Avis : Le Monde de Dory - Page 9

Quand Le Monde de Nemo est sorti, on était loin de s’imaginer qu’il y aurait une suite. Treize ans plus tard, c’est chose faite, sans surprise d’ailleurs, au vu des autres classiques de l’animation modernisés, dont Le Livre de la Jungle reste en tête. Ainsi Nemo laisse la place à Dory, le petit poisson bleu qu’on adore et dont la mémoire est une usine à gags. Retrouvailles pour de nouvelles histoires qui, loin des profondeurs des océans, sait s’en extraire avec malice, portant un beau message de tolérance.
En treize ans, il s’en passe, des choses. Entre 2003 et 2016, l’animation a fait un bond de géant, notamment dans la fluidité des mouvements, dans la création de l’environnement et des personnages, très détaillée, colorée, presque réaliste. Au début, c’est une Dory craquante, à la voix timide, qu’on découvre accompagnée de ses parents. Ensuite, elle se perd, les années passent, on renoue avec Marin et son fils, puis l’aventure démarre quand un déclic soudain pousse notre héroïne à chercher ses parents. Mais le problème est qu’au vu de sa mémoire d’éléphant (de mer !), ça paraît difficile, voire risqué. Mais elle est aidée, en dépit de son handicap. Entre autre source inépuisable d’humour, le film en fait son atout principal, présentant le périple comme une fable sur la différence et sur son acceptation. Comment avancer dans le monde en combattant sa maladie ? Comment s’affirmer face au regard de plus en plus dubitatif de l’autre ? Comment aider, surtout, cet être différent et tirer des leçons de lui ? Toutes ces questions, Andrew Stanton y répond, en insufflant une énergie rafraîchissante, une continuité ininterrompue dans le récit. Même si l’étiquette « pour enfants » emballe certaines scènes, le tout reste tout à fait sympathique, propre à un film familial dont l’été raffole. Pourtant, il conserve son originalité, notamment grâce à sa galerie de personnages, tous aussi attachants les uns que les autres, de Hank le poulpe désabusé à Bailey, le béluga nerveux qui rêve de retrouver l’usage de son sonar. Les studios ont su imposer une suite bien ficelée sans qu’elle tombe dans la facilité. Nemo et Dory ont à présent chacun leur monde respectif, bien qu’il s’agisse du même. Seuls les enjeux sont différents. Parmi eux se dessine, assez floue, une position prise vis à vis du respect des animaux (marins) et de leur environnement, prônant leur libération totale plutôt que le contrôle permanent exercé par l’homme. Ce n’est pas un parti pris bien costaud, mais il tient la route, rappelant toujours que même sous l’eau, la vie est omniprésente.

Une excellente surprise, un beau film malgré quelques moments longuet, enquiquinnant et avec des reprises de perso parfois un peu gros. Mis à part ces détails c'est un plaisir à regarder, l'histoire est OK, mais surtout les nouveaux personnages incorporés sont jubilatoires. Bref, un jolie film un peu triste, mais très mignon, à regarder en douceur.

Beau dessin animé. Essentiellement conçu pour enfant. Pixar reste dans son registre. Une belle morale sur la famille

Beaucoup d'humour, de nouveaux personnages attachants. Mes loulous ont beaucoup aimé Hank, mais une histoire moins prenante que Le Monde de Nemo...

joli petite histoire les petits vont aimes mais n egale pas nemo pixar n a plus d idees c est triste

Particulièrement drôle, visuellement sublime, LE MONDE DE DORY est une bonne surprise pleine d'émotions et d'humour, un film d'aventure couplé à un message fort sur le handicap. Sans pouvoir prétendre au titre de chef-d’œuvre, le 17e long-métrage des studios Pixar est un bon cru, maitrisé et réussi. Si son scénario n'est pas parfait, il a tout pour plaire à toute la famille et pour devenir un (nouveau) succès au box-office... léger et divertissant, parfait pour l'été ! Nagez droit devant vous, direction le cinéma le plus proche !!

C'est bien la suite du monde Nemo. On voit l'histoire de Dory dès son enfance et il ne faut pas partir avant la fin du générique car on y voit la fin du monde de Nemo, les poissons qui voulaient s'enfuir dans leurs sacs plastiques.

Le monde de Dory est très intéressant, bien réussis et dans lequel on retrouve une bonne petite histoire avec des moments un peu farfelues mais tellement agréable et des graphismes, images très belles. C'est drôles, mignon, pleins d'émotions et de rebondissement. Les voix français sont plutôt correct.

