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On aurait tort de bouder notre plaisir devant ces films qui documentent le monde avant de remplir une filmographie, films dont la discrétion fait la force tranquille, et qui chaque fois trouvent dans le réel le plus trivial de quoi répondre à nos attentes de spectateurs les plus élémentaires.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Tourné très vite, monté comme un collage de blocs autonomes, mais splendidement cadré, magnifié par la présence de ses actrices et de beaux jeux de lumière, "Orléans" a l'aspect d'un diamant brut. Un joyau aux couleurs de son époque, qui scintille d'un troublant éclat.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La grande force du film, sa beauté vénéneuse, tient précisément [des] écarts qu’il provoque dans son dispositif documentaire, basculant peu à peu en rêverie hallucinée.
"Orléans" reconduit ce même programme avec des manières plus limpides et assurées que jamais, souvent brillantes - quoique si précises et appliquées qu’elles pourront paradoxalement par endroits paraître un rien scolaires.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Virgil Vernier confirme sa place unique dans le jeune cinéma hexagonal avec ce docu-fiction expérimental, en quête de sens, d'illumination et de vérité. Tentez l'expérience : son réalisme est magique.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Les cadres sont presque toujours géométriques, et le format de l'image (4:3, format quasi carré) contribue à faire de chaque plan une vignette iconique.
A l'adolescente choisie pour représenter l'héroïne, Virgil Vernier va, selon son excellente méthode (...), confronter deux jeunes strip-teaseuses qui rêvent de devenir de vraies danseuses.
"Orléans" n'est pas une fiction d'enchantement factice, mais la quête d'une étincelle, d'une révélation nouvelle : telle quelle, traversée par tant de forces contradictoires, des discours réactionnaires au féminisme, en passant par la fête populaire, Jeanne d'Arc y redevient une figure ouverte, à nouveau mystérieuse.
"Orléans" navigue entre fiction et documentaire, réalisme et mythologie. Un peu trop figurative, la métaphore que le film délivre produit néanmoins de très beaux portraits.
“Entre ces deux femmes clouées à un poteau (...) il y a comme un motif commun, un rapprochement graphique que je voulais tenter”, explique Virgil Vernier. Rapprochement assez tiré par les cheveux (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
"Orléans" a des côtés touchants et la minceur de l'intrigue sert le propos minimaliste.
Critikat.com
On aurait tort de bouder notre plaisir devant ces films qui documentent le monde avant de remplir une filmographie, films dont la discrétion fait la force tranquille, et qui chaque fois trouvent dans le réel le plus trivial de quoi répondre à nos attentes de spectateurs les plus élémentaires.
Le Monde
Tourné très vite, monté comme un collage de blocs autonomes, mais splendidement cadré, magnifié par la présence de ses actrices et de beaux jeux de lumière, "Orléans" a l'aspect d'un diamant brut. Un joyau aux couleurs de son époque, qui scintille d'un troublant éclat.
Les Inrockuptibles
La grande force du film, sa beauté vénéneuse, tient précisément [des] écarts qu’il provoque dans son dispositif documentaire, basculant peu à peu en rêverie hallucinée.
Libération
"Orléans" reconduit ce même programme avec des manières plus limpides et assurées que jamais, souvent brillantes - quoique si précises et appliquées qu’elles pourront paradoxalement par endroits paraître un rien scolaires.
Première
Un voyage dans la psyché de [deux jeunes strip-teaseuses] imparfait, fou et audacieux.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
TF1 News
Virgil Vernier confirme sa place unique dans le jeune cinéma hexagonal avec ce docu-fiction expérimental, en quête de sens, d'illumination et de vérité. Tentez l'expérience : son réalisme est magique.
Transfuge
Les cadres sont presque toujours géométriques, et le format de l'image (4:3, format quasi carré) contribue à faire de chaque plan une vignette iconique.
TéléCinéObs
A l'adolescente choisie pour représenter l'héroïne, Virgil Vernier va, selon son excellente méthode (...), confronter deux jeunes strip-teaseuses qui rêvent de devenir de vraies danseuses.
Télérama
Tout est joliment ténu, entre poésie fragile et conte fantastique.
Cahiers du Cinéma
"Orléans" n'est pas une fiction d'enchantement factice, mais la quête d'une étincelle, d'une révélation nouvelle : telle quelle, traversée par tant de forces contradictoires, des discours réactionnaires au féminisme, en passant par la fête populaire, Jeanne d'Arc y redevient une figure ouverte, à nouveau mystérieuse.
Les Fiches du Cinéma
"Orléans" navigue entre fiction et documentaire, réalisme et mythologie. Un peu trop figurative, la métaphore que le film délivre produit néanmoins de très beaux portraits.
L'Humanité
“Entre ces deux femmes clouées à un poteau (...) il y a comme un motif commun, un rapprochement graphique que je voulais tenter”, explique Virgil Vernier. Rapprochement assez tiré par les cheveux (...).