Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Humanité
par Jean Roy
Écrit avec Jacques Fieschi, ce film aurait dû nous déplaire, trop de plans, trop de caméra portée, trop d’intrigue familiale, trop de ce qu’on n’aime pas en général. Pourtant, toutes ces prévenances se sont muées en vertus. On est ressorti de la salle ému et comblé. Et si Nicole Garcia avait donné là son meilleur film ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Elle [Nicole Garcia] est en empathie avec ses personnages à la sensibilité exacerbée et les suit au plus près. Rendant palpables leurs blessures et leurs espoirs, délicatement, sans tomber dans le pathos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
« Un beau dimanche » est une histoire soigneusement scénarisée, toute en délicatesse et en intensité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Epurée mais généreuse, sa mise en scène renoue avec le souffle simple et délicat de ses premiers longs-métrages, "Un week-end sur deux" et "le Fils préféré". La révélation du film reste Pierre Rochefort, son fils : il y est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
L'histoire de cet instituteur retournant dans sa famille huppée pour aider une jeune femme endettée est bouleversante.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le septième film de Nicole garcia fait penser à un premier. Mais sans maladresses, sans ces atermoiements qui encombraient parfois ses films précédents où elle voulait tout dire et tout montrer, de crainte de n'être pas comprise.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
(Nicole Garcia) signe une mise en scène libre, remplie de lumière et de personnages blessés qui se serrent les coudes, filmés au plus juste et sur laquelle passe le souffle de Tchekhov et de la fracture sociale.
Le Monde
par Franck Nouchi
Le conflit familial est là, tout proche, menaçant d'éclater quand le vernis des pesanteurs et des conventions sociales aura fini de se craqueler. Le nouveau long-métrage de Nicole Garcia est un de ces films auxquels, sans s'en apercevoir, on finit par s'attacher.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Le résultat est pourtant très probant et touchant. Pierre Rochefort apporte à l'écran une présence singulière, mélange de tension et d'envie de vivre, de simplicité et de mystère.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gérard Lefort
Et les amoureux du dimanche ? Les deux acteurs principaux sont à la hauteur pour nager dans ce bain de subtilités et ne pas y perdre pied. Louise Bourgoin (Sandra), idoine en belle pas bête, et Pierre Rochefort (Baptiste), plus que présent par ses somptueuses absences.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Le nouveau long-métrage de Nicole Garcia cherche parfois son chemin. Mais la réalisatrice y met sa sensibilité (...).
Positif
par Adrien Gombeaud
Nicole Garcia travaille une ambiguïté fondamentale : notre envie de stabilité, d'un cadre familial rassurant, d'un idéal bourgeois, d'une demeure qui surplombe la rivière. Et le sentiment que la vie est ailleurs. En bas dans la vallée, le long des chemins.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Jacques Morice
Le film est juste, concis, simple — c'est une ligne claire, toujours stimulée par la perspective d'une délivrance, d'une vie meilleure.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jean-Claude Arrougé
Après sa très belle prestation dans Gare du Nord, Nicole Garcia repasse derrière la caméra et nous propose un film sensible, lumineux, captivant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
La réalisatrice explore, avec justesse, des milieux que tout oppose.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Nicole Garcia filme une nouvelle fois la fragilité masculine dan un film attachant et servi par une belle distribution, dont la lumineuse Dominique Sanda.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Isabelle Danel
Nicole Garcia nous offre des moments de grâce absolue dans ce "Beau Dimanche" traversé de douleurs, de rancoeurs et de rendez-vous manqués...
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Pierre Rochefort (fils de la réalisatrice et du comédien Jean Rochefort) peine un peu à se mettre à la hauteur d’un personnage assez difficile à interpréter, puisqu’il doit à la fois exprimer un détachement, une labilité psychologique, et incarner la force et la volonté qui se tapissent en lui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
L’ombre de Visconti affleure une seconde ? C’est sur du Klapisch qu’on retombe. Issue prévisible, quand on canalise ainsi le réel dans une intention univoque, c’est-à-dire quand les décisions d’écriture prennent à ce point le pas sur les paris de mise en scène.
