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Interrogeant l’absence de son propre personnage et la disparition de l’héritage portugais dans son ancienne colonie, "La Dernière fois que j’ai vu Macao" se construit également comme une mise à l’épreuve de la croyance dans le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Poème filmé, invitation au voyage, dédale mémoriel, film noir, "La dernière fois que j'ai vu Macao" est tout cela à la fois, ce qui en dit long sur sa puissance dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le film de João Pedro Rodrigues et João Rui Guerra da Mata est très beau. (...) "La dernière fois que j’ai vu Macao" se jette en avant en caméra légère, cherche dans un monde d’images les signes d’une beauté nouvelle.
(...) "La Dernière Fois que j’ai vu Macao",(...) achève(nt) de désigner les cinéastes lisboètes comme ceux qui, aujourd’hui mieux que quiconque, savent trouver la forme la plus juste à leurs fictions pour conter cette époque présente qu’hante la persistance de nos souvenirs play-back.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Assumant l'extravagance de leur projet, les deux réalisateurs font oublier quelques baisses de rythme lors d'une apothéose où cohabitent gaiement fantasmes de réincarnation et animaux apocalyptiques.
Cette œuvre expérimentale difficile d’accès finit par susciter l’intérêt grâce à une ambiance pesante à la lisière du fantastique. Pour aventuriers du septième art.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Quelques indices disposés çà et là sont censés faire croire à cette histoire que seule la voix off fait vivre. Mais en définitive cela exige beaucoup de patience et de conviction de la part du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Une mise en scène de cartes postales, dans deux sens : relecture des clichés (...) et vignette de la mémoire, indistinctement mémoire d'un narrateur et mémoire de cinéma. Parfois un peu trop systématique, le procédé n'en reste pas moins étourdissant d'audace et de beauté.
Critikat.com
Interrogeant l’absence de son propre personnage et la disparition de l’héritage portugais dans son ancienne colonie, "La Dernière fois que j’ai vu Macao" se construit également comme une mise à l’épreuve de la croyance dans le cinéma.
Le Monde
Poème filmé, invitation au voyage, dédale mémoriel, film noir, "La dernière fois que j'ai vu Macao" est tout cela à la fois, ce qui en dit long sur sa puissance dramatique.
Les Inrockuptibles
Le film de João Pedro Rodrigues et João Rui Guerra da Mata est très beau. (...) "La dernière fois que j’ai vu Macao" se jette en avant en caméra légère, cherche dans un monde d’images les signes d’une beauté nouvelle.
Libération
(...) "La Dernière Fois que j’ai vu Macao",(...) achève(nt) de désigner les cinéastes lisboètes comme ceux qui, aujourd’hui mieux que quiconque, savent trouver la forme la plus juste à leurs fictions pour conter cette époque présente qu’hante la persistance de nos souvenirs play-back.
Première
Assumant l'extravagance de leur projet, les deux réalisateurs font oublier quelques baisses de rythme lors d'une apothéose où cohabitent gaiement fantasmes de réincarnation et animaux apocalyptiques.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
Cette œuvre expérimentale difficile d’accès finit par susciter l’intérêt grâce à une ambiance pesante à la lisière du fantastique. Pour aventuriers du septième art.
Cahiers du Cinéma
Le pari n’est que partiellement réussi, malgré quelques éclats.
L'Humanité
Quelques indices disposés çà et là sont censés faire croire à cette histoire que seule la voix off fait vivre. Mais en définitive cela exige beaucoup de patience et de conviction de la part du spectateur.
Les Fiches du Cinéma
Pari esthétique risqué, ce curieux film entre fiction et documentaire pourra fasciner ou rebuter.
Transfuge
Une mise en scène de cartes postales, dans deux sens : relecture des clichés (...) et vignette de la mémoire, indistinctement mémoire d'un narrateur et mémoire de cinéma. Parfois un peu trop systématique, le procédé n'en reste pas moins étourdissant d'audace et de beauté.
Télérama
Ce film, bricolé avec les moyens du bord, contient de beaux moments. Mais l'intrigue (...) est pauvre en événements, trop désincarnée.
Positif
Trop d'intentions, trop d'artifices de mise en scène et d'informations transmises en off gâchent cette visite qui s'avérait pourtant prometteuse.