délire de la fête du début. Ou pour ré-apprivoiser Rome avec cette caméra au raz du bitume. Superbe !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 juillet 2013
    Insupportable d'insipidité, j'ai du partir au bout d'une heure.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 juin 2013
    C'est une vision neuve du cinéma, habilement réalisée, fastueusement filmée. Souvent, on sortant d'une salle on "se fait des références personnelles": ça me fait penser à ci, ça évoque tel ou telle réalisateur, la photographie évoque tel film......Ici rien de tout cela. je ne me souviens pas avoir vu un film similaire. Ce sentiment du "vraiment nouveau" est extrêmement agréable, du moins je le ressens ainsi, pour les amoureux du cinéma.
    Certain vivront péniblement cette absence de référence, et ce sera long (> 2 heures !) mais, et les critiques pro. et amateurs le prouvent, ceux là seront peu nombreux !!
    Julie T
    Julie T

    43 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 juin 2013
    tjs aussi bon réalisateur
    , ms on se fiche un peu de ce que son personnage a a nous raconter...Dommage
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2013
    Fellinien, évidemment, et pas seulement à cause de Rome, Roma -mais aussi parce que dans le personnage de Jep Gambardella, interprété par le magnifique Toni Servillo (vous vous souvenez, plus vrai que vrai en Giulio Andreotti dans El Divo!) on aurait bien vu Mastroianni, el vecchio Marcello, celui qui s'amusait tant à tourner en dérision cette image de séducteur, de latin lover, qu'on lui avait collée, et dans laquelle il ne se reconnaissait pas.

    Comme dans Fellini, vous aurez une naine et des obèses, des communiantes et des nonnes, la nuit magique sur une ville magique, des fêtes avec des fêtards grotesques, un suicide, un cardinal qui ne s'intéresse qu'à la cuisine, des scènes surréalistes avec des animaux comme cette girafe au milieu d'un amphithéatre, qu'un magicien va faire disparaître..... et des fontaines.

    C'est l'été, un magnifique été, et Jep Gambardella, qui fête ses soixante cinq ans, est un homme qui a réussi. Il se pensait écrivain; jeune, il a écrit un livre, semble t-il, de grande qualité, primé en tous cas, "l’appareil humain" et puis.... plus rien. Il est devenu journaliste, interviewer vedette..... mais plutôt pour la presse people. Il connaît tout le monde, il donne des fêtes somptueuses sur la terrasse de son appartement, une immense terrasse où on peut facilement faire tenir cent personnes, un truc dingue, juste en face du Colisée! On peut même pas imaginer qu'un appartement aussi sublime puisse exister!

    Ses invités, c'est la fine fleur de l'intelligentsia de gauche, patrons de presse, collectionneurs, esthètes.... qu'on retrouve au bout de la nuit, ronds comme des barriques, en train de faire le petit train.... Beaucoup d'ironie cruelle dans le regard que pose Paolo Sorrentino sur ce petit monde qui s'écoute parler, se retrouve devant des performances (hilarantes, comme lorsqu'une femme nue, une faucille et un marteau tracés dans des poils pubiens passés au henné, se jette tête la première en courant contre la pile d'un pont). L'élégant Jep a la dent dure -très dure, mais il a tellement de charme qu'il continue à séduire -sans conviction. Qu'attend il encore de cette vie, à laquelle il semble cependant continuer à trouver du charme? Contrairement à la plupart de ses infatués comparses, il est clairement conscient de se médiocrité -et de la petitesse de sa vie. Se remettre à écrire? Il y pense, sans s'en croire capable. Et voila qu'il découvre, via l'intrusion d'un veuf larmoyant, que son tout premier amour qui l'a laissé tomber et en a épousé un autre "un bon compagnon" n'a aimé que lui, toute sa vie, et n'a écrit que pour lui dans son journal intime.... Et voila qu'il est convié à interviewer une sainte mutique, une mère Thérésa centenaire qui ne se nourrit que de racines et passera la nuit chez lui; au matin, sa terrasse est recouverte de flamands roses, vision poétique et troublante qu'un souffle de la sainte fera disparaître....

    On connaît le syndrome de Florence, décrit par Stendhal.... plus encore, dans cette Rome estivale dont Sorrentino a cependant évacué les touristes (à part quelques silhouettes burlesques dans la scène introductive), où l'on va d'amphithéâtre en palais, bercés par le chant des fontaines, on se dit que trop de beauté stupéfie, stérilise, paralyse....

    Pourquoi Jep a t-il cessé d'écrire? Peut être, parce qu'au fond, il ne cherchait qu'à rencontrer la grande belleza....

