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manoj94
45 abonnés
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5,0
Publiée le 29 janvier 2010
Probablement, un des plus beaux films des années 1980 ! Le grand Steven Spielberg nous offre ici un passionnant long-métrage, plein de vie et nous procurant des émotions fortes. L'histoire de ces deux sœurs séparées pendant leur adolescence et qui se retrouvent plusieurs années après est absolument magnifique et vraiment prenante. Comme à son habitude, le réalisateur nous offre des scènes esthétiquement belles et des dialogues savoureux. On dénombre beaucoup de scènes qui nous font rire, d'autres scènes qui nous émeuvent et quelques unes qui nous interpellent. Les personnages sont attachants et fabuleusement interprétés par des acteurs tout simplement époustouflants. En effet, Whoopi Goldberg et Danny Glover sont irréprochables dans leurs rôles respectifs. Bref, "La Couleur Pourpre" est un véritable chef-d'œuvre, à voir et à revoir.
Steven Spielberg livre un très beau portrait de femme à travers la vie de Celie, une jeune femme violée par son beau-père et mariée de force à un mari violent qui avait des vues sur sa soeur. En nous faisant traverser trente ans d'histoire, de 1909 à 1937, Spielberg nous montre l'évolution de cette jeune femme d'une communauté noire que la vie n'a pas épargnée mais qui accepte son sort avec courage et pugnacité. Whoopi Goldberg est magistrale dans le rôle de Celie, qui lui apportera la célébrité. Son jeu discret et pudique ajouté à la réalisation de Spielberg qui sublime la jeune femme dans chaque plan, fait d'elle seule une excellente raison de voir le film. Face à elle, Danny Glover en mari violent livre une interprétation mémorable d'un rôle extrêmement difficile qu'il rend très convaincant. Le film n'est pas gai mais Spielberg parvient tout de même à insérer un peu d'humour à travers quelques gags très drôles qui s'inscrivent dans l'histoire et ne dénotent pas donc avec l'ensemble. Dur mais beau et poignant, La couleur Pourpre est un superbe hommage au cinéma classique dont Spielberg reprend tous les codes avec brio doublé d'un magnifique portrait de femme. Certainement un des plus beaux films de son réalisateur.
apres de longue anné de film de science fiction et film d'aventure, steven spielberg fait un magnifique film dramatique avec pour la premiere au cinema whoopi goldberg dans le role d'une jeune femme qui a été prise par un homme pour le mariage alors qu'elle n'etait qu'adolescente, son pere avait refusé que cet homme joué par danny glover prenne sa plus jeune des fille. whoopi goldberg dans le role de celie va vivre une malheureuse vie en tamps u'epouse de d'albert, qui a perdu sa premiere femme, celie va etre separé de sa soeur nettie a cause d'albert qui les empechera de se contacté en ne montrant pas les lettre pour celie jusqu'au jour ou elle va rencontré shug, une femme dont albert aime plus que tout, les deux femme ne connaisse pas l'autre personnalité d'albert quand il est avec l'autre. shug et celie vont devenir amie et celie va enfin se ressentir aimé, elle n'avait pu connu sa depuis l'amour de sa soeur. steven spielberg frappe fort, il parle de la violence conjugal, de l'inegalité des homme de couleur, des photo magnifique par rapport a l'afrique. un film poignant et emotionnellement tres fort, la musique et sublime et whoopi goldberg extrement touchante la couleur pourpre est un grand chef d'oeuvre
Chapeau bas! J'avais déjà vu ce film petite et je le revois aujourd'hui avec un plaisir immense. Le film traite beaucoup de sujets et cela donne une histoire touchante et réelle.La musique est superbe mais on n'en attendait pas moins du grand Quincy Jones!! Il est dommage de voir que certains s'arrêtent au sujet du racisme et ne voient pas plus loin.Dommage également que le film n'ait eu aucun oscar, il le mérite.
