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    Un beau dimanche
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    2,7
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    175 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 février 2014
    Ce drame se transforme peu à peu, en étant bien meilleur dans la seconde partie qua dans la première. Mais ça reste tout de même assez moyen, notamment du fait d’un scénario qui manque de finesse et de l’interprétation un peu fade de Pierre Rochefort. Par contre, Dominique Sanda est immense dans ce rôle de matriarche.
    William Spindler
    William Spindler

    13 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juillet 2014
    Le film est sans surprise, ultra classique dans sa facture, très "français" dans son écriture et sa mise en scène. Mais il en émane un charme, une tension dramatique qui tient sans doute à la direction d'acteurs. Après un début peu crédible, les personnages finissent pas naître et offrir au film un charme simple et touchant.
    Véronique A
    Véronique A

    11 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2014
    Je n'ai pas retrouvé la poésie que j'aime dans les films de Nicole Garcia d'habitude, et je me suis un peu ennuyée. Grande déception.
    Vinz 1712 Richard
    Vinz 1712 Richard

    6 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 août 2014
    Rat� ! Rat� ! Rat� ! C'est d�cousu ! Louise Bourgoin n'articule pas. D�pensons notre argent � faire autre chose que des bouses pareilles ! A montrer dans les ecoles de cinema pour connaitre ce qu'est un mauvais film.
    Yves G.
    Yves G.

    1 466 abonnés 3 491 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 février 2014
    J'adore Nicole Garcia, sa froide élégance, sa diction saccadée. J'ai vu tous ses films depuis "Un week-end sur deux" : "Le fils préféré", "Place Vendôme", "L'adversaire" (inspiré de l'affaire Romand), "Selon Charlie", "un balcon sur la mer".

    Dans "Un beau dimanche" comme dans ses autres films, il est question de familles déchirées, perdues et retrouvées.
    Mais on ne le comprend pas immédiatement.
    Baptiste, le héros du film (joué par Pierre Rochefort, le fils de Jean et de la réalisatrice), est instituteur. il prend sous sa coupe le jeune Mathias. Un beau dimanche, il l'accompagne rejoindre sa mère, Sandra (Louise Bourgoin) qui travaille comme serveuse sur une plage. Très jolie, un peu paumée, la jeune femme a des dettes et des créanciers à ses trousses.
    Le film bifurque quand Baptiste décide de solliciter sa famille pour éponger la dette de Sandra. Le temps va se suspendre dans le splendide château familial dont on comprend que Baptiste s'est enfui quelques années plus tôt sans espoir de retour.

    Tout est trop sage, trop lisse, dans ce film élégant. La romance qui rapproche les deux héros ne produit jamais d'étincelles. La critique convenue de la bourgeoisie confite dans ses principes ne convainc guère, malgré la joliesse de Déborah François.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 577 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Il est rare que je me sente perplexe après avoir fini de regarder un film. Il est bon ou mauvais ou entre les deux mais rarement ou en fait jamais je n'ai eu l'impression d'avoir été trompé. Avec Un beau dimanche j'ai eu l'impression que ça n'avait pas encore commencé. Cette heure et plus n'était qu'une introduction et le divertissement promis n'a jamais commencé. Il commence par une intrigue qui se développe en une autre apparemment étrangère à l'idée principale de l'histoire du film. Les deux intrigues sont incroyablement faibles irréalistes et ennuyeuses et tellement clichées. Le jeu des acteurs n'est pas bon non plus l'enfant acteur n'ayant pas pu livrer sa performance et les deux acteurs principaux ne sont pas terrible non plus. C'est une surprise plutôt désagréable d'un cinéma français habituellement très bon...
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2014
    Le temps d'un week-end de Pentecôte, Nicole Garcia nous raconte une histoire qu'on peut trouver insignifiante (lire certains internautes) ou très attachante dans sa très relative simplicité. Les interprètes excellents ne sont pas pour peu dans le charme qui se dégage de ce film supérieurement réalisé, sans esbroufe aucune. Une vraie réussite.
    Septième Sens
    Septième Sens

    85 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 février 2014
    Tous les quatre ans, Nicole Garcia réalise un film ayant un point en commun : l'humanisme. Hier, elle faisait replonger Jean Dujardin dans un passé douloureux. Aujourd'hui, le passé a encore une grande importance puisqu'il peut bâtir ou détruire notre avenir. Baptiste est un instituteur suppléant qui doit garder l'un de ses élèves un week-end. Il va rencontrer sa mère, Sandra, saisonnière sur la côte méditerranéenne.