    Ce petit miracle hors du temps, il ne faut surtout pas le rater, même s'il est un peu long. En deux heures, amputé de quelques scènes de bringue, il n'en aurait été que meilleur... Mais c'est un vrai bonheur, avec un peu de nostalgie. Que reste t-il de ce cinoche italien qu'on a tant aimé?
    Georges F
    Georges F

    8 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2013
    Sans doute un peu long mais on prend plaisir à voir un film un peu Fellinien dans la manière de traiter Roma avec une certaine nostalgie, quelques petites touches d'humour ici ou là, un peu d'ironie aussi vis à vis des comportements stéréotypés de la jet society qui s'amuse et se saoule d'expédients superficiels. On adore Sue Eminenza qui roule en Rolls, fuit les discussions sérieuses et philosophiques sur la religion et se montre intarissable sur les recettes de cuisine. Un très bon point pour l'acteur principal Jep Gambardella.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 juin 2013
    La grande bellezza a un parfum de décadence, de luxe, de vanité, d'égoïsme et de potentialités gâchées. Figure incontournable de la jet-set romaine, Jep Gambardella célèbre ses 65 ans et s'interroge sur le sens de sa vie. Auteur dans ses jeunes années d'un unique roman couronné de succès, il n'a plus écrit et a consacré son existence aux fêtes et aux soirées. Sortir. Être un mondain comme désir ultime.

    Dans une adéquation parfaite entre le fond et la forme, Sorrentino promène le spectateur comme Jep Gambardella promène son ennui, avec un sentiment de hasard, sans qu'on n'imagine jamais qu'il puisse y avoir un but au voyage.
    On croise ainsi toute une constellation de personnages sans âge: les vieux ont l'air faussement jeunes et les jeunes ont déjà l'air vieux. Une naine rédactrice en chef d'un magazine culturel, une strip-teaseuse quadragénaire et gravement malade (magnifique Sabrina Ferilli !), une ex-présentatrice de télé monstrueuse, un évêque qui prêche à coup de recettes de cuisine, une gamine bête de foire de l'art contemporain... peuplent un très curieux bestiaire, pitoyable et fascinant. Ils se côtoient depuis des décennies, s'amusent, se jalousent et cultivent leurs habitudes. Ils ne s'aiment pas. Ils ne se haïssent pas non plus.
    Et Rome bien sûr, comme personnage ultime, puisque seule elle restera. Mais la ville demeure toujours à distance: elle n'est vue que de très loin, dans de magnifiques plans panoramiques, parfaits mais inhabités. Les mondains investissent des lieux splendides, mais toujours fermés, toujours secrets, où l'histoire a remplacé l'humanité. La grande bellezza est là tout autour mais elle est inaccessible.

    Si Jep Gambardella pose un regard lucide sur cette micro-société qui l'entoure et sur ses propres lâchetés, rien ne l'ébranle jamais vraiment, ni la mort, ni les douloureuses réminiscences d'un premier amour, ni les prodiges d'une improbable Mère Teresa. Un mondain ne change pas.

    J'ai beaucoup aimé ce long film de Sorrentino (2 heures 20), son humour italien, sa poésie romaine et son regard douloureux sur les êtres. La scène où une vieille aristocrate déchue pleure sur son passé dans un musée, devant un vieux berceau, en écoutant l'audio-guide dérouler sa propre histoire, est tout simplement splendide !
    negsa
    negsa

    6 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juin 2013
    Décadence : "état de ce qui commence à choir, à tomber"..., On commencera avec un touriste japonais, appareil photo accroché autour du cou, qui s'effondre, pris de vertige, alors qu'il contemple Rome, vestige d'une civilisation disparue... Suivra une fête baroque et crépusculaire chez un journaliste mondain (Jep), habitant en face du Colisée, où moins qu’une critique sociologique du « bling bling », on plonge au cœur de la tentative d’enivrement d’une jet set vieillissante.

    Suivront d'autres chutes, fuites et disparitions tout au long de ce film qui ressemble à un art de la chute où chacun devra, tour à tour « lâcher », dans un mouvement de renoncement cruel et inévitable, qui un fils, qui un rêve de dramaturge, qui une représentation trop lisse de lui, qui sa vie, qui sa jeunesse, dans un tourbillon de soirées et de déambulations dans la ville, où le ridicule et l’émotion s’entremêlent dans un dédale de situations improbables et cocasses qui ne cessent de questionner la condition humaine.

    Décadence oui... Mais toutes les décadences ne se valent pas : plus on tombe de haut et plus la chute est dure, mais belle aussi, car dernière trace d'une lumière que n'éclairent plus que les chandelles d'un gardien de demeures aux secrets préservés, les landaus parlants d'une noblesse ruinée, les souvenirs, protégés dans des journaux intimes jetés.

    Le temps est sans pitié pour les êtres auxquels il avait été beaucoup promis. Et quelle belle entrée dans la vie d'homme qu'un premier roman devenu un classique, un premier roman qui n'aura pas de suite, comme une décadence précoce, un choix de vie où la mondanité ressemble à une religion de l'évitement, teintée de jouissance et de lucidité désillusionnée.

