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"L’Intervallo" représente un nouveau champ pour Leonardo Di Costanzo, puisqu’il s’agit de sa première fiction, qui fait suite à un travail documentaire passionnant (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Leonardo Di Costanzo construit de scène en scène un bel équilibre entre sa réalisation, très soignée et précise, et la candeur imperceptiblement tempérée par l'objectif de son jeune duo.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Idée géniale sur laquelle tout le film repose : la transposition d’un simple huis clos dans un édifice virtuellement sans limites, qui multiplie à l’infini les possibilités de jeu et de mise en scène.
C’est toute la beauté du film que ce décor lui-même, tout de rouille, de friches, de ronces et d’herbes folles, dérive doucement pour s’éclairer d’autres lueurs que celles du naturalisme étriqué du scénario d’initiation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
En évoquant l'Italie mafieuse sans le moindre flingue, le film prend ses distances avec le traditionnel cinéma criminel. (...) Si la violence est hors champ, la sérénité avec laquelle les deux ados remettent leur destin aux mains de la Mafia est presque aussi effrayante.
La critique complète est disponible sur le site Première
C'est le beau paradoxe du film : plus il se donne comme fermé, plus il s'ouvre. Cet infini dans le fini et l'écart terrible qui permet ou empêche les choix font de cette tragédie authentique et poignante une réponse franche aux fatalismes contemporains.
Critikat.com
"L’Intervallo" représente un nouveau champ pour Leonardo Di Costanzo, puisqu’il s’agit de sa première fiction, qui fait suite à un travail documentaire passionnant (...).
L'Humanité
Un film page blanche qui fait voyager l’imagination.
Le Monde
Leonardo Di Costanzo construit de scène en scène un bel équilibre entre sa réalisation, très soignée et précise, et la candeur imperceptiblement tempérée par l'objectif de son jeune duo.
Les Inrockuptibles
Idée géniale sur laquelle tout le film repose : la transposition d’un simple huis clos dans un édifice virtuellement sans limites, qui multiplie à l’infini les possibilités de jeu et de mise en scène.
Libération
C’est toute la beauté du film que ce décor lui-même, tout de rouille, de friches, de ronces et d’herbes folles, dérive doucement pour s’éclairer d’autres lueurs que celles du naturalisme étriqué du scénario d’initiation.
Positif
Di Costanzo réussit le miracle de ne jamais laisser retomber la tension.
Première
En évoquant l'Italie mafieuse sans le moindre flingue, le film prend ses distances avec le traditionnel cinéma criminel. (...) Si la violence est hors champ, la sérénité avec laquelle les deux ados remettent leur destin aux mains de la Mafia est presque aussi effrayante.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Une fiction sensible et forte qui garde des traces patentes des oeuvres passées [de Leonardo Di Costanzo] : une série de documentaires.
Télérama
Di Costanzo, venu du documentaire, signe une première fiction juste et sensible, avec deux comédiens non professionnels épatants.
Cahiers du Cinéma
C'est le beau paradoxe du film : plus il se donne comme fermé, plus il s'ouvre. Cet infini dans le fini et l'écart terrible qui permet ou empêche les choix font de cette tragédie authentique et poignante une réponse franche aux fatalismes contemporains.
Les Fiches du Cinéma
Cette première œuvre de fiction d'un documentariste confirmé se révèle assez bancale, mais sensible et finement réalisée.
Paris Match
Ce film étrange oscille de la lumière du soleil italien aux ombres de l'inquiétante friche inhospitalière.
aVoir-aLire.com
Un film à l’état de promesse, qui se dilue peu à peu dans des enjeux dramatiques mineurs.