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Ufuk K
518 abonnés
1 473 critiques
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4,0
Publiée le 10 août 2015
Quel plaisir de retrouver Ted dans cette suite toujours aussi funk,rock,irrevencieuse .Certaines situations sont très drôle et hilarante.J'ai passé un bon moment devant "Ted 2".
Dire que j'appelais de mes voeux une rapide suite pour le "Ted" de 2011 - fable iconoclaste, inventive et réjouissante, faisant passer sans encombre le langage très... viril de l'ourson monté en graine... Ce "Ted 2" est nullissime : situations, "gags"... tout est poussif, et d'une vulgarité sans fond spoiler: (cf. par exemple les "aventures" de Ted et John à la Banque du sperme). . Pourtant, l'argument était prometteur : où l'ourson (jeune marié, désirant une progéniture) doit faire établir en justice son .... humanité, seul moyen de ne pas être ravalé au statut de "bien meuble" ("piece of property"). Mais que c'est traité sans grâce, que cela traîne.... Mark Whalberg est l'ombre de lui-même, et ce n'est pas la boopis Amanda Seyfried (en Sam L. Jackson du barreau - mais que c'est donc hilarant...) qui peut relever le casting ! Reste la voix du réalisateur en VO - je n'ose imaginer le doublage français, eu égard à qui tient la partie.... En tout cas, pour moi, c'est la chute : de 4,5 étoiles (volet 1) à 0,5 (volet 2).
Pendant les trois ans qui suivirent son sacre comme nouveau maitre de l’humour politiquement incorrect que lui valut son premier long-métrage mettant en scène un ours en peluche ultra-vulgaire, Seth McFarlane a perdu beaucoup de crédibilité faute à une présentation des Oscars peu appréciée et à une parodie de western dont le comique de situations tombait souvent à plat. Pour redorer son blason, quelle meilleure idée alors que réaliser une suite à Ted ? Alors que la thématique centrale du premier opus était l’immaturité rétrograde des trentenaires, ici c’est vers une morale humaniste que tend le scénario. Preuve sans doute d’une certaine maturité acquise par son auteur… ou pas. La finalité étant plus sérieuse, le flot de répliques cinglantes et de gags vulgaires est en net baisse. Et pourtant, en tapant sur tous les travers de la culture populaire américaine, Ted 2 fait très mal. Malheureusement, un tel humour moqueur et ultra-référencé deux tares, la barrière culturelle qui va nuire au rayonnement international du film (le caméo de la star du super-bowl a, par exemple, jeté un froid dans le public français) et sera vite dépassé dès que ces références culturelles ne parleront plus. Quelques gags qui, eux aussi, fonctionnent essentiellement à coups de références cinématographiques, et des personnages secondaires amusants (dont une Amanda Seyfried qui fait preuve d’une autodérision hallucinante) participent à faire de cette comédie un moment de trivialité jouissive et cruellement corrosive, à défaut d’être inoubliable.
Comme souvent les suites font très très peur et comme souvent ce sont des flops ! Ted 2 passe la vitesse supérieure et enchaîne les vannes et les situations comiques avec un bon rythme. Reste le côté "vulgaire" un peu trop présent mais qui fait le charme de cet ours et quelques longueurs avec des scènes dont on aurait pu se passer par moment... au délà de ce bémol, ce film reste un bon divertissement quand même
J'ai beaucoup aimé cette suite, qui est aussi bien que le premier volet. C'est très divertissant, fun et sympa. Il faut savoir toutefois que c'est interdit au moins de 12 ans et c'est justifié par quelques scènes provocantes.
