Mon compte
    La Couleur pourpre
    Note moyenne
    4,1
    12531 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Couleur pourpre ?

    270 critiques spectateurs

    5
    107 critiques
    4
    83 critiques
    3
    36 critiques
    2
    27 critiques
    1
    11 critiques
    0
    6 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Pascal
    Pascal

    160 abonnés 1 658 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 avril 2023
    " la couleur pourpre" traite, au travers de l'histoire d'une jeune femme, la condition des noirs aux usa apres l'abolition de l'esclavage.

    Spielberg est ici a cheval entre le cinema grand public et ses opus plus ambitieux. La force de " la couleur..." est son casting, mais on peut reprocher un scenario peu inventif et surtout beaucoup trop de longueurs.

    La premiere heure est largement la meilleure dans ce film desequilibre, qui reserve malgre tout quelques scenes tres reussies.

    On.notera la presence de Oprah Winfrey qui deviendra une star de l'interview a la televion americaine.

    Spielberg souligne ici, la reproduction de la domination de la part de certains anciens esclaves a l'egard de leur epouse. Le cineaste sort ici des categories toutes faites et touche du doigt une verite derangeante et revoltante.
    Cinememories
    Cinememories

    483 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2023
    Après avoir nagé la brasse le long des côtes australiennes, après avoir invité les extra-terrestres sur Terre et après avoir pourchassé de nombreux trésors à travers les continents, c’est au croisement d’une nouvelle ère, que Steven Spielberg se donne lui-même rendez-vous. Le mètre-étalon du film d’aventures familiales se voyait déjà au crépuscule de sa carrière, avant qu’on ne lui mette le bouquin d'Alice Walker sous les yeux. À cet instant, il s’est emparé de quelque chose de vital pour son cinéma, quelque chose qui cristallisera l’auteur qu’il deviendra par la suite, en entamant ce « film d’adulte sans effets spéciaux », selon lui. Cette première expérience, au cœur d’un drame historique, lui offre ainsi l’opportunité de répondre à ses nombreux détracteurs, jusqu’aux hautes sphères de l’académie des Oscars, qui ne pouvaient plus ignorer son potentiel. Il choisit donc de confronter le destin de deux sœurs, dont la séparation continue d’être le nœud de toutes les histoires qu’il porte.

    Première moitié du XXe siècle, le soleil illumine Celie (Whoopi Goldberg) et Nettie (Akosua Busia), annonçant la couleur et le ton de cette aventure. C’est ce que l’on retiendra de l’œuvre, qui se veut chaleureuse et bienveillante, tout l’opposé de la tragédie des scènes qui suivront et qui auront de quoi déstabiliser. Lorsque Celie accouche de l’enfant de son père, qui lui est alors immédiatement retiré, il faudra peu de temps pour comprendre la place des adolescentes dans une société patriarcale qui n’y voit que de la valeur marchande ou utile au foyer. Ajoutons à cela une communauté afro-américaine qui festoie aux chants de gospel et nous avons un portrait de famille bien embarrassant. La manœuvre du cinéaste consiste alors à restaurer l’espoir que ces filles ont perdu, tout en décryptant la domination féminine, malgré le fait qu’elle puisse tomber sous le joug d’hommes violeurs et violents. Shug Avery (Margaret Avery), la femme fatale insoumise en est un bon exemple, ce qui joue en la faveur d’une prise de conscience radicale chez celles qui n’ont connu que la capitulation.

    Par ailleurs, peut-être que Spielberg aurait gagné à épouser la sobriété des drames, cependant, ce serait également abandonner une partie de son âme à la merci d’une industrie élitiste et trop soucieuse de la morale. Ce dernier manque alors d’insuffler l’émotion, comme vecteur du récit, là où il se repose sur une manœuvre tout à fait démonstrative, expliquant chaque trouble intérieur des personnages par des dialogues ou une voix-off contextuelle. Cette nouvelle dimension, à centrer son récit sur un personnage féminin l’a sans doute poussé à styliser les angoisses de Celie, à travers une forme d’emprisonnement mental et physique. La maison de « monsieur » (Danny Glover) est retapée de fond en comble pour enfin s’approprier un lieu initialement diabolique. La mise en scène nous éloigne donc plus des sujets qu’auparavant, là où le spectateur pouvait entrer en fusion avec les sentiments de héros. Cela ne constitue pas pour autant une faiblesse, mais amoindrit l’impact des comportements rebelles des sœurs, à l’exception d’un magnifique jeu de miroir entre un rituel et une session de rasage.