Critikat.com
par Clément Graminiès
Chaque scène du film est à l’image de son titre : engoncée dans des formules un peu creuses qui voudraient pourtant révéler la part sombre des êtres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
Écrit avec Jacques Fieschi, ce film aurait dû nous déplaire, trop de plans, trop de caméra portée, trop d’intrigue familiale, trop de ce qu’on n’aime pas en général. Pourtant, toutes ces prévenances se sont muées en vertus. On est ressorti de la salle ému et comblé. Et si Nicole Garcia avait donné là son meilleur film ?
Le Figaroscope
Elle [Nicole Garcia] est en empathie avec ses personnages à la sensibilité exacerbée et les suit au plus près. Rendant palpables leurs blessures et leurs espoirs, délicatement, sans tomber dans le pathos.
Le Parisien
« Un beau dimanche » est une histoire soigneusement scénarisée, toute en délicatesse et en intensité.
TéléCinéObs
Epurée mais généreuse, sa mise en scène renoue avec le souffle simple et délicat de ses premiers longs-métrages, "Un week-end sur deux" et "le Fils préféré". La révélation du film reste Pierre Rochefort, son fils : il y est bouleversant.
20 Minutes
L'histoire de cet instituteur retournant dans sa famille huppée pour aider une jeune femme endettée est bouleversante.
L'Obs
Le septième film de Nicole garcia fait penser à un premier. Mais sans maladresses, sans ces atermoiements qui encombraient parfois ses films précédents où elle voulait tout dire et tout montrer, de crainte de n'être pas comprise.
Le Journal du Dimanche
(Nicole Garcia) signe une mise en scène libre, remplie de lumière et de personnages blessés qui se serrent les coudes, filmés au plus juste et sur laquelle passe le souffle de Tchekhov et de la fracture sociale.
Le Monde
Le conflit familial est là, tout proche, menaçant d'éclater quand le vernis des pesanteurs et des conventions sociales aura fini de se craqueler. Le nouveau long-métrage de Nicole Garcia est un de ces films auxquels, sans s'en apercevoir, on finit par s'attacher.
Le Point
Le résultat est pourtant très probant et touchant. Pierre Rochefort apporte à l'écran une présence singulière, mélange de tension et d'envie de vivre, de simplicité et de mystère.
Libération
Et les amoureux du dimanche ? Les deux acteurs principaux sont à la hauteur pour nager dans ce bain de subtilités et ne pas y perdre pied. Louise Bourgoin (Sandra), idoine en belle pas bête, et Pierre Rochefort (Baptiste), plus que présent par ses somptueuses absences.
Ouest France
Le nouveau long-métrage de Nicole Garcia cherche parfois son chemin. Mais la réalisatrice y met sa sensibilité (...).
Positif
Nicole Garcia travaille une ambiguïté fondamentale : notre envie de stabilité, d'un cadre familial rassurant, d'un idéal bourgeois, d'une demeure qui surplombe la rivière. Et le sentiment que la vie est ailleurs. En bas dans la vallée, le long des chemins.
Télérama
Le film est juste, concis, simple — c'est une ligne claire, toujours stimulée par la perspective d'une délivrance, d'une vie meilleure.
aVoir-aLire.com
Après sa très belle prestation dans Gare du Nord, Nicole Garcia repasse derrière la caméra et nous propose un film sensible, lumineux, captivant.
La Croix
La réalisatrice explore, avec justesse, des milieux que tout oppose.
Les Fiches du Cinéma
Nicole Garcia filme une nouvelle fois la fragilité masculine dan un film attachant et servi par une belle distribution, dont la lumineuse Dominique Sanda.
Première
Nicole Garcia nous offre des moments de grâce absolue dans ce "Beau Dimanche" traversé de douleurs, de rancoeurs et de rendez-vous manqués...
Les Inrockuptibles
Pierre Rochefort (fils de la réalisatrice et du comédien Jean Rochefort) peine un peu à se mettre à la hauteur d’un personnage assez difficile à interpréter, puisqu’il doit à la fois exprimer un détachement, une labilité psychologique, et incarner la force et la volonté qui se tapissent en lui.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
L’ombre de Visconti affleure une seconde ? C’est sur du Klapisch qu’on retombe. Issue prévisible, quand on canalise ainsi le réel dans une intention univoque, c’est-à-dire quand les décisions d’écriture prennent à ce point le pas sur les paris de mise en scène.
Critikat.com
Chaque scène du film est à l’image de son titre : engoncée dans des formules un peu creuses qui voudraient pourtant révéler la part sombre des êtres.