Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Ce premier long-métrage d’un jeune réalisateur roumain poursuit l’ancrage réaliste du cinéma qui nous vient de ce pays depuis quelques années par le biais d’une crise intime. Sensible et juste.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une réflexion assez bien vue sur l’inconstance amoureuse, pleine de mélancolie sous-jacente, qui comprend une touche ironique induite par le titre et par la construction du film en boucle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Paul Negoescu, qui signe ici son premier long-métrage, décrit par le menu le malaise d’une jeunesse roumaine en complète perte de repères. Filmée sur vingt-quatre heures, la trajectoire sentimentale absurde de son héros fait écho au mal-être d’une génération déboussolée (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Avec un étonnant brio, ce jeune cinéaste inconnu reflète le vide : le désarroi tranquille d'une nouvelle "génération perdue".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans un style réaliste propre au cinéma roumain, ce film peu dialogué et à la trame ténue saisit sur le vif l’errance de son héros, fiévreux, indécis, étranger à l’atmosphère festive.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Sandrine Marques
Portrait désenchanté de la jeunesse roumaine actuelle, "Un mois en Thailande" marque les débuts au cinéma de Paul Negoescu, dont le style ne demande qu'à s'affirmer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Quoiqu'un peu convenu dans sa forme et son propos, ce premier film roumain n'est pas dénué de charme. Car cette banalité exprime l'état d'un pays dont les préoccupations ont radicalement changé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce film sobre, fluide et sans morceau de bravoure est une plaisante satire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Isabelle Danel
Sur un sujet ténu, ce premier long-métrage roumain fleure le devoir appliqué de bon élève.
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir la critique sur le site de Studio Ciné live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
par Camille Lugan
Habile dans son écriture et sa mise en scène, et ayant fait du manque absolu de moyens une force dans ses images, le film de Paul Negoescu souffre paradoxalement de sa maîtrise et paraît souvent démonstratif, le propos frôlant parfois l’arrogance…
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Didier Péron
Le cinéaste veut décrire l’humeur hésitante d’un alter ego, mais il ne sait lui-même trancher entre une très banale nuit d’ivresse dans une ville d’Europe de l’Est et la description sentie d’un mal du siècle que des spectateurs non-roumains pourraient partager.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
Paul Negoescu s'amuse à filmer un film plat. Hélas, il y réussit un peu trop... On ne sent guère la nuit passer.
L'Humanité
Ce premier long-métrage d’un jeune réalisateur roumain poursuit l’ancrage réaliste du cinéma qui nous vient de ce pays depuis quelques années par le biais d’une crise intime. Sensible et juste.
L'Humanité
Une réflexion assez bien vue sur l’inconstance amoureuse, pleine de mélancolie sous-jacente, qui comprend une touche ironique induite par le titre et par la construction du film en boucle.
TéléCinéObs
Paul Negoescu, qui signe ici son premier long-métrage, décrit par le menu le malaise d’une jeunesse roumaine en complète perte de repères. Filmée sur vingt-quatre heures, la trajectoire sentimentale absurde de son héros fait écho au mal-être d’une génération déboussolée (...).
Télérama
Avec un étonnant brio, ce jeune cinéaste inconnu reflète le vide : le désarroi tranquille d'une nouvelle "génération perdue".
La Croix
Dans un style réaliste propre au cinéma roumain, ce film peu dialogué et à la trame ténue saisit sur le vif l’errance de son héros, fiévreux, indécis, étranger à l’atmosphère festive.
Le Monde
Portrait désenchanté de la jeunesse roumaine actuelle, "Un mois en Thailande" marque les débuts au cinéma de Paul Negoescu, dont le style ne demande qu'à s'affirmer.
Les Fiches du Cinéma
Quoiqu'un peu convenu dans sa forme et son propos, ce premier film roumain n'est pas dénué de charme. Car cette banalité exprime l'état d'un pays dont les préoccupations ont radicalement changé.
Les Inrockuptibles
Ce film sobre, fluide et sans morceau de bravoure est une plaisante satire.
Première
Sur un sujet ténu, ce premier long-métrage roumain fleure le devoir appliqué de bon élève.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné live.
aVoir-aLire.com
Habile dans son écriture et sa mise en scène, et ayant fait du manque absolu de moyens une force dans ses images, le film de Paul Negoescu souffre paradoxalement de sa maîtrise et paraît souvent démonstratif, le propos frôlant parfois l’arrogance…
Libération
Le cinéaste veut décrire l’humeur hésitante d’un alter ego, mais il ne sait lui-même trancher entre une très banale nuit d’ivresse dans une ville d’Europe de l’Est et la description sentie d’un mal du siècle que des spectateurs non-roumains pourraient partager.
Positif
Paul Negoescu s'amuse à filmer un film plat. Hélas, il y réussit un peu trop... On ne sent guère la nuit passer.