    C’est en s’armant de collaborateurs de qualité, comme Quincy Jones à la production et à la composition, que la musique noire américaine s’impose. Et Oprah Winfrey, dont la résistance du personnage, force le respect. Spielberg ne sait que trop bien qu’il n’est pas à la bonne place et laisse donc de l’avance à ses héroïnes, pleines de sagesse, virevolter dans les différents tons qu’il propose, tantôt réaliste, tantôt burlesque et tantôt féerique. « La Couleur Pourpre » (The Color Purple) capitalise ainsi sur les différentes formes d’esclavage au quotidien, au sein même de ceux qui viennent fraîchement d’en sortir, sans pour autant laisser la lumière s’éteindre sur le destin de deux sœurs, dont la relation fusionnelle ne peut que triompher, en face-à-face ou par correspondance.
    Starwealther
    Starwealther

    76 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2022
    Steven Spielberg s'intéresse à la cause des noirs dans la première moitié du XXème siècle dans le sud des Etats Unis, il nous montre une vie terriblement dur!! Notamment pour les femmes qui doivent subir la violence et les humiliations de leurs maris qui les rendent quasiment esclaves. Whoopi Goldberg et Danny Glover sont présents en acteurs principaux, l'un comme l'autre ils jouent avec beaucoup de justesse. L'une joue une femme timide et introverti tandis que l'autre est un homme sans coeur qui maltraite les autres. Le film est une belle histoire avec des moments de joie mais surtout beaucoup de tristesse. Un assez bon film en somme
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    276 abonnés 2 881 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2022
    Première incursion de Spielberg dans la veine du drame à portée historique, et première réussite. La Couleur Pourpre doit énormément au regard sensible de son metteur en scène, et à la performance de ses acteurs, avec au premier plan une formidable Whoopi Goldberg et Oprah Winfrey. La condition des femmes noires est dépeinte avec une justesse extraordinaire, n'évitant pas toujours un pathos un peu chargé mais n'éludant aucun aspect. Le destin des deux sœurs est admirablement tracé d'un bout à l'autre, et prenant jusqu'à son terme.
    Alain D.
    Alain D.

    589 abonnés 3 283 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    Des scènes dures et violentes, mais aussi beaucoup de séquences émouvantes dans ce Drame intense, parfaitement mis en scène par Steven Spielberg. Ce film historique évoque la condition des noirs aux États-Unis au début du vingtième siècle. Il aborde plus particulièrement la détresse des femmes de couleur, doubles victimes du racisme et du machisme.
    La grande réussite de ce film est aussi due aux magnifiques interprétations de Danny Glover dans le rôle délicat de Albert. Quant à Whoopi Goldberg, elle mérite amplement le Golden Globes reçu en 1986 avec son immense prestation d'actrice pour le personnage central de Celie, la grande sœur de Nettie.
    Le Rabzz
    Le Rabzz

    22 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2022
    Film extraordinaire de Spielberg, qui est dur, poignant, touchant et d'une émotion à toute épreuve, premier film aussi du réalisateur qui n'emploiera pas John Williams à la partition, mais le producteur Quincy Jones, le casting est une merveille et la réalisation est phénoménale, malheureusement je trouve que le film est sous-estimé et qu'il mérite plus de sympathie pour l'une des meilleurs œuvre historique de Steven Spielberg.
    matthieu d.
    matthieu d.

    9 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2022
    Cest bien pendant 45 minutes puis le rythme baisse d'un coup. Ca devient bien trop soporifique et lent pendant 1h45 pour que le final soit rendu émouvant. Bref, il aurait fallu raccourcir un max, et accelerer le rythme
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 avril 2022
    « La couleur pourpre » de Steven Spielberg (1986) est un film déroutant visant à décrire l’amitié entre 2 sœurs Afro-américaines : Celie (Whoopi Goldberg à l’âge adulte) et Nettie (Akosua Busia) sa cadette. Leur père va « vendre » Célie à Albert « Monsieur » Johnson (Danny Glover)… et de partir dans des histoires très sombres d’humiliations de toutes sortes, de soumission des femmes… avec des scènes outrées, téléphonées et des scènes d’une mièvrerie affligeante. Bien sûr on retrouve la « patte » du réalisateur avec des gros plans, des contre-plongées, des caméras suivant l’action … mais j’avoue ne pas bien comprendre le dessein de Spielberg : nous montrer les « mœurs singulières » des Afro-américains guère plus brillantes que celles de pionniers Américains ? Par moment je me demande si ce film de plus de 2 h 30 ne sert pas à expier un fond de racisme latent : pour mémoire la fin de l’apartheid remonte à 1986 – l’année même de la sortie du film - et Spielberg est né en 1946 certes dans l’Ohio mais ?
    Je suis curieux de lire le roman éponyme d'Alice Walker récompensé par le prix Pulitzer pour me faire une opinion… alors que curieusement Spielberg malgré onze nominations aux Oscars 1986 (dont celui du meilleur réalisateur), n'a remporté aucune statuette !
    Michel1664
    Michel1664

