La Couleur pourpre : Habitué des films aventures ou de grand divertissement. Steven Spielberg revint avec une œuvre des plus dur et percutant. C’est vrai qu’au début du film, c’est vraiment la misère et c’est assez pesant à voir. Puisque tout du long du film, on ne montre la condition des noirs entre les noires et un peu entre les blancs mais c’est léger. Et plus particulièrement la condition des femmes qui sont marié très jeunes, voir mineur et qui on des enfants très vite, qui sont maltraité et mise en esclave par leur mari. Et on va suive une jeune femme de son enfance jusqu'à son âge adulte dans ce milieu la. On va vivre une vraie épopée historique donc avec une époque merveilleusement bien retranscrit, avec réalisme et crédibilité. Mais encore une fois, chose de très surprenant pour un Spielberg, c’est que les images sont assez durs et la condition désespéré au début, et ce qui ma aussi surprit a l’opposé de ça, c’est que on a des magnifiques musiques, ce n’est pas du John Williams mais ça sent rapproche, elles sont vraiment très belles mais bizarrement, elles sont optimistes et jolie alors que on nous montre des scènes émouvantes ou percutantes et j’ai plutôt apprécié cette opposition. Et que dire de la réalisation, c’est toujours si soigné, tout est bien mise en valeur, avec une très belle photographie, enfin ça c’est du cinéma et Steven Spielberg est connu pour nous faire que du bon de ce coté la. Pour en revenir à l’histoire, les personnages sont riches et on de la consistance, cela fait authentique et on si attache ou pas. C’est aussi grâce aux acteurs qui sont incroyable, faut le dire. Whoopi Goldberg est porté pas la grasse avec ce film, d’une justesse parfaite, ainsi que Danny Glover qui est sublime dans un rôle de mari très dur, il y a aussi d’autre très bon acteurs avec des personnages de seconde rôle mais très marquants. Donc voila, un drame à voir, du grand Spielberg.