AlloCiné
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Votre avis sur Des Abeilles et des Hommes ?
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Un documentaire plutôt intéressant même s’il est un peu trop fouillis par moments. Mais ça reste un objet somme toute assez classique et sans grand intérêt cinématographique. On touche là les limites inhérentes à un tel documentaire.
C'est surtout un film sur une palette minimaliste d'humains et de leurs peurs de perdre des profits . À noter des effets speçiaux d'abeilles pas du meilleur goût , tout comme certains propos ( partie Americaine ) vraiment gerban . Malgrès tout , ce doc est riche d'informations accécibles et sérieux sur nos amies volants .
Canon! Cela change des films Américains qui lobotomisent le cerveau...
Vraiment très intéressant.
Vraiment très intéressant.
film documentaire époustouflant!
par la richesse des informations qu'on y apprend,
par la beauté des images
et par la réflexion que le film procure.
Le film est bien rythmé, on en ressort déstabilisé (et un peu attristé, c'est vrai..)
par la richesse des informations qu'on y apprend,
par la beauté des images
et par la réflexion que le film procure.
Le film est bien rythmé, on en ressort déstabilisé (et un peu attristé, c'est vrai..)
La santé des abeilles est indicative de l'état de la région et de la culture de ses habitants.
Elles sont en enfer aux Etats-Unis entre les mains d'un... on ne peut dire apiculteur... d'un mercanti qui loue leurs services d'Ouest en Est à des producteurs de fruits dévastateurs d'immenses territoires à coup de pesticides et autres techniques de réduction drastique de la diversité. Pas une abeille autochtone à l'horizon. Il ne reste que les parasites de la monoculture qui sont copieusement et régulièrement arrosés - comme les abeilles de location, d'ailleurs. L'esclavagiste des abeilles transporte celles-ci sur des camions ordinaires pour économiser encore quelques précieux dollars. Entassées comme des sacs de pommes de terre, elles sont brinquebalées sur des milliers de kilomètres vers d'autres enfers, pendant des dizaines d'heures de torture. A l'arrivée, 20% de pertes... et la multiplication des maladies et des parasites - un joli cadeau pour la région d'accueil. Chaque manipulation des abeilles est réalisée avec une violence inouïe. De mauvais traitements en violences qui témoignent d'une ignorance crasse, toute la vie de ces abeilles est un calvaire qui contribue à semer la désolation dans tout le pays. Chaque instant de ce reportage sur l'industrialisation à outrance de l'agriculture parle de la réification du vivant et de ses conséquences catastrophiques. Très satisfait de lui, en imaginant déjà les dollars que son commerce immonde va lui rapporter, l'homme nous délivre gracieusement la quintessence de la philosophie qu'il veut croire largement partagée : "On est des capitalistes. On veut se développer et dominer le monde". Le seul spectacle de ce prédateur triomphant mérite le détour.
L'autre enfer est la Chine. Une Chine privée d'abeilles depuis les coups de génie maoïstes de la fin des années cinquante, les années du Grand Bond dans la folie furieuse - "guerre à la poussière", "guerre aux oiseaux", "guerre aux insectes" -, au temps de la grande famine organisée et des déportations massives dans les camps de la mort.
Heureusement quelques coins de paradis peuplés d'humains dignes de l'intelligence des abeilles nous sauvent du désespoir.
Entre enfer et paradis, les abeilles nous révèlent les pires et les meilleurs des hommes et montrent le chemin.
Elles sont en enfer aux Etats-Unis entre les mains d'un... on ne peut dire apiculteur... d'un mercanti qui loue leurs services d'Ouest en Est à des producteurs de fruits dévastateurs d'immenses territoires à coup de pesticides et autres techniques de réduction drastique de la diversité. Pas une abeille autochtone à l'horizon. Il ne reste que les parasites de la monoculture qui sont copieusement et régulièrement arrosés - comme les abeilles de location, d'ailleurs. L'esclavagiste des abeilles transporte celles-ci sur des camions ordinaires pour économiser encore quelques précieux dollars. Entassées comme des sacs de pommes de terre, elles sont brinquebalées sur des milliers de kilomètres vers d'autres enfers, pendant des dizaines d'heures de torture. A l'arrivée, 20% de pertes... et la multiplication des maladies et des parasites - un joli cadeau pour la région d'accueil. Chaque manipulation des abeilles est réalisée avec une violence inouïe. De mauvais traitements en violences qui témoignent d'une ignorance crasse, toute la vie de ces abeilles est un calvaire qui contribue à semer la désolation dans tout le pays. Chaque instant de ce reportage sur l'industrialisation à outrance de l'agriculture parle de la réification du vivant et de ses conséquences catastrophiques. Très satisfait de lui, en imaginant déjà les dollars que son commerce immonde va lui rapporter, l'homme nous délivre gracieusement la quintessence de la philosophie qu'il veut croire largement partagée : "On est des capitalistes. On veut se développer et dominer le monde". Le seul spectacle de ce prédateur triomphant mérite le détour.
L'autre enfer est la Chine. Une Chine privée d'abeilles depuis les coups de génie maoïstes de la fin des années cinquante, les années du Grand Bond dans la folie furieuse - "guerre à la poussière", "guerre aux oiseaux", "guerre aux insectes" -, au temps de la grande famine organisée et des déportations massives dans les camps de la mort.