    Un beau dimanche est un drame bourgeois pépère, un cinéma de « papa » au rythme lent et à l'action quasi inexistante. Qu'importe me direz-vous s'il se passe des choses à l'image et si un véritable propos émane de ce récit. Nous sommes malheureusement tristes d'assister à des parallèles lourds entre le quotidien de gens aisés et la classe moyenne. Que cela soit dans les images ou les répliques proposées, Nicole Garcia fait une analyse creuse de ces deux mondes que tout oppose, mais que la réalisatrice n'arrive pas à rendre intéressant, ni sincère. Mal approfondis, les propos évoqués sur la question de l'héritage et les choix moraux liés à cette notion ne servent qu'à donner plus d'épaisseur à un personnage qu'on veut rendre mystérieux.

    Par ailleurs, qu'est en est t-il de ces deux personnages principaux, s'imaginant en couple fugitif le temps d'un week-end ? Sur le papier, Baptiste et Sandra ressemblent à des archétypes. L'un est solitaire et veut sa liberté à tout prix pour pouvoir exister. L'autre est fragile et doit construire un avenir tout aussi chancelant. Tous deux ont des comptes à régler avec leur passé. S'ils pouvaient facilement tomber dans une caricature agaçante, ces protagonistes ont la chance d'être incarnés par Pierre Rochefort et Louise Bourgoin, réussissant à leur donner une empathie bienvenue et une certaine épaisseur.

    Sachez qu'au cinéma, les choses peuvent aller très vite. En étalant son récit sur seulement deux jours pour rendre sa narration plus forte, Garcia a confondu vitesse et précipitation. Nous ne sommes pas attristés par les antécédents de cette mère en détresse. Nous ne sommes pas convaincus par le passé familial du jeune homme. Nous ne croyons pas en leur histoire d'amour. Ici, le négatif l'emporte sans aucun compromis.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 février 2014
    Quand un précaire rencontre une autre précaire est-ce que ça peut produire de l’amour durable ? Le film de Nicole Garcia ne le dit pas, mais il montre comme une évidence que deux cœurs tendres sont faits pour s’entendre quand le hasard s’en mêle. Baptiste, instit intérimaire dans le sud-ouest se retrouve à garder un de ses élèves délaissés par son père. Et le jeune Mathias le conduit direct à sa mère, barmaid dans un restau de plage…
    Première partie : Baptiste le mélancolique découvre l’itinéraire chaotique de l’insouciante Sandra. Elle vit au jour le jour et rêve d’exil lointain. En attendant, son projet de reconversion a foiré et elle a une grosse dette… Deuxième partie : Baptiste a son plan pour l’argent. Sandra le regarde faire son retour dans la grande propriété familiale. Les souvenirs remontent : les brillantes études laissaient présager une belle carrière, avant le « burn out », l’internement, la fuite, la rue…
    En additionnant un et deux, Baptiste et Sandra se sont découverts, charmés, aimés. Ils repartiront ensemble en espérant que ça dure. Une belle histoire simple, traitée d’une manière également simple. Mais ça marche, car si la crédibilité de certaines scènes est douteuse, les personnages sont touchants de sincérité. Pierre Rochefort, le fils de Nicole Garcia, en beau ténébreux et l’originale Louise Bourgoin, moins barrée qu’il y paraît.
    momo M.
    momo M.

    40 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2014
    La première partie est très bien. Avec la première scène pour laquelle on se pose des questions (que vient-elle faire dans ce film ?) Malheureusement plus le film avance et moins on y croit. Les situations ne sont pas très crédibles. On s'attache néanmoins aux personnages et à leur histoire. Les acteurs sont bons. J'avais beaucoup d'hésitation à propos de Pierre Rochefort "fils de.." Mais il s'en sort très bien. On en a quand même un peu ras le bol des réalisateurs qui font jouer leurs rejetons.
    Pathé t'es pas fan.
    Pathé t'es pas fan.

    19 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 février 2014
    À l'heure de la crise française, d'une ambiance mélancolique comment France télévision peut sponsoriser un scénario où un riche vit une vie de marginale au lieu d'un château à dix chambres...
    Loïck G.
    Loïck G.

    337 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2014
    Une sensation rare et bizarre : ne pas avoir vu le temps passé, avoir apprécié la mise en scène, le jeu des acteurs (Pierre Rochefort, Louis Bourgoin, Dominique Sanda..) et suivi l’histoire, passionnément, et au bout du compte l’impression d’un vain discours. Dubitatif, perplexe devant la belle énergie déployée par Nicole Garcia, que j’ai ressentie, mais jamais partagée.
    Pour en savoir plus
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 février 2014
    Quel acteur fin et puissant que Pierre Rochefort, illuminé par sa rencontre avec Louise Bourgoin. Chabrol n'est pas loin quand on pénètre l'univers pesant de la famille du jeune instituteur. Une belle histoire d'amour et un portrait au vitriol d'une certaine France conservatrice terriblement castratrice.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 février 2014
    Dans le cinéma français, il y a les vrais bons films, les vrais mauvais films, et puis il y a aussi souvent tout le reste. Enième drame pseudo-intimiste produit dans notre cher pays amateur de vaine contemplation, Un beau dimanche aura au moins permis à Nicole Garcia de mettre une ligne supplémentaire sur son CV et de donner du boulot à son rejeton. C’est à peu près tout.