Spielberg dans le thriller, la comédie, la guerre, l’action, l’aventure, la science-fiction et maintenant dans le drame aux commandes de La Couleur Pourpre. Pareillement que dans ma précédente critique (Duel) la note est dure a attribué car certes Spielberg est un maître dans tous les genres mais ce film est assez long donc par moment on trouve l’ennuie en attente d’évènements. Mais je lui donne trois étoiles car je reconnais bien le talent de Spielberg, ici il n’a même pas besoin d’effets spéciaux pour nous éblouir, il utilise tous simplement les paroles et les gestes effectués par les acteurs. Whoopi Goldberg est vraiment sublime dans le film, son interprétation du personnage de Celie est parfaite. Danny Glover est également parfait dans le rôle du mauvais mari qui bat sa femme. Donc les acteurs sont parfaits, le synopsis ben on sait d’avance qu’on va être touché car le film parle des noirs dans l’Amérique du début du XXème siècle et c’est une période très sensible, très dure. Pendant le film il se passe beaucoup de choses mais on a l’impression que c’est le contraire. Le film trouve sa faiblesse dans sa durée, 2h34 c’est beaucoup trop long malgré que ça soit Spielberg. La reconstitution du début du siècle jusqu’à la moitié du siècle s’avère parfaite, aucune erreur, le style y est, on s’imagine pas que ça ait été autrement dans la vrai vie mais malheureusement c’est un détail qu’on oublie souvent alors que c’est très important. Je pense avoir fait le tour du film, tout est mal qui finit bien, on a le droit a des séquences émotion mais c’est bizarre ça ne m’a pas touché plus que ça. C’est tout de même un film à voir pour la performance des acteurs, menée par un réalisateur hors du commun.
Bon la réalisation est pas trop mal mais je trouve ce film vraiment médiocre. L'histoire de base est touchante et intéressante pour être exploité au cinéma, mais Spielberg manque de subtilité et de recule. C'est trop naïf et il est toujours prêt à sortir les violons par moment certaines scènes sont même désagréable surtout à cause du ton employé. Les acteurs sont bons ainsi que la musique et la photo.
Mis en scène par Steven Spielberg, ce film super émouvant allie tendresse, passion et désir et laisse de ce fait transparent la violence qui est reprise à plusieurs moments.
L'histoire de deux soeurs, Celie ( Whoopi Goldberg ) et Nettie, et de leur famille qui a la particularité d'être de couleur noire au cours de la première moitié du XXeme siècle dans le sud des Etats-Unis. Le grand Steven Spielberg a toujours su mettre sur pellicule des œuvres à la réalisation, plus qu'intéressante. " La Couleur pourpre " ne déroge pas à la règle, le cinéaste met sur pied une histoire captivante à l'aide d'une mise en scène élégante et personnelle. Whoopi Goldberg, dans son rôle de femme soumise et dénigrée, accéda à la notoriété internationale, sa composition, saluée par la critique, fut récompensée par le Golden Globes de la meilleure actrice dans un film dramatique. Ce long-métrage, placé sous le signe du drame choc et humaniste, souleva les controverses. Le faite qu'un juif blanc adapte au cinéma un roman best-seller, d'Alice Walker, une femme noire récompensé par le prix Pulitzer et paru en 1984, fut mal perçu par quelques réactionnaires. Cette transposition à l'écran n'en demeure pas moins réussie ; les acteurs sont remarquable de justesse, et le scénario dense. Certes, " La Couleur pourpre " n'est en aucun cas le meilleur film de Spielberg, mais il est impératif de prendre en considérations les résonnances universelles, ce film s'apparente à une œuvre, mineure, mais qui a le mérite d'être intimiste. A découvrir.
J'aime ni Woopy Goldberg (enfin je veux dire les films dans lesquels elle joue) ni ce genre de film (si tu y vas avec ta gonzesse, faut prévoir un bon stock de cleanex)...mais qu'est-ce film est beau!
Une œuvre intense, haute en couleurs et riche en émotions, qui nous plonge dans le Sud profond des Etats-Unis, au cours des années 30... On rit, on pleure, on partage les émotions et la vie de Celie, séparée de sa sœur Nettie, qui va s'élever du statut d'esclave à celui de femme indépendante. Le racisme, la condition des femmes noires de l'époque sont dépeints avec force et justesse. Tous les acteurs sont formidables et convaincants. Ils incarnent une galerie de personnages attachants et mémorables. Certaines scènes sont d'ailleurs inoubliables, comme celle de Shug faisant irruption dans l'église en chantant du gospel. Un film bouleversant, un chef-d'œuvre. Peut-être bien le chef-d'œuvre de Steven Spielberg.