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Un visiteur
4,0
Publiée le 1 août 2016
Les avis sont différents ... Tous les goûts sont dans la nature ...moi j'ai beaucoup aimé , avec mon fils de 5 ans nous avons passé un très bon moment .. N'oublions pas que c'est un film d'animation destiné à faire rire les enfants ... Tous les pseudos critiques cinématographiques qui lâchent des commentaires de 70 lignes pour une dessin animé , allez voir des films d'auteur :) cordialement .
Les mémes personnages et en gros la même histoire que le monde de Nemo donc une impréssion de déjà vu, un peu décevant pour tout dire, J'aimais beaucoup le personnage de Dory en gest dans Nemo, là elle saoul un peu, pas vraiment de trouvaille à part le poulpe que je trouve grotesque
Après « Vice Versa » plutôt décevant, une suite de « Nemo » pouvait déplaire, mais « Le Monde de Dory » est une jolie suite, attendrissante, où l’on retrouve avec bonheur l’atout premier de Pixar : l’écriture. L’humour fin et l’histoire réjouissent un public large et réaniment l’enchantement.
Nemo était léger, drôle. Le mot qui me vient pour Dory c'est juste lourd.
Les 20 premières minutes annoncent déjà une suite bien faiblarde puisque le même schéma est calqué exactement sur le premier. Le comique de répétition sur la perte de mémoire de Dory qui fait sourire au début, deviendra vite insupportable. Le film n'est en fait pas vraiment drôle. J'ai juste ri à la voix de Claire chazal en VF, car ça passe pas DU TOUT cet élément de traduction. Je me demande qui c'était en VO ?
Quand y a plus de péripétie, y en a encore. Tirer sur la corde, faire des situations de plus en plus grotesques pour nous amener à un happy end tellement attendu, c'est juste soporifique.
Jai pas détesté, mais on est très loin des bons Pixar. Dans la lignée du mauvais Arlo.
Rien de neuf du côté de chez nos amis marins. C'est joli et sympathique mais ça reste, à mes yeux, une pâle copie de l'excellent "Le Monde de Némo" à son époque... Les baleines par exemple m'ont plus agacé que fait sourire. Il n'empêche que mes enfants se sont régalés.
Le Monde De Dory est un excellent film. La suite du Monde De Nemo 13 ans après, pour laquelle je n’étais pas très rassuré, ni emballé m’a finalement plutôt étonnamment surpris car elle est à mon sens du même niveau en ayant des choses en moins mais en y gagnant sur d’autres. En clair un nouveau bijou et chef d’œuvre de l’écurie Disney/Pixar. Très bon et beau moment à passer. Il s’agit du 17ème long métrage d’animation du studio mais aussi le 117ème film d’animation Disney issue de la collection numérotée officielle française. Toujours ou presque le même émerveillement et comme je le disais pour cette suite de Nemo, on gagne je trouve en drôlerie et en galerie de personnages avec des nouveaux et de la nouveauté en règle général et en revanche on perd un petit peu le registre émotionnel du premier film, même s’il n’est pas complètement disparu et l’attachement envers Dory se fait sans problèmes. On plonge d’ailleurs sans trop de difficultés dans cette nouvelle odyssée sous les mers où l’histoire débute un an après que Marin le poisson-clown a retrouvé son fils Nemo grâce à Dory. Les amis sont, depuis, inséparables et forment une vraie famille. S’ensuit l’épopée de Dory mais bien accompagner pour sa quête personnelle de retrouver ses parents. A noter que la jonction faite entre les 2 longs métrages est superbement bien réalisé puisque la partie introductive concerne l’enfance subtilement bien traitée du poisson chirurgien bleu amnésique. Pour ma part on frôle la perfection et j’ai eu un plaisir fou à regarder cette nouvelle pépite du cinéma d’animation d’une beauté graphique et virtuose sans précédent avec une nouvelle bande son signée Thomas Newman absolument magnifique. L’humour est vraiment également un des atouts maître de cette suite, on rigole pas mal. En clair, on se jette tous à l’eau dans ce monde de Dory qui nous offre une réjouissante ode à la différence et à la solidarité. Ma note : 9/10 !