    Surprise ils vont finir ensemble ! Voilà, plus aucun intérêt d'aller voir le film donc

    Réalisatrice au rythme frénétique (je vous en avais déjà parlé ici), Nicole Garcia est à cet égard très représentative d’un certain cinéma français désespérément accroché à l’idée qu’il lui faut produire et distribuer 200 films par an pour exister, et peu importe lesquels.

    Ni vraiment mieux ou moins bien réalisé et interprété que tant d’autres, Un beau dimanche est en effet le même film que l’on a déjà dû voir 10, 20 ou 50 fois l’année dernière et ne mérite au fond sans doute pas d’être plus durement jugé que tous ses comparses. Manque de bol pour lui il fallait bien que la goutte finisse par déborder du vase et c’est donc lui qui va prendre pour tout le monde.

    Comme il existe une écriture automatique, il semble bien qu’il existe dans le cinéma français une production automatique, subtil procédé qui permettrait de réaliser à l’infini des films apparemment personnels et originaux reposant en réalité toujours sur les mêmes principes exploités à la chaîne jusqu’à être vidés de leur sens même.

    Un homme, une femme. Des marginaux bien sûr, tous les deux à leur façon. Usés et abîmés par la vie, mais avec jusqu’assez de force pour s’accrocher l’un à l’autre et sortir la tête de l’eau. Un secret, lourd. Une histoire de famille, de tabou. Des regards dans le flou, qui valent mille mots. Des mots tout de même, simples mais chocs, qui font réfléchir. Et puis une renaissance, parce qu’il faut sourire à la vie.

    Aussi stéréotypé qu’un film de ce genre peut l’être, Un beau dimanche a au moins le mérite de ne jamais dévier de son principe premier : l’ennui. Après une première heure mille fois vue et tout à fait soporifique, le film de Nicole Garcia paraît prendre un tournant quand son final s’annonce, le nœud dramatique prêt à se défaire. Il n’en est malheureusement rien et Un beau dimanche reste finalement du début à la fin terriblement vain et d’un intérêt presque nul, à moins de n’avoir jamais vu un drame français ces dix dernières années.

    Déjà pas très bien servi par une histoire franchement sans grand intérêt, le dernier épisode de la saga Garcia est en plus plombé par une interprétation d’une fadeur peu commune, Louise Bourgoin étant la seule à essayer laborieusement de donner un peu de vie à des personnages tous aussi plats et caricaturaux les uns que les autres. Si je n’aime pas tirer sur les ambulances (je sais ça paraît dur à croire mais c’est le cas), je me dois d’ailleurs ici de souligner l’interprétation absolument calamiteuse de Pierre Rochefort, à peu près aussi expressif qu’une patate douce et qui a bien de la chance d’avoir sa maman pour lui donner du boulot. Manque de pot, c’était lui qui devait porter le film. Voilà.

    Certains aimeront sans doute se laisser prendre par les longs silences, les regards perdus dans le vide et les perpétuelles formules laconiques sensées dire beaucoup en peu de mots. Il y a en effet dans Un beau dimanche assez de vide à moitié rempli et de contemplation hasardeuse pour satisfaire les partisans de l’exercice de style permanent. Soit, après tout il en faut bien pour tout le monde.

    Il n’empêche, on ne m’empêchera pas de penser que tout cela a un méchant air de réchauffé et qu’il faudra bien un jour s’interroger sur les raisons pour lesquelles les séries TV sont doucement et sûrement en train de remplacer le cinéma dans l’imaginaire des jeunes générations.

    En attendant, un scénario et des dialogues potables feraient largement l’affaire.
    P.  de Melun
    P. de Melun

    55 abonnés 1 128 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 septembre 2019
    Voilà un film qui commence plan-plan et qui peu à peu, avec une grande intelligence et beaucoup de subtilité, nous fait pénétrer parallèlement dans deux mondes si socialement éloignés qu'ils en ignorent les codes, chacun de leur côté. La peinture de la bourgeoisie n'est, pour une fois, ni manichéenne, ni caricaturée. La vision, par ailleurs, du monde de la précarité, des petits boulots et des petits voyous est si vraie qu'on ne peut que s'enthousiasmer de la composition d'une Louise Bourgoin exceptionnelle et bluffante dans un rôle de pauvre fille qui a trop vite grandie dans un monde sans pitié. Quant à Pierre Rochefort, le pistonné qu'on attendait au tournant, il est la révélation de l'année, tout en retenue et en finesse. Nicole Garcia réalise ici son meilleur film.
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