Comme la moyenne des notes des spectateurs, j'ai trouvé Ted 2 un peu plus drôle que le précédent. Comme je lui avais accordé 3 étoiles, je suis donc en quelque sorte contraint de mettre 3,5 ici. Malgré quelques longueurs que n'arrivent pas à faire oublier l'ours, et un scénario n'atteignant pas vraiment des sommets, l'idée de base est bien pensée et se laisse agréablement suivre.
En tant que grand fan de Family Guy (Les Griffin) je me retrouve encore une fois totalement dans l'humour de Seth McFarlane qui nous donne encore un excellent moment de rigolade comme il est difficile d'en trouver.
On retrouve son style en permanence, dans la mise en scène, dans les gags, dans le scénario qui ne va pas trop loin, qui ne se prend pas pour ce qu'il n'est pas. Les références sont excellentes, les caméo ne sont pas trop envahissants. Ted 2 m'a autant fait rire que le premier et quand on connait McFarlane, ce qu'il fait avec Family guy, on sait qu'on a un film entre de bonnes mains. Je vous le recommande en VO exclusivement! Je ne sais pas du tout ce que donne le film en français sachant que je veux garder l'originalité de la voix de McFarlane qui est aussi celle de Peter Griffin, avec ses intonations et son style. Mais excellente comédie :)
Très bon film drôle mais à voir en VO. Le scénario n'est pas terrible mais le jeu d'acteur est excellent. Les personnages principaux et secondaires sont plus que convaincants mais la VF de Ted est horrible, ça gâche le film...
On rigole bien, ya pas mal de références à d'autres films donc on joue à les chercher. Ensuite pour l'aspect sérieux, le fond du film, on questionne sur la notion d'être vivant, comment on le définit pour pouvoir disposer de nos droits en tant qu'être et non objet et encore moins en fonction de nos actes, agissements et comportements qui pourraient laisser penser qu'on ne mérite plus ces droits. En effet, Ted n'est pas mauvais en soi mais pas un exemple non plus...pas pire qu'un humain. Là se pose la question, on oppose la qualité même de l'être à sa manière d'être pour savoir s'il peut disposer des droits innés conférés aux humains/être vivant. Pourquoi pas...mais tout cela reste une vraie comédie.
Une comédie américaine comme on l'aime avec un surplus de vulgarité contrôlée et bourré de références cinématographiques (on notera la scène de Jurassic Park à la sauce Ted ^^)
Retour de l'ours vulgaire et fumeur de spif, passé la surprise du premier opus, ici les gags se font répétitifs et perdent de la saveur. En prenant un chemin plus consensuel et presque politique sur les droits des minorités, Seth MacFarlane offre un bon moment de divertissement mais n'arrive pas aux chevilles du premier.
Avec cette suite, c'est le retour des blagues potaches et lourdes (mais bien imaginé). Ce tadem est toujours aussi attachant. La surprise passé du premier volet, on se demande bien ce que le réalisateur peut bien raconter avec cette suite. Finalement, je suis agréablement surpris, il faut dire que je n'ai pas été spoilé par les différentes bande annonce. Je ne m'attendais pas à ce que ce film traite d'un sujet sérieux : la reconnaissance de droit pour un non-humain. Bien entendu, les scènes juridiques ou bien les scènes dramatiques ne durent pas bien longtemps mais démontre bien que le réalisateur a souhaité donné une nouvelle dimension à cette suite et non pas un simple plagiat en se reposant sur les acquis du premier volet.
Super Film. Seth McFarlane signe ici un film digne de la suite de Ted et digne des série qu'il a réalisé (American Dad et Family Guy). Mark Wahlberg joue très bien et Amanda Seyfried (Samantha Jackson) joue très bien l'avocate droguée et pas très douée. Giovanni Ribisi reprend a merveille son rôle de Donny. Avoir si une suite est possible.
Bravo ! Le pari était difficile, à nouveau Ted et son "pote du tonnerre" sans l'effet de nouveauté, et même de surprise peut-on dire, du premier et pourtant on est sous le charme. D'autant plus que ce Ted là, ce deuxième Ted, offre une lecture possible au second plan, qui si elle est bien visible par son sujet, (qu'est-ce qui définit une personne, jusqu'à quelles différences peut-on être considéré comme un être humain ?), s'offre en permanence au travers de dialogues pourtant toujours très drôles, (Ted à John, en découvrant qu'il a une collection démesurée, et classifiée, de pornos : "[... John, y'a pas d'nanas à queues, y'a qu'des mecs à nichons ! ]