Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une chronique intense et sans fioritures, où la cinéaste oppose à la grisaille obtuse de la Scandinavie provinciale la persistance chaleureuse des liens affectifs et amicaux parmi les laissés-pour-compte du miracle suédois.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Filmé pour l'essentiel en caméra portée, particularité qui augmente la ressemblance avec la réalisation des Dardenne, le beau film de Gabriela Pichler justifie la mention.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
A partir de petits riens, la prometteuse Gabriela Pichler signe une première oeuvre intense et grave, attentive aux plus humbles.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sur le mode du réalisme documentaire sans concession, caméra à l’épaule, ce portrait d’une jeune travailleuse volontaire impressionne par la qualité de ses interprètes ainsi que par l’acuité de son état des lieux d’une société suédoise moins clémente qu’il n’y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Franck Nouchi
(...) Un mot éclaire ce film : la générosité. Quand [Rasa Abdulahovic] sourit, nous sourions pour elle. Et quand, enfin, elle est heureuse, nous voilà soulagés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Une ode magnifique aux ouvriers inconnus, frappés en plein cœur et dont le cinéma parle si peu... en dehors des frères Dardenne, auxquels on pense beaucoup ici.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Loin du pays de cocagne des meubles en bois blanc et du socialisme policé, "Eat Sleep Die" offre un constat nuancé sur un climat social qui transparaissait déjà dans les nouveaux polars suédois.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Vincent Thabourey
Avec une caméra portée à l'épaule dont elle n'abuse pas, Gabriela Pichler filme sans effet, modestement, attachée à révéler des instants rares...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Les liens émouvants que Rasa tisse avec son entourage prennent finalement le pas sur un discours social qui fait office de puissant révélateur.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Mathilde Blottière
Le film trouve le ton juste entre un naturalisme brut, rageur, et des séquences plus méditatives.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Malgré l’évidente noirceur de la crise dont il est question, malgré le sentiment qu’on est devant "Eat Sleep Die" comme devant un monde marginal et ignoré, la réalisatrice parvient à donner à son propos une vigueur épatante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
TF1 News
par Romain Le Vern
A l'image de son titre qui annonce la couleur, "Eat Sleep Die" fonce droit au but. La suite accuse sans doute une légère baisse de régime (...). [Mais] la mise en scène, (...), l'absence de manichéisme et les acteurs impecs font de ce premier film une révélation.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Une chronique dardennienne un rien prosaïque et monocorde mais portée à bout de bras par l’énergie de ses acteurs (...) et la pertinence de son propos : souligner la cruelle réversibilité de la valeur travail en système capitaliste.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Si la réalisatrice témoigne à chaud d’une réalité relativement peu explorée par des cinéastes scandinaves, elle ne parvient jamais à dépasser le cadre sociologique du projet, qui donne une impression de déjà-vu. Le film colle en effet trop au modèle "Rosetta", devenu, on le sait, un genre en soi qui a fait des émules dans le monde entier.
L'Humanité
Une chronique intense et sans fioritures, où la cinéaste oppose à la grisaille obtuse de la Scandinavie provinciale la persistance chaleureuse des liens affectifs et amicaux parmi les laissés-pour-compte du miracle suédois.
L'Obs
Filmé pour l'essentiel en caméra portée, particularité qui augmente la ressemblance avec la réalisation des Dardenne, le beau film de Gabriela Pichler justifie la mention.
La Croix
A partir de petits riens, la prometteuse Gabriela Pichler signe une première oeuvre intense et grave, attentive aux plus humbles.
Le Journal du Dimanche
Sur le mode du réalisme documentaire sans concession, caméra à l’épaule, ce portrait d’une jeune travailleuse volontaire impressionne par la qualité de ses interprètes ainsi que par l’acuité de son état des lieux d’une société suédoise moins clémente qu’il n’y paraît.
Le Monde
(...) Un mot éclaire ce film : la générosité. Quand [Rasa Abdulahovic] sourit, nous sourions pour elle. Et quand, enfin, elle est heureuse, nous voilà soulagés.
Les Fiches du Cinéma
Une ode magnifique aux ouvriers inconnus, frappés en plein cœur et dont le cinéma parle si peu... en dehors des frères Dardenne, auxquels on pense beaucoup ici.
Les Inrockuptibles
Loin du pays de cocagne des meubles en bois blanc et du socialisme policé, "Eat Sleep Die" offre un constat nuancé sur un climat social qui transparaissait déjà dans les nouveaux polars suédois.
Positif
Avec une caméra portée à l'épaule dont elle n'abuse pas, Gabriela Pichler filme sans effet, modestement, attachée à révéler des instants rares...
Première
Les liens émouvants que Rasa tisse avec son entourage prennent finalement le pas sur un discours social qui fait office de puissant révélateur.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné live.
Télérama
Le film trouve le ton juste entre un naturalisme brut, rageur, et des séquences plus méditatives.
Critikat.com
Malgré l’évidente noirceur de la crise dont il est question, malgré le sentiment qu’on est devant "Eat Sleep Die" comme devant un monde marginal et ignoré, la réalisatrice parvient à donner à son propos une vigueur épatante.
TF1 News
A l'image de son titre qui annonce la couleur, "Eat Sleep Die" fonce droit au but. La suite accuse sans doute une légère baisse de régime (...). [Mais] la mise en scène, (...), l'absence de manichéisme et les acteurs impecs font de ce premier film une révélation.
TéléCinéObs
Une chronique dardennienne un rien prosaïque et monocorde mais portée à bout de bras par l’énergie de ses acteurs (...) et la pertinence de son propos : souligner la cruelle réversibilité de la valeur travail en système capitaliste.
Cahiers du Cinéma
Si la réalisatrice témoigne à chaud d’une réalité relativement peu explorée par des cinéastes scandinaves, elle ne parvient jamais à dépasser le cadre sociologique du projet, qui donne une impression de déjà-vu. Le film colle en effet trop au modèle "Rosetta", devenu, on le sait, un genre en soi qui a fait des émules dans le monde entier.