Finalement, la question n'est pas tant de savoir si "Ted 2" est meilleur ou moins bon que le premier. L'important, c'est de savoir qu'il est un nouveau torrent de rires absolument jouissif. Les détracteurs de Seth MacFarlane détesteront à coup sûr ce nouveau méfait du trublion, les fans, vont littéralement adorer, d’autant que le garnement MacFarlane y va fort, soufflant sur les braises de notre nostalgie des années 80, tapant à tout va sur plein de monde avec un sens du sarcasme délicieusement hilarant, et déployant un arsenal comique grandiose. Alors oui, ça reste cynique, graveleux, souvent puéril, mais parfois fin (si, si, nombreuses sont les jokes qui réclament une culture pop pour les saisir au vol), oui ça reste bas du front et débilitant. Mais c’est exactement tout ça que l’on aime chez Ted. Et alors que MacFarlane se lâche comme jamais, que les guests et les idées pleuvent, que le loufoque déjanté est sur-appuyé, que l’impertinence régale et que le régressif est à la fête, Ted 2 fait ce qu’il avait à faire. Nous exploser de rire avec une régularité épatante malgré l’évidence que la fraîcheur et l’originalité du premier, ne soient plus au rendez-vous.
C’est sans appel, Ted 2 n’est pas si drôle en fait. Certes, découvrir le contraste d’un jouet qui prend vie mais qui est grossier et franchement borderline faisait son petit effet dans le premier volet. Contraste qui me rappelle le personnage de Bébé Herman dans “Qui Veut la Peau de Roger Rabbit…” (je sais je suis allée chercher loin cette référence!)19507-21221
Mais à présent, ça devient du déjà vu, sans intérêt voire ennuyeux.
L’histoire se déroulant plusieurs années plus tard, Mark Wahlberg se prend juste un énorme coup de vieux ce qui rend le duo un peu pathétique (c’est vrai!) 2 Dudes à déambuler, paumés dans leurs vies, à fumer de la weed et se prendre en selfie avec des #VDM… tu as vite fait le tour. Surtout que dans ce film, les petites amies s’y mettent aussi ! #DoubleVDM
Le vrai souci, c’est que cette fois-ci, l’histoire est principalement centrée sur Ted et non John (Mark Wahlberg). Wahlberg joue donc le bon pote qui suit son ours en peluche, fait 2-3 gaffes, mais reste complètement passif, à zoner & fumer. (lire la suite sur le blog)
Aussi délirant que le premier volet. Ted est entré dans la pop culture. Le film nous fait entrer dans l'univers du comic-con. On retrouve Mark Walhberg, Seth McFlarne, Giovanni Risbi. Amanda Syfried interprète l'avocate de Ted et la nouvelle petite amie du héros Morgan Freeman joue très bien son rôle d'avocat.
Ted revient, encore plus loufoque et irrévérencieux. Seth MacFarlane insuffle toujours autant de surprise et d'inattendu dans ses blagues et ses caméos. L'ours en peluche n'a donc rien perdu de son mordant. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
La question existentielle que soulève le scénario de Ted 2 est passionnante : un objet doué de raison et d’émotion doit-il être considéré comme un bien matériel ou comme une personne ? A vrai dire, le scénario n’exploite que superficiellement ces interrogations pour se concentrer sur son moteur principal : la satire potache, grasse et de préférence située en dessous de la ceinture. Les spectateurs qui ne sont pas allergiques aux gags paillards et aux loufoqueries puisées dans la culture geek verront leurs zygomatiques sollicités avec autant d’efficacité que pour le premier Ted, les deux films cultivant le même esprit salace et le même humour référentiel. Les autres ont tout intérêt à passer leur chemin sous peine de pousser de longs soupirs d’exaspération tout au long du métrage. Car Seth MacFarlane est bien conscient d’avoir ses fans et ses détracteurs, caressant les premiers dans le sens du poil sans se soucier des autres.
Pour lire la critique complète, cliquez sur le lien ci-dessous.
Je ne suis pas un grand fan du premier Ted qui s'il m'avait vite fait sourire ne m'avait pas marqué. Cependant cette suite me semble bien plus équilibrée, plus drôle et quasiment sans mièvrerie. En gros je préfère la suite à l'original.
J'ai apprécié l'humour qui me semblait, toujours bien gras, mais un peu plus travaillé. Disons que lorsqu'on a un couple de gays qui vont faire le rêve de toute personne sensée : martyriser du nerd à la comic con... ben ça donne le ton !
Du coup le beau film a beau durer presque 2h, ce qui est super long pour une comédie, ben j'ai passé un très bon moment et j'ai pas mal ri. Chose exceptionnel, moi qui déteste Amanda Seyfried je la trouve non seulement charmante, drôle, mais en plus juste ! Par contre j'adore Wahlberg, mais là il est un peu morne, j'ai l'impression qu'il a fait des injectifs de botox qui l'empêchent d'avoir la moindre expression. Mais grosso modo c'est tout ce que j'ai à reprocher au film... son acteur principal...
