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Un visiteur
1,5
Publiée le 21 juillet 2015
On est très loin de la bande dessinée originale, honnêtement, je ne reconnais aucun des professeurs et élèves caricaturés. Sans blague ! Ils auraient quand même pu faire un effort pour que les personnages ressemblent un minimum aux originaux ! Au lieu de ça, ils ont été déformés et massacrés que ça en peut plus ! Le scénario rattrape légèrement ce défaut (mais légèrement, très légèrement).
Au final, ce film ne casse pas trois pattes à un canard, mais ça reste un divertissement qui plaira aux plus jeunes essentiellement.
Très divertissant, frais, sympathique. J ai vu le premier opus sorti en dvd a l occasion de la sortie du 2. Sincèrement il m'a donné envie d'aller voir le second au cinéma. A prendre comme il vient. De bons moments.
On commence a rire quand? A peine sorti ce film a déjà mal vieilli Ce n'est pas un remake des Sous-doués de Zidi mais juste un sous-film pas marrant pour 2 sous!
Que dire de ce film "dit"comique? ... Tout d'abord en tout et pour tout j'ai souris deux fois. Vraiment pas drole sur toute la ligne. Et puis encore une fois dans ce genre de comédie, on comprend tout de suite ce qui va se passer. Le flirt de polochon et la prof d'allemand, le pari final des profs sera bien sur réussi, Boulard et la p'tite blonde ne resteront pas eternellement en froid, ect...,ect....... Bref toujours ces fameuses memes recettes de ses comédies d'aujourd'huiqui sont sans prises de risques, mais avec de l'émotions gnangnantissimes a souhait. Ce qui fait que comme souvent cela donne un film fade et sans saveurs. A éviter.
"Les Profs" de François-Pierre Martin Laval dit Pef est arrivé cinquième au classement du box office français en 2013 juste derrière "Gravity" d'Alfonso Cuaron !. La comédie potache, deuxième mamelle du cinéma français avec le drame intimiste bourgeois s'est entichée depuis le succès du "Petit Nicolas" (Laurent Tirard en 2009) de l'adaptation de BD portant sur le défouloir que représentent les salles de classes pour nos chères petites têtes blondes. Le phénomène n'est pas nouveau tant en France qu'à Hollywood. "Lâche-moi les baskets" de Joseph Ruben en 1977 avait lancé la mode du film estudiantin réalisé à partir d'une accumulation de gags potaches. Claude Zidi avait pris le relai sur notre sol avec "Les sous doués" en 1980 où un Daniel Auteuil alors âgé de 30 ans avait un peu de mal à se faire passer pour étudiant même avec beaucoup de redoublements à son palmarès. A la suite des aventures de l'élève Ducobu (2011) avec Elie Semoun, UGC Distribution qui entend continuer de surfer sur la vague met en chantier l'adaptation de la BD de Pica et Erroc qui reprend le même thème que "Les sous doués" en le transposant de nos jours. La suite de gags dans l'air du temps assez répétitifs et aux fondements peu crédibles a trouvé suffisamment d'adeptes (Près de 4 millions) pour générer une suite même si l'on peut s'étonner que des actrices ou acteurs autrefois plus inspirés comme Isabelle Nanty, Dominique Pinon ou François Morel se livrent à pareilles pitreries. Concernant Christian Clavier assez convaincant par ailleurs, on ne peut être surpris de sa présence ayant depuis longtemps renoncé à toute ambition, train de vie oblige. Mais ce qui interpellera le plus ceux qui gratteront le vernis de ce film "inoffensif", c'est la petite musique de fond envoyée par "Les profs". Dans ce lycée où le taux d'échec au bac (88%) est inversement proportionnel à l'exceptionnel taux de réussite national arraché au forceps par des années d'accommodement avec le niveau d'exigence attendu, la solution qui semble se dessiner tout au long du film est la suivante. A la fameuse maxime souvent employée dans le domaine sportif : "la réussite c'est 10% de talent et 90% d'effort", il serait peut-être intéressant de lui substituer la même dans les proportions inverses. Encore plus inquiétant, pour enfin retenir l'attention des élèves rivés à leur portable, il pourrait être demandé aux professeurs de non plus enseigner leurs matières de prédilection mais de se singulariser en distrayant la classe pendant 9 mois (quel accouchement!) pour avoir une chance si leurs numéros sont jugés suffisamment bons par leur exigeant public de récolter en fin de parcours quinze jours d'attention pour des révisions express. Le pire c'est que Martin Laval laisse croire que tout cela soit possible, le redressement du bahut étant spectaculaire frisant les 50% de réussite. Bien sûr, chacun vous dira que tout ceci n'est pas sérieux et que les jeunes qui regarderont le film auront le recul nécessaire pour reconnaître l'énormité de la blague. C'est malheureusement en cédant à ce genre de discours servi en leur temps aux plus anciens que l'éducation nationale est dans l'état que chacun déplore aujourd'hui. Mais l'appât du gain facile sera toujours le plus fort et c'est dans quelques décennies que les jeunes spectateurs d'aujourd'hui prendront conscience de ce qu'on leur a instillé comme discours défaitiste dans leur prime jeunesse. Quelle misère !