Heureusement quelques coins de paradis peuplés d'humains dignes de l'intelligence des abeilles nous sauvent du désespoir.
Entre enfer et paradis, les abeilles nous révèlent les pires et les meilleurs des hommes et montrent le chemin.
on apprend plein de choses intéressantes au sujet de cette espèce humaine qui n'arrête pas de faire de sottises à la nature.
Documentaire très bien mené contenant des images superbes mais également un fond philosophique très juste.
On ne peut s'empêcher de penser à DJANGO ENCHAINED en sortant de la projection.
On ne peut s'empêcher de penser à DJANGO ENCHAINED en sortant de la projection.
Documentaire salutaire pour nous faire prendre conscience de l'apiculture et de ses graves problèmes actuels.
L'ensemble est très triste car on se rend bien compte que les pauvres abeilles sont en péril, maltraitées et beaucoup sont mortes en peu d'années et ce n'est pas fini.
Aussi on se rend compte que cela est un business terrible : le rendement, l'appât du gain étant très souvent une forte motivation.
L'ensemble est très triste car on se rend bien compte que les pauvres abeilles sont en péril, maltraitées et beaucoup sont mortes en peu d'années et ce n'est pas fini.
Aussi on se rend compte que cela est un business terrible : le rendement, l'appât du gain étant très souvent une forte motivation.
Intelligent, intéressant, on y apprend plein de choses, pas forcément bonnes une fois de plus sur les Hommes et leurs rapport avec ce qui nous entoure. A contrario de ce qu'on y apprend sur les abeilles, très étonnantes petites bêtes. Et on y reçoit même une note d'espoir pour le monde, plus que pour l'humanité
Réussi car pour moi, on doit sortir d'un documentaire en ayant appris des choses et là c'est le cas. Le sujet est d'ailleurs assez crucial, sans que le ton soit trop alarmiste. En plus, c'est superbement bien filmé (je suis toujours émerveillé de voir que l'on peut poser une mini caméra sur le dos d'une abeille et ainsi se mettre à sa place, que ce soit dans les airs ou dans les ruches) et les personnes interviewés sont de vrais personnages (et tous très différents) ! Certaines scènes, même si ce ne sont que des insectes, sont assez cruelles tout de même. En tout cas, voici une autre vision de la mondialisation.
Je trouvais que le film manquait de poésie et que les apiculteurs étaient un peu crus: entre celui qui écrase la tête de la reine, ceux qui voit dans les abeilles que le côté lucratif, l' autre qui utilise le terme de caca , des abeilles mortes en veux tu en voila....ils avaient tous des dents qui rayent le parquet à mon goût..mais le documentaire reste fascinant et réussi son but de sensibilisation
Je m'attendais à un signal d'alarme, à une vaste enquête montrant la disparition progressive des abeilles, celle-ci causée par la main et les activités de l'homme. C'est le cas, les images accréditant ce phénomène. Mais le discours ne m'est pas paru assez agressif pour nous faire véritablement ouvrir les yeux, élever les consciences et changer nos modes de vie. D'autant que ce sont finalement les professionnels de l'agriculture au sens large les premiers concernés. Or les gains de productivité et la soif de l'argent mettent en péril les éventuelles bonnes intentions qu'ils pourraient avoir. En somme, un docu utile mais pas assez offensif pour marquer les esprits.
Une salle pleine un matin montre que l'écologie intéresse. Le film montre en gros que c'est déjà bien trop tard pour empêcher le monde de courir à sa perte. Les images des abeilles au travail, de l'intérieur de leur ruche, sont très belles et intéressantes. Mais c'est à peu près tout. Les séquences dans les différents pays n'ont pas de cohérence, celles avec l'apiculteur allemand (ou suisse ou autrichien ?) avec son discours xénophobe sont très désagréables. Celles aux Etats-Unis montre un apiculteur considérant ses abeilles comme une pompe à fric et aucunement comme des êtres vivants. Que ce film passe sur une chaine de documentaires oui, au cinéma pourquoi ?
ce film documentaire est un bon film bon je ne vais pas revenir sur le sujet on le connait très bien ,
mais je constate que les jeunes ne sont pas du tout intéresses par l'avenir et la planète de manière général pas un jeune ne se trouvait présent dans la salle , bien sur c'est pas un film violent y'a pas de sexe ceci explique peu-être cela , je trouve ça quand même dommage pour eux mais ce n'est que mon avis personnel
mais je constate que les jeunes ne sont pas du tout intéresses par l'avenir et la planète de manière général pas un jeune ne se trouvait présent dans la salle , bien sur c'est pas un film violent y'a pas de sexe ceci explique peu-être cela , je trouve ça quand même dommage pour eux mais ce n'est que mon avis personnel
J'ai rien compris… Confus, embrouillé, et j'ai pas compris ce que ce film veut raconter… On est en allemagne avec un vieux bavarois, puis avec des américains qui conduisent des camions, puis avec un australien qui parle allemand, puis avec les chinois qui polinnisent à la main (au moins, eux ne se font pas chier)… non vraiment… quelques belles images de studio, quelques images ridicules d'abeilles sur fond bleu et fond d'helicoptere pour faire croire qu'on les suit, quelques interviews que meme france 3 region n'ose plus faire, ma foi… drole de film un peu vain
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