    19 abonnés 736 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2022
    Je suis surpris, je ne m’attendais pas du tout à ça (je m’attendais à un énième film sur le thème des esclaves noirs exploités par les blancs …). Ça fait plaisir de tomber sur quelques chose de « nouveau » et de si profond ! Ces différents rapports humains sont vraiment très forts : des choses horribles, de belles choses, la domination, l’amour, la soumission, la servitude, la maltraitance, le courage, la folie, … C’est fort beau et triste ! Un bon moment (4 étoiles en étant un peu généreux).
    nico 67
    nico 67

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2022
    Très bon scénario une histoire prenante des personnages autant attachant que détestable on voit une Oprah Winfrey touchante et forte a la fois un film qui vous laissera sans voix il m'as toucher en plein coeur j'ai était ému au larmes on reconnaît le travail de Steven Spielberg c'est pour moi un monument du cinéma Whoopi Goldberg et magnifique dans son rôle l'histoire de deux sœurs séparées par un homme cruel et d'une méchanceté gratuite qui fini par faire une action de grande bonté et inattendu je met les 5 étoiles pour ce film car il le mérite et de Loin
    Biertan64
    Biertan64

    49 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2021
    Quand Spielberg cherche à raconter une histoire au long cours s'étalant sur plusieurs décennies, cela aurait pu déboucher sur ce qui est parfois caractérisé de "beau" film .
    Il nous parle un peu de racisme, beaucoup de structure familiale (avec la place de la femme dans le couple ou la violence entre époux) et les acteurs sont bien dans leur rôle.
    Mais le ton est beaucoup trop mélodramatique à mon gout, cherchant en permanence à apitoyer, avec toutes les vexations endurées par cette pauvre Celie jusqu'au happy-end "maintenant sortez vos mouchoirs".
    Vu le sujet, on ne peut pas le qualifier de film à l'eau de rose, il s'agirait plutôt de son exact opposé de par l'absence de prince charmant, mais tout repose sur un même sentimentalisme exacerbé et des personnages totalement agneaux ou totalement loups.
    Bref un peu long, un peu vieilli et plus un drame sentimental qu'un film historique qui décrirait la condition des afro-américains du début du 20ème siècle.
    Fabien S.
    Fabien S.

    549 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2021
    Steven Spielberg réunit Whoopi Goldberg , Danny Glover et Oprah Winfrey dans ce drame émouvant et humain sur la ségrégation raciale.
    Alasky
    Alasky

    351 abonnés 3 408 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 décembre 2021
    Le sujet est bien traité, l'actrice Whoopi Goldberg est convaincante, la mise en scène est correcte. Mais que c'est long, interminable... Et beaucoup trop mélo à mon goût.
    Om3arbi
    Om3arbi

    Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2021
    1 Célie, Nettie & Albert

    Au début du 20ème siècle, alors qu’elle est a déjà eu deux enfants de force avec son beau-père, Célie, 14 ans, est contrainte de se marier à Albert, un veuf de plus de deux fois son âge et désespérément à la recherche d’une boniche qui pourra nettoyer ses casseroles et s’occuper de sa progéniture. Réjouis à l’idée de rejoindre celui-ci et enfin en finir avec le calvaire qu'elle vit chez son beau-père, Célie, accompagné de sa sœur petite sœur Nettie dont elle est inséparable et qui a finalement réussi à convaincre Albert de la prendre avec lui, rêve déjà d’une vie meilleure et pense, un peu naïvement, qu’au côté d’Albert de meilleurs horizons se profilent. Encore plus si sa sœur est présente à ses côtés. Cependant, au bout d’un certain temps, lassé par la « laideur » de sa femme et frustré par le refus que Nettie a pu lui octroyer juste avant son mariage avec Célie, celui-ci décide, à la suite d’une tentative de viol sur Nettie n’ayant pas abouti, de tout simplement virer celle-ci de la maison par frustration. Célie et Nettie, ravagées par cette décision, se promettent alors de s’écrire autant de fois qu’il ne le faudra et se jure, qu’un jour, elles se retrouveront.