Au vu des critiques majoritairement très positives attribuées à ce film, à son box-office américain impressionnant et à la garantie Pixar, je m’attendais tout de même à beaucoup mieux… Certes, ce film d’animation reste de qualité pour le genre, visuellement attrayant et doté d’un excellent doublage. Certes, les personnages sont attachants, du personnage éponyme Dory aux nouveaux venus (Gerald l’otarie en particulier). Cependant, j’ai quand même trouvé l’histoire très, trop classique, déjà traitée des centaines et des centaines de fois au cinéma… De plus, il y avait des coups de mou vers le milieu, où l’on a entièrement compris la direction vers laquelle on se dirige et où l’on commence alors à se désintéresser de l’intrigue jusqu’à ce qu’un animal mignon et stupide fasse, heureusement, son apparition et capte à nouveau notre attention. Et c’est d’autant plus dommage que la musique est souvent judicieuse, appuyant autant les séquences humoristiques (sur « What a wonderful world ») que le principal moment émotion final. En bref, j’ai donc trouvé que Le Monde de Dory se tient et fait son job de divertissement, mais que c’est une production Pixar mineure, ce qui n’a pas manqué de me décevoir un peu.
Pour moi, le Monde de Nemo était un chef d'oeuvre. Donc comment rivaliser avec son prédécesseur ? Il faut faire confiance à ces scénaristes et ces graphistes de génie. Pleins de références au premier film dans une parfaite évolution des "personnages". On sort du cinéma avec le sourire et le coeur léger.
J'ai bien aimé ! C'est le même esthétique que Nemo, l'histoire est similaire, mais assez différent pour justifier de payer pour le voir. On retrouve tous les ingrédients qui ont fait le succès de Nemo. Donc, allez le voir.
Treize ans après son Némo triomphale, Pixar en fait une suite, Finding Dory, à l’humour qui aura bien vite fait de trouver son public ♥♥♥½
Avec cette suite du Monde de Nemo, Disney se réfugie comme souvent dans une valeur sûre, la valeur « famille », dès les premières minutes avec l’introduction du personnage central, Dory, mais cette fois-ci toute jeune enfant et éprouvant déjà quelques difficultés de mémoire.
Attendrissant dès le début donc, cette nouvelle aventure sera l’occasion de retrouver des personnages bien connus (le célèbre poisson bleu amnésique bien sûr) mais également Nemo et Marin ainsi qu’une pléiade de nouveaux personnages hauts en couleur à commencer par le Poulpe Hank (et dont les traits rappellent grandement ceux de Sébastien de La petite Sirène) mollusque grognon au grand cœur et qui trimbalera la tendre Dory dans bien des liens incroyables.
Comme son premier volet, Finding Dory réussit surtout par son rythme et son humour (encore très présent avec un clin d’œil très apprécié aux voix de doublage – Anne Dorval pour l’édition québécoise
Au vue de la bande annonce, on pouvait se méfier d’un road-movie à travers l’océan et peut-être trop calqué sur le premier volet. Alors certes, il reste parfois une certaine redondance dans la succession de ses scènes mais la fantaisie demeure dans Finding Dory (le récit est d’ailleurs encore moins plausible que pour le premier volet) et l’on sent que la production ne s’est lancée à l’eau qu’une fois un solide scénario bien abouti. Et si oui la trame narrative est assez commune, il y a ici et là de nombreux clins d’œil, moments d’humour et de nostalgie qui marqueront ce second volet à jamais (et donneront forcement lieu à des scènes « best of ».
Certes, le récit nous amène parfois dans des lieux communs déjà vu (les courses-poursuites rappellent assez souvent celles de Toy Story) mais il parait difficile de toujours surprendre dans l’innovation. Moins rassembleur sans doute qu’Inside Out, le film n’en reste pas moins un divertissement en animation de très bonne qualité
Pfff, d'accord c'est toujours bien pour passer un moment en famille. Mais ce film est sans imagination. Les oublis de Dory sont lassant, les émotions sont forcées. Certains passages comme celui où Dory "parle baleine" sont franchement désagréable. Même le moment où elle retrouve ses parents fait pschitt. Je me suis ennuyé ferme. Mais bon, mes enfants n'ont pas passé un mauvais moment...
Le film remplit sa mission sans trop grandes surprises. A défaut d’émerveillement, le divertissement et l’attendrissement priment, remportant les suffrages au détour de situations cocasses bien illustrées.