    L'ombre de Fellini plane, mais aussi celle de Visconti, Proust et peut-être, Kierkergaard définissant ainsi les 3 stades de l'existence humaine : esthétique (rapport de l'homme à la sensibilité), éthique (rapport de l'homme au devoir), religieux (rapport de l'homme à Dieu). Pas de chronologie chez le philosophe danois, mais des états d'existence choisis, qui éclairent magnifiquement la rencontre finale entre la "sainte" et le mondain Jep et leurs chemins de croix respectifs vers « leur » vérité intime.

    Ni didactique, ni verbeux (l'économie verbale est une des nombreuses réussites de ce film), Paolo Sorrentino nous offre une tragicomédie all’italiana étourdissante et ambitieuse et nous entraîne dans Rome, avec pour guide un écrivain avorté vieillissant et sans projet, à la rencontre d'êtres vains, drôles, abimés, grotesques, fiers, misérables, outranciers, émouvants ; décadents certes, mais encore provisoirement debout donc : nul ne saurait dire pour combien de temps, mais qui chérissent le passé comme un trésor retrouvé.

    Un pur chef d'oeuvre en bref, où l'intelligence et la subtilité du propos (des propos serait-il plus juste de dire, tant les niveaux de lecture - partiellement abordés - dans cette critique - sont nombreux) rencontre une maîtrise parfaite de l'image, du son, du cadrage, de la lumière... et une justesse de jeu - à commencer par celui magistral de Toni Servillo - que résume bien le titre même du film : la Grande Bellezza.
    vmdl
    vmdl

    3 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juin 2013
    Superbe, intelligent, drôle, juste, tellement Italien. Fellini nest pas loin (mais pas copié)...
    Seul bémol, la longueur, 20 minutes de moins aurait été parfait.
    Bravo !
    Septième Sens
    Septième Sens

    84 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Tout le monde cherche ce qu'il n'a pas. Le pouvoir, la richesse, le talent. Mais quoiqu'il arrive, nous finirons déçus de ne pas avoir accompli une ambition cachée, personnelle. La Grande Bellezza, c'est l'histoire d'un vide qu'un homme n'a pas réussi à combler. Malgré les fêtes, malgré l'argent, malgré lui. Jep Gambardella est un intellect et critique de théâtre qui n'a écrit qu'un roman il y a quarante ans. Depuis, plus rien, à moins qu'il ne trouve « la grande beauté » pour être de nouveau inspirer...

    La Grande Bellezza est un hommage à Fellini (remémorons-nous le somptueux Roma) en filmant de façon très respectueuse la Ville Éternelle. Paolo Sorrentino opère des plans somptueux, cadrés au millimètre près et à la fluidité sans pareil. Son superbe montage très bien rythmé correspond à la ferveur des nuits romaines. Alors qu'un touriste fait un arrêt cardiaque après avoir été frappé par tant de beauté, la fête peut commencer. Les gens crient, dansent et s'embrassent. Mais pendant qu'ils s'amusent, le spectateur n'attend qu'une chose : l'apparition de Toni Servillo (Gomorra, Il Divo), l'acteur fétiche de Sorrentino, qui va envahir le cadre de manière électrique. Le charme de ce comédien se produit instantanément, au premier regard, à la première esquisse d'un sourire enjôleur. Une scène d'introduction à couper le souffle, qui prouve que vous allez assister à du grand cinéma.

    Le cinéaste contemple des individus emprisonnés par leurs propres chaînes. Il remet en cause l'être humain dans ses certitudes. Entre des conversations vides qui fusent à cent à l'heure et qui ne s'arrêtent plus, de grandes vérités sont dîtes par l'intermédiaire du fabuleux personnage incarné par Toni Servillo. Les mensonges que nous créons fabriquent notre identité. Le réalisateur les dévoile tous et chaque individu peut prendre ses remarques pour lui en se remettant en cause. La religion (le futur pape ne parlant que de cuisine) comme l'art (une jeune fille forcée contre son gré à peindre) sont eux aussi renvoyés dos à dos. Grâce à son écriture et ses thèmes, le réalisateur italien dépeint une société aussi belle que futile.

    Le protagoniste joué par Servillo est bien évidemment le point centrale de cette œuvre. Par son caractère singulier, c'est lui qui donne au film ce ton très cynique et nostalgique. Il est mélancolique car s'il a souhaité vivre cette existence, il est désormais dans le regret. Rarement une telle ambivalence chez un personnage n'a vu le jour au cinéma. Cet homme est à la fois à l'extérieur et à l'intérieur. Il sait parfaitement quelle est sa place dans ce cercle intello-bourgeoise qu'il ne supporte plus. Pourtant, il continue de l'accepter en allant quotidiennement à ces soirées mondaines, où le paraître a pris depuis bien longtemps le dessus sur l'être.

    À l'image d'un artiste maudit, Jep cherche ce qu'il ne peut obtenir, un bonheur perdu, un souvenir prenant une place trop importante dans sa mémoire. Mais, peut-être que cette grande beauté est là, à sa portée, et qu'il suffit simplement de la saisir. Un récit existentialiste qui vous fera réfléchir, longtemps après sa vision.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top