Je trouve les références bien senties... notamment une à Jurassic Park (bon on aurait pu se passer de la musique ça aurait été moins flagrant et donc bien plus drôle) franchement bienvenue... Je pense aussi à la rencontre avec les nerds qui manquent de se faire écraser sur la route... tout est dans les petits détails. Et en parlant de petit détail, j'ai adoré le passage au truc d'improvisation... tellement le genre de truc que j'adore faire !
Après tout n'est pas forcément drôle, mettre du sperme partout ça m'éclate pas plus que ça (enfin si...), mais ce n'est jamais navrant (rien de pire qu'un gag qui tombe à plat et qui provoque la gène du spectateur).
Donc pour moi qui ne suis pas fan de son western, du premier Ted, ben c'est un peu une surprise, je ne m'y attendais pas (ça joue peut-être). Et puis il faut dire qu'il y a un caméo en début de film qui est juste exceptionnel, le genre de truc que j'adore faire au supermarché !
Bref je me suis retrouvé dans ce film qui est plus dans "mon délire" et dans les trucs qui me font rire.
(...) Pour autant, le réalisateur tient encore à ses nombreuses références, culture mainstream tabassée à coup de batte de baseball verbales, et incursions régulières à la pop culture, tout comme des cadors de l’humour actuel font leur caméo (Jimmy Kimmel, SNL sont de la partie). C’est drôle et même très drôle. « Ted 2 » fait surtout parti de cette frange de l’humour US tapissée trash qui se permet d’aller bien plus loin que les films calibrés du moment. Sous la couverture grossière de la comédie scato se cache parfois le jeu d’un ado puéril qui sait diablement écrire une comédie et imposer un rythme soutenu sur près de deux heures. Il en dépasse même presque le premier chapitre dans sa facilité à rebondir d’une scène à l’autre, de faire tout et n’importe quoi, et ne jamais tomber dans la mièvrerie quand le film tente l’aventure du sérieux.(...) Plaisir coupable d’un réalisateur fan de cinéma (nombreux clin d’œil au 7ème art, comme dans « Les Griffin – Family Guy ») Ted déboule dans cette suite surprenante qui n’abaisse donc jamais son niveau par rapport à son grand frère. Mark Wahlberg joue dans une gamme un peu plus grossière et bête le personnage de John mais tout reste dans le ton que le film demande. Et Ted reste un vrai régal, voir le symbole du jouet enfantin le plus attendrissant possible en version trash, humaine et roublarde reste un vrai plaisir. A voir absolument en VO avec un Seth MacFarlane des grands jours (à l’inverse de la voix française, Joey Starr, absolument insupportable) qui donne une vraie ampleur à cette peluche tendance punk. Le film n’est bien sûr pas à mettre entre toutes les oreilles mais pour le spectateur averti et séduit du premier du nom, « Ted 2 » reste la comédie la plus drôle de ces derniers mois. La plus drôle, pour la cible très réduite à laquelle le film s’adresse. Mais ça…
Le film est dans la lignée du premier (un peu moins de bons gags)....on constatera que les blagues, ce n'est pas toujours de bon gout ( les deux fils rouges étant le sexe et la drogue)...Ce sera à réserver à un public de plus de 12 ans je pense....le sujet reste original , et est truffé de références aux geeks et au cinéma (fans des star wars, etc....)....le ton est drôle, mais force est de constater qu'après l'arrivée de la jolie avocate, le film a un coup de mou côté humour....Par contre j'ai aimé son côté plus romantique, notamment avec une superbe chanson en V.O au coin du feu....C'est un bon divertissement avec pas mal de jeux de mot en définitive, mais sa force et sa faiblesse sont ici simultanées (c'est le mauvais gout).....Donc à vous de savoir ce que vous cherchez......
La suite de Ted, qui était déjà très sympa. C'est une suite logique et vraiment très drôle. Et comme le dit quelqu'un c'est un film très poilant réservé aux esprits ouverts.