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Laurence C.
1 critique
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1,0
Publiée le 6 mai 2018
Au secours Fortement déçu beaucoup de longueurs (dans tous les sens du terme) pauvre comédie à la française les comédiens se sont certainement distrait ,nous étions une dizaine dans la salle dimanche après midi les éclats de rire n'ont pas fusés heureusement nous avons un abonnement .
Film sans intérêt, vulgaire... celui devrait être interdit au moins de 12 ans. Scénario de petite qualité, le tout nous fait passer un long moment d'ennui.
Milf essaie de surfer sur la vague des trentenaires qui veulent se sentir jeunes. Malgré la présence de Virginie Ledoyen, bonne actrice au demeurant, le film n'est pas réussi. Le scénario est peu réaliste et l'alchimie entre les acteurs est quasi inexistante. Lent, superciel, sans magie, on s'ennuie assez vite en espérant que ça va vite se terminer.
On aimerait se réjouir d’une comédie sentimentale où la nudité occupe ainsi le devant de la scène, où les corps cessent d’être des images interdites pour revendiquer un érotisme qui ne saurait se cantonner à la sensualité. Malheureusement pour MILF, c’est en mettant à nu ses comédiens que le film exhibe sans le vouloir sa profonde vacuité, soit un enchaînement de scènes obscènes dont ne ressortent ni la peinture d’un âge ni celle d’une saison (l’été, en l’occurrence). Non, ce qui prime ici, c’est la grossièreté d’une écriture qui aimerait saisir, parmi les égarements métaphysiques de ses protagonistes, des fragments de vérité que déclame à la dernière soirée, entre deux chansons, la fameuse dame insupportable dont le nom importe peu : étant donné que les femmes vivent plus longtemps que les hommes, il est tout naturel qu’elles adoptent des minets. Sur ce postulat plutôt mince se construit une relation a priori interdite entre maturité et adolescence : les gros plans se délectent des fesses rebondies, des décolletés qui laissent voir le téton et la forme généreuse du sein qui le porte, des abdos tatoués et la boursouflure d’un short peinant à divulguer l’érection. Tout l’enjeu de la comédie réside alors dans l’attente d’un dévoilement intégral ; et quand ça finit par arriver, on se dit que ça ne dit rien, et que certains sites sur internet proposent le même type de contenu. Ce n’est pas parce qu’une femme est à la caméra que l’ensemble est absout d’un sexisme qui se plaît à enfermer femmes et hommes dans un statut d’objet sexuel interchangeable et dépourvu d’intellect ; car pas une fois (pas une seule) le cerveau ne s’active, si bien que le spectateur a l’impression d’assister à une adaptation des Anges et autres superstars de la médiocrité pendant une heure et demie. Sur grand écran, voilà la différence. Or, MILF n’a aucune vision artistique, et l’art qu’il investit – le cinéma, ce n’est pas rien – n’est que prétexte au déballage de bassesses impropres et visuellement fort laides.
Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu un film aussi plat et sans saveur. C’est consternant qu’une bonne actrice comme Marie-Josée Croze aille se perdre dans cette niaiserie. Pas de scénario, pas de message, sauf dans le titre où tout est résumé.
Même en étant « bon public », même en étant bienveillant avec le cinéma français, même en ayant une humeur joyeuse en ce printemps pluvieux et donc propice aux belles séances cinématographiques, il faut bien dire ici que l’on est en présence d’un navet monumental comme il en pousse peu, fort heureusement. Sur le papier, rassembler quelques comédiennes auxquelles on n’est pas indifférent, partir d’un sujet, certes bateau, mais qui pourrait donner lieu à du rire et/ou de l’émotion, ne semble pas une mauvaise idée. Au final, le film est à bout d’arguments dès la première bobine, et verse rapidement vers la vulgarité la plus crasse, et sans nous faire sourire ne serait-ce qu’à une bonne réplique. Oublions vite ce naufrage !
Axelle Lafont était une Miss Météo souvent hilarante dans ses prestations télévisées de Nulle part ailleurs. On pouvait donc espérer que son premier film serait dans le même esprit. Hélas, le résultat est une comédie ennuyante où l’humour ne fonctionne pas. Alors que le thème est assez novateur, on a l’impression d’assister à un film mille fois vu. Ce scénario assez inintéressant n’est pas rehaussé par une réalisation extrêmement banale. Les interprètes ne sont pas mauvais mais seule Virginie Ledoyen arrive réellement à tirer son épingle du jeu. MILF est donc une comédie peu recommandable qui n’aurait pas dû dépasser le statut de téléfilm.
