Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Monde
par Sandrine Marques
Artiste plasticienne, Jazmin Lopez a conçu un film-dispositif sensoriel, qui doit beaucoup à un travail pointu sur la bande-son. (...) A cela s'ajoute le splendide travail du chef opérateur Matias Meza.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Cédric Lépine
Un premier film d'une brillante beauté formelle, capable de créer une ambiance à la lisière du fantastique, en assumant avec bienveillance rien moins que l'héritage de Tarkovski et Antonioni.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Estelle Bayon
Maîtrisé bien qu’un peu trop formaliste, beau même s’il tourne parfois à vide, "Leones" annonce l’entrée dans la sylve cinématographique d’une cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
C’est bien filmé, mais assez vain. (...) Voir ces lents panoramiques circulaires dont en pense qu’ils vont révéler quelque drame (...), mais non, rien. Un bel exercice de style, un bel écrin naturel pour évoquer un vague malaise existentiel de la post-adolescence. Mais un peu creux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Isabelle Danel
Ce puzzle façon Antonioni qui lorgne vers Gus Van Sant distille un charme certain, marquant également la naissance d'une cinéaste.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
La mise en scène distille une ambiance onirique et étrange tuant dans l’œuf le pseudo-suspense d’un scénario qui, à l’instar de ses protagonistes, tourne vite en rond. La seconde partie, libérée de ce twist prévisible, s’abandonne en revanche à une poignante mélancolie douloureuse, sauvant le film de son systématisme maniériste.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Ce premier long aux suffocants effluves de fantastique se vit comme une expérience sensorielle qui utilise l’ennui comme expédient poétique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par La rédaction
"Leones" est une baguenauderie inquiétante (...) la cinéaste peine à dévier d'une démonstration de maîtrise (indéniable) assez creuse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Le film ne repose que sur un dispositif qui s’épuise par systématisme (…) À la monotonie conceptuelle vient s’ajouter un effet de déjà-vu.
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) le Steadicam de la plasticienne argentine Jazmín López est collé [aux] basques [des jeunes] dans des plans-séquences qui n'en finissent pas. Ce film onirique sur le passage à l'âge adulte fait penser à "Gerry", de Gus Van Sant. En beaucoup plus poseur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Artiste plasticienne, Jazmin Lopez a conçu un film-dispositif sensoriel, qui doit beaucoup à un travail pointu sur la bande-son. (...) A cela s'ajoute le splendide travail du chef opérateur Matias Meza.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film d'une brillante beauté formelle, capable de créer une ambiance à la lisière du fantastique, en assumant avec bienveillance rien moins que l'héritage de Tarkovski et Antonioni.
Critikat.com
Maîtrisé bien qu’un peu trop formaliste, beau même s’il tourne parfois à vide, "Leones" annonce l’entrée dans la sylve cinématographique d’une cinéaste à suivre.
L'Humanité
C’est bien filmé, mais assez vain. (...) Voir ces lents panoramiques circulaires dont en pense qu’ils vont révéler quelque drame (...), mais non, rien. Un bel exercice de style, un bel écrin naturel pour évoquer un vague malaise existentiel de la post-adolescence. Mais un peu creux.
Première
Ce puzzle façon Antonioni qui lorgne vers Gus Van Sant distille un charme certain, marquant également la naissance d'une cinéaste.
TéléCinéObs
La mise en scène distille une ambiance onirique et étrange tuant dans l’œuf le pseudo-suspense d’un scénario qui, à l’instar de ses protagonistes, tourne vite en rond. La seconde partie, libérée de ce twist prévisible, s’abandonne en revanche à une poignante mélancolie douloureuse, sauvant le film de son systématisme maniériste.
aVoir-aLire.com
Ce premier long aux suffocants effluves de fantastique se vit comme une expérience sensorielle qui utilise l’ennui comme expédient poétique.
Libération
"Leones" est une baguenauderie inquiétante (...) la cinéaste peine à dévier d'une démonstration de maîtrise (indéniable) assez creuse.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Le film ne repose que sur un dispositif qui s’épuise par systématisme (…) À la monotonie conceptuelle vient s’ajouter un effet de déjà-vu.
Télérama
(...) le Steadicam de la plasticienne argentine Jazmín López est collé [aux] basques [des jeunes] dans des plans-séquences qui n'en finissent pas. Ce film onirique sur le passage à l'âge adulte fait penser à "Gerry", de Gus Van Sant. En beaucoup plus poseur.