Film pas mal! Dialogue très court! Ressenti bizarre! Même si l'histoire est dur la réalisatrice trouve certaine chose pour nous énervé et nous faire rire après! Le scenario est court mais bien construit!
Un film d'amour manichéen sur la confrontation de deux classes sociales. C'est un peu caricatural. Cela pourrait être un mauvais téléfilm mais on en sort bouleversé car les sentiments sont filmés avec nuances et delicatesse.
Louise Bourguoin y est juste, les traits tirés, la jambe un peu lourde et le cheveux gras. Pierre Rochefort peine à camper ce rebel bourgeois, taiseux et mystérieux. Trop de sentiments contraires l'habitent. On aimerait que le metteur en scène lui donne l'occasion d'approfondir son personnage. On reste en surface.
Le second role de Deborah Francois, petite sœur modèle inquiétante et tourmentée, qui pourtant n'apparait qu'en deuxieme partie nous en dit plus sur la poids d'un héritage social. Malgré tout, Nicole Garcia parvient à faire de ce film un moment beau et douloureux.
le première parti était très bien, mais arrivé le dimanche c'était moins bien, j'ai moins acroché, je suis allé voir ce film uniquement pour louise bourgoin, elle est vraiment top, elle a super bien joué, quelle classe cette fille!! bravo je te félicite
Un très joli film encore une fois de Nicole Garcia qui porte un regard fin et lucide sur notre société. Le récit d'un beau week-end mais la romance n'exclut pas une critique acerbe d'un mépris de classe qui fait des ravages.
Malgré le charme de Louise Bourgoin, ce drame ne va pas vous passionner. Le scénario est pauvre. Au bout d'heure, l'histoire s'enlise et l'ennuie s'installe. A éviter.
Il nous a rarement été donné de voir une production cinématographique aussi plate. Joué par des acteurs qui débitent de tristes lapalissades, le scénario d'"Un Beau dimanche" est un parangon de manichéisme distillant des stéréotypes d'une inconcevable naïveté. Un film inconsistant qui échoue dans toutes ses tentatives de critique sociale ou d'étude des liens familiaux. Une demi-étoile pour la charmante propriété dans laquelle se déroule une partie de l'histoire.
Très mauvais film. D'un ennui terrifiant. Un film qui se veut moraliste mais qui pousse au contraire le spectateur à se dire "l'argent ne fait pas le bonheur mais je préfère rouler en porsh". Le sujet du burn out chez les gens brillants aurait pu être intéressant s'il avait été traité. Mais ce n'est pas le cas. A la place de ça, il y a une histoire assez pauvre, très mal cadrée, avec une Louise Bourgoin qui a aucun moment ne nous touche. Seule Deborah François et benjmain LAvherne donnent les trop rares moments d'intérêt à ce film. J'ajouterai que quand on a de l'argent, il est mal venu de donner des leçons de morale.
Nicole Garcia connait bien le cinéma français et après un apprentissage auprès des plus grands réalisateurs, elle passe derrière la caméra depuis plusieurs années déjà. Après Jean Pierre Bacri puis Jean Dujardin au top de leur émergence médiatique, elle se sert ici de la montée en puissance de l’actrice Louise Bourgoin. De film en film, l’ex miss météo -on doit lui rappeler assez souvent- réussit sa reconversion. Déjà seul rayon de soleil du bien terne « Tirez la langue mademoiselle » elle est radieuse dans ce film là.
Elle tire sa beauté de ses galères, des saisons qui passent, pas les quatre régulières d’un cycle annuel mais celles qu’elle fait, qu’elle exécute cherchant à vivre de son travail en alternant les mondes...
après une première partie assez correcte........ça s'enlise plus ou moins........et ça se veut moraliste !! (on se dit qu'il est bien con de refuser son héritage)........un bon point pour les débuts du fils Rochefort cependant ........quant a Louise , si elle ne se dévêt pas c'est tout de suite moins intéressant.........!!!
Déjà pas fan de cinéma français j'appréhendai de voir ce film. Pour Nicole garcia que j'apprécie je me suis dit qu'il fallait voir. Egalement pour retrouver Dominique Sanda. Déjà ça ! Autrement, j'ai bien perdu la moitié du film avec des dialogues quasi inaudible. On regrette prsque des sous-titres pour pouvoir suivre. On se demande donc si les acteurs ont pris des cours de diction. Les fonds sonores d'ambiance (sans grand intéret) couvrent, en plus et souvent, les dialogues. Cela rend le film pénible à suivre et cela deb vient ennuyeux. Oui, c'est pas bon signe quand on pique du nez ! Le sujet, qui a du mal à partir, manque de profondeurs. L'ensemble se traine et on ne sait pas où on va. Et, quand le mini-puzzle se met en place... it's the end. Non seulement on doit se poser les questions, mais il faut y apporter les réponses. Alors on se construit sa propre intrigue en r déraillant. Et, ce qui simple, basique et banal devient compliqué. Aucun personnage en devient attachant ou intéressant. Même plus du cinéma vérité. On se contente d'une tranche de vie aussi fade qu'un plat non réchauffé et sans sel, puisque manque cruel d'émotions. Et puis on comprend, c'est très dur de devenir ordinaire, marginal et paumé en quittant Porche, château, domestiques, et Cac40.
Inconsistant, scénario peu vraisemblable, personnages dénués d'existence réelle (le meilleur exemple en est le petit garçon, qui est présent tout le temps mais à qui la réalisatrice n'a pas réussi à donner une personnalité), ce film est raté...On s'ennuie beaucoup, et la fin qui éclaire le personnage principal est peu plausible et ne vient pas rehausser le niveau du film...
Film très lent, film déprimant. Il est beau, intelligent et il a de l argent mais pourtant sa ne l intéresse pas, il est lasse de vivre, il aime donner de l instruction a des innocents. On nous répète être en crise, on a peut de revenu, rien n est simple et lui il refuse. Je pense ne rien avoir compris a la vie.
L'affiche pourrait évoquer "L'inconnu du Lac" version hétéro avec, cette fois-ci une femme de dos regardant un jeune homme dans la mer. Mais malheureusement il n'en est rien question cinéma. Le pitch : Un beau dimanche raconte la rencontre entre un instituteur intérimaire rejeton d'une grande famille bourgeoise et l'un de ses élèves issu d'un milieu plus modeste et puis la mère de l'enfant. D'un côte les riches, de l'autre les pauvres. Les uns et les autres avec leurs secrets qui nous seront finalement dévoilés. Et alors? En bah rien mis à part une suite de clichés racontés façon "chic"... L'intérêt du film, c'est Pierre Rochefort, fils de Nicole Garcia (réalisatrice du film) et de Jean Rochefort. Pierre Rochefort dont on s'amuse à chercher s'il ressemble à son père ou plutôt à sa mère pour finalement conclure qu'on a envie de le revoir dans un film qui ne sera pas un film de "famille".