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    La Couleur pourpre
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    270 critiques spectateurs

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    Nanoune
    Nanoune

    27 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2020
    Magnifique film extrêmement bien interprété le casting est excellent très touchant un film mythique ça vaut le coup à regarder
    Charlotte28
    Charlotte28

    124 abonnés 2 006 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2020
    Porté par une Whoopi Goldberg bluffante, le film nous fait suivre avec intérêt mais sans passion la vie terriblement triste d'une femme séparée de sa sœur chérie à cause d'une violence masculine et sociétale intense. Mais à trop verser dans le mélodrame, Spielberg rate parfois sa visée émotionnelle. Une oeuvre techniquement réussie mais qui aurait gagné à faire preuve de pudeur et de subtilité. Touchant cependant.
    Vador Mir
    Vador Mir

    259 abonnés 786 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2020
    Spielberg s'est surpassé avec ce film: Un déluge d'émotions et des acteurs incroyablement touchants. Tout sonne juste.
    Une réussite, un chef d'oeuvre, un film touché par la grâce. La musique est sublime. Du très grand Spielberg.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 365 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 janvier 2020
    C’est en 1986 que Steven Spielberg a choisi d’adapter le prix Pulitzer de la fiction “La Couleur Pourpre”. Le film suit deux soeurs noires dans la campagne géorgienne de 1900 à 1930. L’histoire est douloureuse puisqu’elle aborde l’abus sexuel d’un père, la naissance d’un enfant incestueux, la violence d’un mari ou encore la séparation forcée des deux soeurs. Le personnage de Whoopi Goldberg, qui nous habituera plus tard à la comédie, est poignant tellement ce qu’elle va traverser est brutal. C’est grâce à l’apprentissage de la lecture que la jeune femme forgera son caractère et donnera une dimension engagée et féministe à cette oeuvre. En effet, le casting masculin n’est que secondaire et le cinéaste n’hésite pas à caricaturer les hommes pour accentuer davantage l’espoir et la quête de liberté qui réside en chacune des femmes. Dans une belle photographie, le premier vrai drame de Steven Spielberg est un beau document témoignant de la condition des femmes et des noirs au sud des Etats-Unis au cours de la première moitié du XXème siècle.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 septembre 2019
    des années après ce film je fais encore pleurer; histoire poignante qui éveille pleins de sentiments à la fois
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    987 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juillet 2019
    En 1985, soit un an après le succès mondial des deuxièmes péripéties d'Indiana Jones, Steven Spielberg prend le risque d'adapter "La Couleur Pourpre", roman-phare d'Alice Walker et Prix Pulitzer. Alors clairement au sommet, le réalisateur, blanc et juif de surcroît, va narrer la vie dramatique d'une jeune Noire américaine du début du siècle. Composé quasi-exclusivement d'un casting afro-américain, le film fit forcément sensation et fit également couler beaucoup d'encre. Public en grande partie choqué et film boudé par les Oscars en dépit de ses nominations, La Couleur Pourpre démontre avec une efficacité sans pareille que non seulement Spielberg peut clairement tout adapter mais également qu'il n'est pas nécessaire qu'un metteur en scène soit de la même ethnie qu'un sujet racial pour en faire un bon film. Réalisateur traitant avant tout de l'humain, l'auteur du récent E.T. livre ici une poignante histoire, traitant bien moins du racisme que du machisme et du rôle de la femme dans l'Amérique du début du siècle. Interprétée avec justesse et parfois malice par Whoopi Goldberg, dont c'est le premier rôle à l'écran, notre jeune héroïne va être témoin durant une bonne partie de sa vie de la cruauté de l'homme, lui qui ne la jamais traité comme un être humain mais plus comme un objet. Parcours initiatique long et éprouvant, le film raconte – parfois de manière un peu poussive – comment une femme va apprendre à vivre, comment un être va se découvrir humain, comment une ombre va devenir lumière. Certes larmoyant et tombant un peu trop souvent dans le pathos pur et dur, La Couleur Pourpre n'est pas moins un excellent drame et un long-métrage puissant, bien entendu triste mais aussi amusant par instants, le savoir-faire de Spielberg pour détendre l'atmosphère n'étant plus à prouver. Ainsi, appuyé par une interprétation plus que solide (la révélation Danny Glover mais aussi Oprah Winfrey et Margaret Avery), des décors plus vrais que natures et une mise en scène impeccable, le voyage, aussi difficile soit-il, reste une leçon de cinéma que beaucoup de réalisateurs actuels devraient penser à s'en inspirer.
    RealPrime
    RealPrime

    85 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2019
    Bien avant "Amistad", Spielberg s'attaquait déjà à l'histoire des noirs américains mais pas à l'époque ou presque de l'esclavage. Ici il nous montre une enfance enlevée à des parents originel, une enfance ou le "faux père" éduque parfaitement mal ses filles en les battant ou les insultant. Un homme qui insulte et qui se prend clairement pour Dieu sait qui et le fait bien savoir. Un film en 2 parties, une première très dynamique ou l'enfance est superbement bien montrer, pas de temps mort et un tous très prenant. La seconde ou tous sont adultes et qui, suite à la scène du bar ambiance, perd en rythme avec longueur et script plus présent. Danny Glover livre une prestation hors normes, bien plus poussée que lors du futur "2012", mais c'est normal, entre un rôle de président et celui du raciste, y à malheureusement pas photo. Un bon Spielberg mais pas le plus magistral.
    Onir
    Onir