    Si déjà ça ça ne vous donne pas envie, je ne sais vraiment pas ce que je peux faire pour vous. Ah oui, si jamais c’est juste Steven Spielberg qui a réalisé ce métrage au cas où ça ne serait pas assez. En plus, ce qui est vraiment sympa, c’est qu’on sent qu’il nous livre là un film qui lui tient à cœur car il prend vraiment son temps. Certains y verront des longueurs moi je vois juste un scénario qui veut installer une ambiance et qui y arrive magistralement.

    Mais alors, qu’est ce qui fait la grosse force de ce métrage ? Pourquoi a-t-on l’impression, à la vue de ma critique, que ce film a complétement chamboulé ma vie (et à juste titre) ? Le seul moyen de le savoir les copains, c’est de scroller contre le bas.

    "Nothin' but death will keep me from it"

    2. Censure et ségrégation

    Lorsque l’on s’attaque à un sujet aussi épineux que la ségrégation, surtout à une époque où, excusez-moi du terme, les afro-américains sont en vogue à Hollywood, il est souvent difficile de trouver un juste milieu entre ce que l’on veut montrer à l’écran et ce qu’il est possible de filmer. En effet, beaucoup de réalisateurs, par crainte des critiques ou simplement par cause éthique, peinent à insuffler une aura réaliste à leur récit et finissent souvent par nous livrer un travail qui est soit mal géré dans son ambiance soit mal interprété par son casting. La plupart du temps, c’est la même rengaine... On a souvent le droit à cette même histoire en boucle d'un noir discriminé qui, comme par enchantement, est sauvé par un homme blanc. Ici, que nenni ! On a juste le droit à un condensé de vérités et de justesses, situé à une époque où le sectarisme racial et la division des classes sont à leurs paroxysmes et où l’esclavage domestique est encore monnaie courante et bien ancrée dans les mentalités.

    "I'm poor, black, I may even be ugly, but dear God, I'm here! I'm here!"

    3. Candeur & frustration

    Pour son premier rôle, qui en plus n’est pas des plus aisé, Whoopi Goldberg nous offre une prestation magistrale et endosse le rôle à la perfection. De toute ma vie, j’ai rarement vu autant d’innocence et de naïveté incarné par un personnage. Je me souviens même qu’à 12 ans, à la seconde même où j’ai posé mon regard sur cette jeune fille, j’ai immédiatement su que mon réservoir à empathie allait en pâtir. Ce regard si gêné et si triste à la fois, cette gestuelle si innocente et qui montre un tel renfermement sur soi-même et sur les autres, cette voix et ce corps si fluet… Tout à fait mouche chez moi à l’époque. Tellement que cette prestation résonne encore au plus profond de moi à chaque fois que je revois ce métrage ou pose mes yeux sur un cliché de Miss Célie. Et que dire également de la prestation de Danny Glover si ce n’est qu’il est juste exécrable au possible et joue parfaitement son rôle de mari frustré et tyrannique. C’est également avec ce film que je l’ai connu et, à ma connaissance, c'est un des premiers dans lequel les gens ont pu voir toute l'étendue de son talent. Une très grosse prestation ici oscillant entre la grosse ordure qu’on a juste envie d’éclater contre un mur et le veuf, meurtris par la vie et ayant du mal à exprimer son amour autrement que par des coups. Un savant mélange entre la pureté et la gentillesse incarné et la brute sans cœur. Cependant, les frontières du manichéisme ne sont pas toujours là où on pense. Attention à ne pas se laisser berner ! Ça serait quand même dommage d’également en faire preuve ^^

    "See daddy, sinners have souls too"

    4. Folks don’t like nobody being too proud, or too free

    En résumé, un excellent film, alternant très intelligemment entre des scènes nous donnant de vrais bons bols d’air frais et d’autres où le spectateur est en apnée totale. C’est aussi ça une des dernières forces de ce métrage. Un savant mélange entre une ambiance qui vous fera chaud au cœur, principalement grâce a son casting très authentique, et une ambiance de malaise presque constante, renforcé par ses décors, son scénario et ses acteurs d’excellentes factures.

    "Everything you’ve done to me, I’ve already done to you"
    Roub E.
    Roub E.

    958 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 août 2021
    Un des derniers Spielberg qui me restait à découvrir et un des rares que je n’ai ni aimé (la majorité) ni détesté (le terminal, AI), mais qui m’a laissé plutôt indifférent. Trop long, trop de mélo alors que le début m’avait laissé présager un film très fort, je m’en suis désintéressé au fur et à mesure. J’ai tout de même apprécié la magnifique photo qui en fait un bel objet de cinéma et bien sûr les excellentes interprétations de Whoopie Goldberg et de Danny Glover.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top