On nous plonge dans une fantastique aventure aquatique de ce poisson qui à une mémoire défaillante et qui souhaite retrouver ses parents à la suite d'un incident, avec l'aides de ces amis et de notamment Nemo et Marin

Ici Némo n'est plus le personnage principal mais secondaire dans ce deuxième volets tout aussi réussi que je le premier je trouve.
Très sympathique, à voir en famille ou entre amis, ce film d'animation est vraiment très plaisant.

LE MONDE DE DORY, c'est un plaisir de retrouver les fonds marins de Pixar après 13 ans (LE MONDE DE NEMO en 2003). L'histoire centrée sur DORY, nous en apprend un peu plus sur le poisson bleu (d'où elle vient, ses parents, les raisons pour lesquelles elle sait faire tant de choses). Que dire de plus si ce n'est que passé un bon moment devant un bon divertissement. 14/20.

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Un an après les retrouvailles de Némo et son père, les trois amis vivent paisiblement au rythme des courants océaniques, dans un univers merveilleux de couleurs. Mais un jour de classe, Dory prend soudainement conscience qu’elle ne connaît pas sa famille. Décidée à découvrir ses racines, elle va alors partir dans un périple fou pour retrouver ses parents.
L’histoire en elle-même n’est pas d’une originalité bouleversante mais elle a le mérite d’être crédible (qui ne voudrait pas retrouver ses origines?). On retrouve des personnages connus et on en découvre d’autres. Dory est toujours aussi attachante dans sa maladresse et sa maladie et elle est accompagnée au fil de l’histoire par des nouveaux venus plutôt sympas.
Hank est celui qui m’aura le plus marquée. Doublé à la perfection par Philippe Lelouche, il a ce côté solitaire mais attachant. Voulant absolument se la couler douce dans un aquarium à Cleveland, il va se retrouver à devoir aider Dory dans ses recherches. Son rôle est ponctué de quelques punch line assez drôles qui rajoutent au charme. « Du vent bipède, y a rien à voir! »
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A côté de ça, les images sont toujours aussi belles mais j’ai déploré le manque de beaux décors. Peut-être en ai-je un souvenir erroné mais dans Le Monde de Némo, je me souviens en avoir pris plein les mirettes, d’avoir été bluffée par les couleurs, les effets, etc. Ne vous méprenez pas, la qualité artistique est tout de même au rendez-vous, ne serait-ce que dans la finition des personnages.
Concernant l’histoire, l’ambiance et le ressenti général, j’avoue tout de même ne pas avoir été aussi enjouée que pour Némo. J’ai été charmée par l’histoire et les personnages mais je me suis surprise à trouver le temps long.
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De fait j’ai apprécié mais je n’ai pas été transcendée. La faute aux suites je suppose, qui ne laissent pas d’effet de surprise.

Ça ne vaut pas Le Monde de Nemo... Les situations sont un peu rocambolesque et les auteurs du scénarios n'ont pas chercher à rendre le périple de ces poissons un tant soit peu crédible. Certe la magie de Disney-Pixar autorise toutes les folies mais [spoiler] voir un poulpe conduire un camion sur l'autoroute [spoiler], entre autre scènes abracadabrantes, gâche un peu l'ensemble.

Un bon Disney, drôle etc, ce qu'on attendait.Certains passages sont vraiment hilarant, l'histoire est bonne et le court métrage d'avant film super.

Pas désagréable mais loin de la perfection scénaristique de némo. J'ai vu ce dernier de nombreuses fois et à chaque fois on se rend mieux compte du travail d'écriture, de montage qui est meilleur que cette suite. Bien l'aspect graphique n'est nullement manqué mais cela ne suffit pas pour moi à relevé le défi établi par son honorable aïeul.

Le film est sans aucun doute très plaisant et plutôt bien réalisé.
Mais il est très loin d'arriver à la cheville d'un film tel que Rio par exemple.

C'est mignon, c'est gentil, ça renouvelle Nemo, mais ils sont restés un peu trop symétrique de l'histoire de Nemo. C'est quasiment la même trame pour Dory que Nemo. Dommage, le "Monde de Dory", celle qui a des "troubles de la mémoire immédiate", aurait pût être plus décalé, plus délirant.
Ils sont restés sur la trame de Nemo : spoiler: perdu, recherché, plein de bravoure, retrouvé, happy end
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En tous cas, ma petite de 6 ans riait bien fort malgré mes chuttienstoitranquille, et ma grande qui est née avec Nemo a dit l'avoir trouvé top.
Donc, le jury a validé !