Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une œuvre essentielle qui saura laisser son empreinte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
La cinéaste Djamila Sahraoui signe un film de fiction sobre, beau et fort (...) Djamila Sahraoui, qui incarne elle-même la mère, est d’une intensité aussi remarquable que bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Tragédie antique sur la sol algérien, “Yema” met en scène le chagrin, l'orgueil, l'impossibilité du pardon et les luttes fratricides qui mènent à d'absurdes drames.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par La rédaction
Tous les interprètes sont formidables, et le film touche malgré son austérité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
La réalisatrice Djamila Sahraoui réussit un film dont on aurait aimé les limites moins étroites.
Première
par Isabelle Danel
Un film exigeant et scotchant.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Sur un canevas de tragédie antique, la cinéaste signe un film sec et bouleversant. Un cri vengeur, silencieux et assourdissant, lacérant le mur du silence imposé aux victimes sacrifiées au nom de la réunification nationale.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Djamila Sahraoui a réussi une impressionnante parabole sur les déchirements fratricides de l'Algérie d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Pas vraiment folklorique, mais immémoriale, donc abstraite. Finalement, on est désarçonné par cette fable à la fois éternelle et historiquement proche. Les figures sont belles, mais posées là, comme des santons de douleur. Elles manquent de chair et de vécu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Sandrine Marques
Djamila Sahraoui (...) livre une nouvelle réflexion sur la violence et ses conséquences sur les femmes. (...) C'est avec beaucoup de force et de courage qu'[elle] campe ce personnage de mère (...) dans un film aussi peu amène que son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le film est plein de trous, de séquences plates où la mère cultive son lopin de terre perdu dans la montagne. Certes, un de ses fils est mort, peut-être tué par l’autre. Mais les éléments dramatiques ne s’infusent pas dans le corps du récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
Une œuvre essentielle qui saura laisser son empreinte.
La Croix
La cinéaste Djamila Sahraoui signe un film de fiction sobre, beau et fort (...) Djamila Sahraoui, qui incarne elle-même la mère, est d’une intensité aussi remarquable que bouleversante.
Les Fiches du Cinéma
Tragédie antique sur la sol algérien, “Yema” met en scène le chagrin, l'orgueil, l'impossibilité du pardon et les luttes fratricides qui mènent à d'absurdes drames.
Libération
Tous les interprètes sont formidables, et le film touche malgré son austérité.
Positif
La réalisatrice Djamila Sahraoui réussit un film dont on aurait aimé les limites moins étroites.
Première
Un film exigeant et scotchant.
TéléCinéObs
Sur un canevas de tragédie antique, la cinéaste signe un film sec et bouleversant. Un cri vengeur, silencieux et assourdissant, lacérant le mur du silence imposé aux victimes sacrifiées au nom de la réunification nationale.
Télérama
Djamila Sahraoui a réussi une impressionnante parabole sur les déchirements fratricides de l'Algérie d'aujourd'hui.
L'Humanité
Pas vraiment folklorique, mais immémoriale, donc abstraite. Finalement, on est désarçonné par cette fable à la fois éternelle et historiquement proche. Les figures sont belles, mais posées là, comme des santons de douleur. Elles manquent de chair et de vécu.
Le Monde
Djamila Sahraoui (...) livre une nouvelle réflexion sur la violence et ses conséquences sur les femmes. (...) C'est avec beaucoup de force et de courage qu'[elle] campe ce personnage de mère (...) dans un film aussi peu amène que son héroïne.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Les Inrockuptibles
Le film est plein de trous, de séquences plates où la mère cultive son lopin de terre perdu dans la montagne. Certes, un de ses fils est mort, peut-être tué par l’autre. Mais les éléments dramatiques ne s’infusent pas dans le corps du récit.