Un bon film qui reste dans l'esprit de la BD. Quelques gags amusants même si certains sont un peu idiots. On passe un bon moment devant ce film qui n'est surement pas un chef-d'oeuvre mais qui se laisse regarder. Mais en tant que grand fan de la BD, ce film me déçoit un peu mais reste sympa quand on veut se détendre sans se prendre la tête!
film complètement loufoque grâce a une palette de très bon acteur qui fait que le film est bon. Même si l’originalité du film n'est pas la sa reste un bon divertissement.
Dans le genre film comique franchouillard débile, il est difficile de faire mieux. Comment atteindre les sommets du délire mental avec des gags complètement éculés, des acteurs archi nuls, un script écrit sur un morceau de papier gras au fond du couloir, voilà le résultat de réflexions d'un scénariste illuminé qui doit vraisemblablement son intelligence à des neurones entremêlés dans la mélasse. Le problème est que des productions de ce type, le cinéma français en produit des dizaines par an depuis quarante ans. Mais bon, il faut bien cultiver l'incurie cérébrale de certains. Affligeant, lamentable, décourageant, accablant, ce navet fait peine à voir. Ce n'est pas un sourire qui émane des lèvres, mais un rictus. A se demander quel est le sinistre producteur qui accepte de financer une telle médiocrité. Cette réalisation est en dessous de zéro. En fait, depuis "Les sous-doués", hormis quelques raretés comme "Un diner de cons" et "Bienvenue chez les ch'tis", le genre comique national n'a pas évolué, bien au contraire, il s'est enlisé dans la fange. La culture c'est comme la confiture, plus on l'étale, moins on en a… Quant à l'humour, si l'on peut utiliser ce terme, il est en dessous du niveau de la cuvette des toilettes. Ce résidu refléterait-il le niveau intellectuel des nouvelles générations ? On est en droit de se poser la question.
Les pires profs pour les pires élèves. Cette adaptation de la BD éponyme, écrite et réalisée par Pierre-François Martin-Laval, s'accomode d'un humour débonnaire et quelque peu balourd. Entre Christian Clavier et Isabelle Nanty, respectivement dans la peau du prof de math hyper fainéant et de la prof d’anglais frappadingue, le film permet également à Kev Adams de confirmer, non pas son talent d'acteur limité, mais son succès populaire auprès des adolescent(e)s auquel le film est principalement destiné. Une comédie tout juste suffisante mais distrayante après une journée de dur labeur.
Un film vraiment niais qui finit par devenir un peu sympathique si on a la force de le regarder jusqu'à la fin. Même si dans le genre on a vu mieux, il nous arrache quand même quelques sourires, nous distrait un peu, et pour la mise en scène c'est bien fait. Hélas avec son humour à raz les pâquerettes (surement destinés à un public de 9-13 ans) il va falloir s'accrocher car qu'est ce qu'il y a comme niaiseries et personnages tête à claque, mon Dieu! la spécialité de pfml, à en être vraiment ridicule! Bref une idée de départ intéressante, de la "bêtise" assumée, mais un film globalement assez lourd même très lourd.