Tous les clichés sont rassemblés dans ce film. Trois actrices qui jouent plutôt mal et sans conviction et se rendent compte qu'elles attirent des jeunes bien bâtis au Qi approximatif. Scénario vide. Dialogues vides. On a plutôt l'impression que nos 3 copines se sont offert un tournage sur la cote d'azur aux frais du spectateur. Sans aucun intérêt.
Grosse déception ! Non pas que j’attendais le film de l’année mais au moins un mix de rire et de tendresse. Mais de rire, point. Et de tendresse, quasi pas. Les vieux et les jeunes sont cons (chacun dans leur style). Les « vieilles » sont bonnes. Bon ça tant mieux. Et la vulgarité est l’élément principal des dialogues (pourris les dialogues). Autant l’idée de mettre un peu en avant des femmes avec des hommes plus jeunes est une bonne idée, voire importante. Autant ce film le fait très mal. Et c’est dommage. Et je vous dis pas le niveau d’acting, ras des pâquerettes. Passez votre chemin.
1 étoile c'est encore trop pour ce film si vulgaire, si grossier, et si peu interessant... Une vague ébauche de scénario baclée et c'est parti pour des scène sans charme, avec pour seul fil conducteur le sexe, ou ce qui y ressemble. D'autres films, avec tellement plus de talent, ont pourtant réussi à traiter ce sujet avec plus d'originalité et de drolerie.
Ce film est gênant en fait, que ce soit dans les dialogues ou les situations. Tout fait fake et on se sent extrêmement gêné à voir cela (la scène en boîte entre un jeune et la videur, les dialogues entre les MILF et les jeunes sur le jet-ski au début). Les actrices ne sont pas du tout convaincantes. Une réplique de notable : "Il faut qu'elle arrête avec ses airs de victime maintenant alors qu'elle a la chatte entièrement épilée". C'est affligeant de nullité, notamment les dialogues, du début à la fin, de la première à la dernière minute. Car malheureusement cela se veut sérieux avec une sorte de critique sociale et de fable à la sauce moderne (féminisme...). S'il faut sauver quelque chose, on peut dire que cela peut se montrer intéressant niveau éducation sexuelle pour les jeunes (la femme qui montre et s'exprime sur ce qu'elle aime, le test VIH quand on ne met pas de capotes, le fait de se retirer quand on n'utilise pas de capotes ni de moyens de contraception, la pilule du lendemain en cas d'écart...). Un gros raté pour Laffont et un déchet de plus dans le paysage cinématographique français !
Ps : il est vrai qu'elles sont bien gaulées ces trois quarantenaires...
Aucun intérêt. Mal filmé, des dialogues gênants pour un film profondément ennuyant. Un film plus que personnel ou mis à part se mettre en avant, Axelle Lafont n'a franchement pas le talent d'une réalisatrice et encore moins d'une scénariste.
Nul. À part Axelle Laffont qui a l’air de s’amuser comme une folle, les actrices semblent complètement perdues, On les comprend, Scénario inexistant, dialogues vulgaires, mise en scène absente.... Être une MILF est sans doute gratifiant, mais en faire un film ne s’imposait pas.
Dommage, le sujet était intéressant. mais à part 2/3 remarques bien senties sur la sexualité des jeunes, conditionnée par youporn, et une ou deux scènes réussies, l'ensemble est un immense ratage. En premier lieu : la direction d'acteur catastrophique, que le montage désinvolte ne parvient pas à corriger. Pire, à en montrer les carences. Cela donne des scènes affligeantes (comme l'affrontement entre les 3 jeunes et le quadra) et d'une manière générale, tout sonne faux. On est loin du romantisme de l'été 42 ou de la drôlerie intelligente du Lauréat. La psychologie des personnages ne décolle jamais, pas d'introspection, pas de doutes, juste 3 nanas qui pensent avoir 15 ans durant un été. On a droit à moults plans tout au long du film sur la plastique juvénile d'Axelle Lafont, dégageant une sorte de malaise : est-ce qu'Axelle nous a fait un film sur des quadras encore "bonnes" ou cherche-t-elle à se vendre elle-même ? L'excellente Virginie Ledoyen semble avoir perdu tous ses moyens, Croze ne parvient pas à s'extirper d'un rôle mal écrit, les jeunes sont caricaturaux. Thomassin est sous-employée alors que Laffont tenait un personnage intéressant.