Contrairement à ce que j'ai pu lire, j'ai trouvé c être comédie touchante,et si Axelle Laffond montre ce qu'il y a à montrer de ces relations entre des femmes d'âge mûre et de jeunes hommes ce n'est pas par manque de finesse mais pour montrer la réalité de ces histoires sentimentales que certains juges critiquables. Le fait d'avoir 3 actrices permet d'explorer 3 facettes de la relation. Une belle mélancolie émane des c'est trois femmes qui savent que leur "jeunesse" s'en est allee. Différence d'âge d'époque de génération. Pourtant la conclusion du film sans livrer toutes les clefs nous dit que pourquoi pas, tout et possible...a voir donc.
j'ai hésité plusieurs fois à la visionné mais je me suis quand même jeté à l'eau. ben pas si mal que çà, un bon sujet qui est l'inverse que d'habitude donc cela change, ses les femmes d'un quarantaines d'années cette fois qui vont avec des hommes de 20 ans plus jeunes. un bon trio d'actrices qui jouent bien leur rôle, il y a des moments sympas et marrants mais il y a quand même pas mal de passages un peu trop sexe ou sexy voir assez vulgaire qui n'est pas à mettre à tout le monde donc à ne surtout pas aller avec ses enfants trop jeunes car cela pourrait trop les surprendre, c'est mon avis perso.
Le lynchage critique et public envers ce film semble vraiment incompréhensible. Quand on voit comment une comédie comme « Larguées » sortie récemment, si elle n’est certes pas taxée de chef-d’œuvre, est soutenue par les deux versants alors qu’elle est d’une banalité confondante et pas drôle, c’est à n’y rien comprendre. Les goûts et les couleurs me direz-vous… « MILF », au titre certes racoleur et dans l’air du temps (mais pourquoi le lui reprocher ?), est pourtant une chronique estivale pleine de punch, de fraîcheur, de répliques bien envoyées et de situations cocasses. Un peu dans la même veine polissonne et joyeuse que « Les Bronzés » croisés avec « Les Sous-doués en vacances », le tout actualisé et saupoudré d’un sujet totalement contemporain. En revanche, si l’on a constamment le sourire aux lèvres, on ne peut pas dire que ce soit la franche rigolade non plus, les vraies occasions de rire étant plutôt rares.
On y voit donc trois quarantenaires plutôt bien conservées parties ranger la belle maison de vacances de l’une d’elle avant sa vente. Là-bas, elles pensent aussi à s’amuser et font la connaissance de trois jeunes bellâtres avec qui elles vont commencer à flirter. Sous le vernis de l’inconséquence et de la légèreté, se dresse pourtant le portrait en creux d’une certaine partie des femmes occidentales d’aujourd’hui. Prêtes à encore séduire et ne voulant pas se laisser enfermer dans certains carcans, elles adoptent un féminisme dans l’air du temps duquel le film se fait gentiment l’écho. On apprécie la liberté de ton choisie par Axelle Laffont. Les dialogues sont crus, tout comme certaines scènes érotiques très osées, ce qui change du tout-venant des comédies formatées que l’on voit pleuvoir sur les écrans à l’heure actuelle. Ce parti pris audacieux est à saluer et « MILF » ne souffre d’aucune baisse de rythme dans la narration de ces flirts amoureux.
Alors, bien sûr, l’histoire ne va pas beaucoup plus loin et le long-métrage ne creuse pas son sujet au-delà de l’anecdote mais « MILF » assume parfaitement sa liberté de ton sans jamais tomber dans le graveleux. C’est un film revigorant pour les femmes et gentiment coquin pour les hommes. La mise en scène ne brille pas, elle est même anecdotique au possible et juste fonctionnelle mais ce n’est pas ce qui ressort en premier à la vision du film. Les trois comédiennes portent leur rôle et ce qu’il représente avec fierté (Virginie Ledoyen n’a cependant pas beaucoup d’expressions de jeu à offrir) tandis que les trois bellâtres choisis pour se mettre en face d’elles jouent bien en plus d’être charmants et complètement craquants. Les six rôles frôlent certes parfois le stéréotype, de manière à toucher le maximum de spectateur qui pourrait se retrouver dans l’un ou l’autre des traits de caractère des personnages. C’est cependant mis en place avec assez de finesse pour convaincre. « MILF » est donc une petite bulle de fraîcheur et de bonheur parfaite pour l’été, avec ce qu’il faut de piquant en rapport avec le sujet pour que ce soit destiné à un public averti.