    81 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juillet 2023
    Franchement mauvais.
    Les téléfilms de nos jours sont mieux joués, mieux fait, bien plus captivant ...
    Je cherchais des films cultes sur le sujet, grosse déception, j'ai trouvé le jeu des acteurs tellement mauvais, exagéré au possible.
    L'histoire est longue et mal ficelée, Whoopy Goldberg inssuportable en femme invisible, ça sonne tellement faux, au bout d'un moment on en peut plus d'autant de misérabilisme et de niaiseries. Tout est surjoué, sonne faux ... vraiment j'ai perdu 2h.
    J'imagine que le roman est bien mieux, en même temps c'est difficile de faire pire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 octobre 2018
    Très bon film dramatique sur la condition des afro-américains au début du 20eme siècle, le contexte fut dur, le climat social étant étouffant, aborder avec intérêt dans la mise en scène les sujets de pré-puberté précoce, des tabous et lourds secrets de société tel le viol dans le cercle familial, c’est triste, j’étais touché par la grâce momentanée, puis s’ajoutant à l’intrigue tragique, la tyrannie de la mentalité patriarcale du mari n’existant pas à lever la main sur son épouse indisciplinée. Des acteurs remarquables, de belle philosophie de vie, du self-control face à l’agressivité et au racisme dans le reflet du miroir de la rancoeur des années qui se défilent, un temps soi long comme film qui en rajoute de trop dans le méli-mélo.
    Ricco92
    Ricco92

    226 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mai 2018
    "Quoi ! Le gars qui explose le box-office avec ses films pour gamins attardés ose s’attaquer à un film sérieux !" Tel est le type de préjugés idiots qui justifia à sa sortie l’accueil froid d’une grande majorité de la critique à La Couleur pourpre. De plus, ce premier film "adulte" de Steven Spielberg dû subir aussi un préjugé comme quoi un cinéaste blanc et juif n’avait pas le droit de réaliser un film traitant presqu’intégralement de personnages noirs même si cela était fait avec talent et de manière totalement respectueuse (en oubliant que Spielberg avait été choisi par Quincy Jones qui est ici coproducteur et qu’Alice Walker, l’auteure du roman, adoubait ce choix).
    Mais une fois ces préjugés mis de côté, La Couleur pourpre s’avère être une œuvre juste splendide. Avec ce changement de cap radical dans la carrière du réalisateur (le début du générique se déroulant sans musique avec uniquement un léger bruit de fond de la campagne fait comprendre dès les premières secondes que l’on est dans un film plus intimiste et moins spectaculaire qu’habituellement chez le cinéaste), Spielberg raconte, de façon discrète mais totalement maîtrisée spoiler: (qui peut transformer une scène de repas en véritable morceau de bravoure)
    , une histoire passionnante tiré d’un roman-phare de la communauté afro-américaine en sachant parfaitement doser le drame et les nombreux moments comiques permettant d’éviter un aspect mélodramatique trop poussé.
    Le tout est porté par un casting excellent d’où émergent la nouvelle venue à l’écran Whoopi Goldberg, Danny Glover, Margaret Avery et une incroyable Oprah Winfrey (oui oui : la célèbre présentatrice qui souhaitait plus que tout participer au film). De plus, outre son rôle de coproducteur, Quincy Jones signe une bande originale magnifique possédant des relents de John Williams (le cinéaste aurait-il finalement une forte influence sur la musique de ses films ?) et offrant de belles chansons pour les quelques moments musicaux de l’œuvre dont le sublime Miss Celie’s blues (Sister) coécrite par Rod Temperton (l’auteur de la chanson Thriller de Michael Jackson de l’album éponyme au succès phénoménal produit par Quincy Jones) et Lionel Ritchie (qui remporta l’Oscar de la meilleure chanson originale pour Say you, say me dans Soleil de nuit face à ce titre).
    La Couleur pourpre est donc une pure pépite pleine d’émotion et magnifique qui a été injustement conspuée à l’époque (sur ses onze nominations aux Oscars, il n’en remporta aucune), malgré un assez beau succès commercial (presque 100 millions de dollars de recettes pour un budget de 15 millions), mais qui a permis d’imposer petit à petit l’idée que Steven Spielberg pouvait aborder un autre type de cinéma que le pur divertissement. Une splendeur à faire redécouvrir.
    Nicothrash
    Nicothrash

    371 abonnés 3 031 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2018
    Wouah la déception ! Tout ça pour ça ... Pourtant, dès le début on est pris dedans avec une vision particulière de la condition des noirs américain de l'époque mais surtout de la condition des femmes, on y passe par toutes les émotions pendant cette première partie difficile et captivante. Et puis plus rien ... on a l'impression que Spielberg s'est évertué à désamorcer toute la tension dramatique de départ pour transformer le tout en joyeuse comédie familiale accessible au plus grand nombre. En soi c'est déjà un soucis pour moi puisque l'on commence à s'ennuyer fermement mais en plus cette plaisanterie dure une bonne heure et demie ! Incroyable, et ça l'est d'autant plus que la superbe partie finale nous fait encore plus regretter ces approximations de milieu de métrage. Reste et c'est bien le principal finalement une interprétation hors du commun de Whoopi Goldberg qui a elle seule fait que l'on ne peut regretter d'avoir vu cette "Couleur Pourpre", pour autant la déception est là et je serais curieux de le revoir plus tard histoire de voir si mon avis aura évoluer ...
    Antoine D.
    Antoine D.

