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Documentariste engagé, Éric Pittard braque cette fois sa caméra sur lui-même dans cette autofiction un peu fragile, parfois maladroite, mais dénuée de toute complaisance.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(...) Une autofiction sincère et courageuse, traversée par de salvateurs traits d'humour, en plus d'une belle rencontre avec un réalisateur, à la personnalité attachante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L’autoportrait d’un homme malade, un certain Eric Pittard, ex-reporter et cinéaste à l’occasion, qui met en scène son propre mal : une forme de leucémie baptisée le syndrome de Pompidou. (...) Pas de misérabilisme, mais une forme d'improvisation sur la réalité sociale. Pour les amateurs de curiosité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
(...) il [Eric Pittard] compose un docu-fiction à la fois original et saugrenu. Même si ces hybridations d’écriture ne prennent pas toujours, le film, revigorante éclaircie dans l’horizon sombre de la maladie au travail, émeut par son énergie et sa gourmandise de vie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L’exercice de style qui consiste à parler de son expérience personnelle face à la caméra en prenant le spectateur à témoin tourne court par excès de nombrilisme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Documentariste engagé, Éric Pittard braque cette fois sa caméra sur lui-même dans cette autofiction un peu fragile, parfois maladroite, mais dénuée de toute complaisance.
Le Monde
(...) Une autofiction sincère et courageuse, traversée par de salvateurs traits d'humour, en plus d'une belle rencontre avec un réalisateur, à la personnalité attachante.
Transfuge
Le collage et l'amoncellement de séquences disparates finissent alors par produire ce qui vaut sans doute bien le cinéma : un peu de vie.
Télérama
Un attachant témoignage, la vie chevillée au corps.
Le Figaroscope
L’autoportrait d’un homme malade, un certain Eric Pittard, ex-reporter et cinéaste à l’occasion, qui met en scène son propre mal : une forme de leucémie baptisée le syndrome de Pompidou. (...) Pas de misérabilisme, mais une forme d'improvisation sur la réalité sociale. Pour les amateurs de curiosité.
Les Fiches du Cinéma
Un docu-fiction bigarré et poétique sur la perte du désir et la vie qui irrigue les corps. Un remède contre la morosité.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
(...) il [Eric Pittard] compose un docu-fiction à la fois original et saugrenu. Même si ces hybridations d’écriture ne prennent pas toujours, le film, revigorante éclaircie dans l’horizon sombre de la maladie au travail, émeut par son énergie et sa gourmandise de vie.
Première
Cette catharsis n'offre que peu d'intérêt pour le spectateur. Pas tellement de plaisir non plus, malgré la promesse érotique et ludique du titre.
aVoir-aLire.com
L’exercice de style qui consiste à parler de son expérience personnelle face à la caméra en prenant le spectateur à témoin tourne court par excès de nombrilisme.