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Même en étant « bon public », même en étant bienveillant avec le cinéma français, même en ayant une humeur joyeuse en ce printemps pluvieux et donc propice aux belles séances cinématographiques, il faut bien dire ici que l’on est en présence d’un navet monumental comme il en pousse peu, fort heureusement. Sur le papier, rassembler quelques comédiennes auxquelles on n’est pas indifférent, partir d’un sujet, certes bateau, mais qui pourrait donner lieu à du rire et/ou de l’émotion, ne semble pas une mauvaise idée. Au final, le film est à bout d’arguments dès la première bobine, et verse rapidement vers la vulgarité la plus crasse, et sans nous faire sourire ne serait-ce qu’à une bonne réplique. Oublions vite ce naufrage !
Axelle Lafont était une Miss Météo souvent hilarante dans ses prestations télévisées de Nulle part ailleurs. On pouvait donc espérer que son premier film serait dans le même esprit. Hélas, le résultat est une comédie ennuyante où l’humour ne fonctionne pas. Alors que le thème est assez novateur, on a l’impression d’assister à un film mille fois vu. Ce scénario assez inintéressant n’est pas rehaussé par une réalisation extrêmement banale. Les interprètes ne sont pas mauvais mais seule Virginie Ledoyen arrive réellement à tirer son épingle du jeu. MILF est donc une comédie peu recommandable qui n’aurait pas dû dépasser le statut de téléfilm.
Pour sa première derrière la caméra pour le cinéma, Axelle Laffont a fait un film à son image, et ce même si elle n'a pas écrit le scénario cependant, c'est loin d'être réussite. C'est un peu fou, sulfureux et dynamique, mais ça manque de consistance. On pouvait s'en douter avec un tel titre surtout que le film est comme une définition de ce terme avec ces trois femmes hormis Cécile qui cherchent à passer du bon temps et qui s'amourachent de jeunes hommes, mais c'était aussi l'occasion de parler d'autres choses comme de l'insécurité qu'une femme peut ressentir passé un certain âge ou même de deuil puisqu'il en question avec une veuve. La seule "originalité", c'est que ce sont les femmes qui tiennent le "beau rôle" et non pas les hommes. Dans un premier temps, c'est équilibré seulement, cela ne dure pas. Le parfait exemple est l'évolution de la relation entre Élise et Paul qui devient gênante au fil des minutes. D'ailleurs les nombreuses scènes de sexe qui sont de plus en plus osées participent à cette gêne. On sent bien que c'est uniquement là pour combler la superficialité du scénario. C'est dommage, car l'on ne s'ennuie pas vraiment, mais l'ensemble est vite lassant. Le trio fonctionne très bien notamment sous l'impulsion d'Axelle Laffont qui est superbe. Au final, c'est léger, pas désagréable, mais quand même pas terrible et vite oubliable.
Rien de neuf sous le soleil se ce n'est l'approche de ce phénomène réel, depuis la nuit des temps, mais qui s'est nommé voilà quelques lustres avec la multiplication des sites pornographiques. Ici la volonté est louable par l'aspect des femmes délaissées, trompées, perdues qui ne souhaitent au final que retrouver un peu de douceur et de tendresse mais qui une fois de plus ne peuvent pas se passer sincèrement de sentiments réels. Mais l'ensemble est tournée trop légèrement et c'est finalement ce qui nuit à l'ensemble du film. Correct, mais sans plus.
Une comédie légère (trop ?) mais qui manque un peu de subtilité. La fraicheur des comédiennes fait plaisir à voir, mais au final le film ne raconte que des amourettes de vacances.
Tous les clichés sont rassemblés dans ce film. Trois actrices qui jouent plutôt mal et sans conviction et se rendent compte qu'elles attirent des jeunes bien bâtis au Qi approximatif. Scénario vide. Dialogues vides. On a plutôt l'impression que nos 3 copines se sont offert un tournage sur la cote d'azur aux frais du spectateur. Sans aucun intérêt.
Ça commence mal au niveau du jeu d'acteur. Les dialogues sont pathétiques. Les affrontements entre femmes de générations différentes sont ridicules. Les caricatures des femmes dans la quarantaine super gaulées et assoiffées de chair fraîche face à des hommes dans la vingtaine qui font l'amour comme dans des pornos, manquent cruellement de nuance. On se demande ce que Virginie Ledoyen est venue faire dans cette histoire. Même la musique ne fonctionne pas ! Pourtant avec un titre pareil, il y avait de quoi faire une bonne comédie. Il faut l'avouer, c'est un échec. J'ai résisté à passer à autre chose au bout de vingt minutes, pensant que les personnages étaient arrivés au fond et allaient évoluer. Erreur, ils poursuivent dans leur médiocrité. À éviter absolument.