    39 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2018
    Alice Walker est une écrivaine engagée qui se bat pour défendre la cause des femmes et le racisme. Son troisième roman est la couleur pourpre que Spielberg adapte en film grâce au trompettiste Quincy Jones qui produit (entre autres) le film.

    Celie grandit dans une plantation de coton de Géorgie. Dès ces 14 ans, elle subit des abus sexuels par son père et lui donne 2 enfants qu’il fait adopter. Albert Johnson, veuf épouse Celie qui devient sa créature chargée de s’occuper de ses enfants.
    Plus tard, Nettie, la sœur de Celie arrive dans le ménage de Monsieur et Celie. C’est le seul moment de joie de la jeune fille qui entretient une relation intense avec sa sœur. Mais Albert ne tarde pas à vouloir s’approprier Nettie et la contraint de fuir et de laisser Celie avec pour seule promesse lui écrire des lettres.

    C’est le premier véritable drame de Spielberg qui gagne sa casquette de « très grand réalisateur ».
    Les interprètes Whoopi Goldberg et Oprah Winfrey nous transportent dans un film qui parait quand même assez long. Néanmoins, cette expérience permettra de réaliser Empire du Soleil puis l’immense la liste de Schindler.
    Alexis C.
    Alexis C.

    4 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2018
    Premier film considéré comme "séreux" de la part de Spielberg, il est indéniable qu'il marque un tournant dans la carrière du réalisateur. En effet à partir de la Couleur Pourpre il va réaliser de plus en plus de fresques historiques et en ce qui me concerne je trouve que ce coup d'essai est le plus réussi.
    Il y a une maîtrise de la mise en scène qui est bluffante et cela ce ressent dès les premières images. A côté de ça il y a un scénario costaud et un casting de grande qualité, en tout cas les acteurs sont bien dirigés. Le film est prenant et très riche en émotions sans jamais tomber dans le voyeurisme, vu le sujet c'est une véritable prouesse et c'est révélateur du talent de Spielberg.
    Les musiques de Quincy Jones sont sublimes et apportent beaucoup à l'oeuvre.
    Housecoat
    Housecoat

    123 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2018
    Première véritable introspection de Steven Spielberg dans un cinéma plus engagé, je suis curieux du tapage qu'aurait provoqué La Couleur pourpre si il devait être réalisé aujourd'hui au vu de toutes les thématiques qu'il y traite. Mais la transition vers une nouvelle forme de narration ne s'est malheureusement pas fait sans dégâts, la première moitié part très mal pour pouvoir créer une véritable connexion, voix-off excessive qui remplace le vécu des épreuves, ellipses trop nombreuses et un sérieux déséquilibre de ton au moyen d'un humour trop enfantin pour une histoire qui met l'accent sur la dureté des malheurs de son héroïne. Mais une fois que la caméra se concentre enfin sur Whoopi Goldberg qui commence son affirmation au contact de son entourage, La Couleur pourpre entame une évolution lente mais sans retenue d'une personnage qui découvre enfin l'amour des autres après en avoir été privée toute sa vie. Un gain d'assurance qui s'apprécie proportionnellement à la fange dans laquelle elle vit, Spielberg n'a jamais été aussi sordide dans la dépeinte des relations entre ses personnages (inceste, tentative de viol, adultère et pire encore...), une crasse qui ne retrouvera jamais plus dans aucun de ses films et qui rend La Couleur pourpre plus riche de sens au sein de sa filmographie tant pour ses thématiques que pour l'attention qu'il porte à son héroïne. A la fois joyeux et morbide.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    195 abonnés 2 513 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mars 2018
    Steven Spielberg encore une fois au sommet avec un film particulièrement dur et marquant.
    C'est un film assez violent (que ce soit la violence montrée à l'écran mais surtout celle suggérée par le film) que je ne recommanderais pas à tout âge. L'intrigue est très abrupte, et difficile de ne pas être émue par l'histoire de Celie lorsqu'on se dit qu'il s'agissait sans doute d'une histoire vraie pour beaucoup de femmes.
    Whoopi Goldberg est radieuse et apporte de la lumière à ce film très sombre. Danny Glover est vraiment bluffant dans son rôle, qui est à la fois risible, brutal, inquiétant et humain. L'acteur arrive à donner une véritable cohérence et homogénéité à toutes ces facettes sans en faire des tonnes.
    Il n'y a guère que Spielberg pour être capable de réussir des paris aussi risqués que ce film.
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