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    La Couleur pourpre
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    270 critiques spectateurs

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    Roub E.
    Roub E.

    952 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 août 2021
    Un des derniers Spielberg qui me restait à découvrir et un des rares que je n’ai ni aimé (la majorité) ni détesté (le terminal, AI), mais qui m’a laissé plutôt indifférent. Trop long, trop de mélo alors que le début m’avait laissé présager un film très fort, je m’en suis désintéressé au fur et à mesure. J’ai tout de même apprécié la magnifique photo qui en fait un bel objet de cinéma et bien sûr les excellentes interprétations de Whoopie Goldberg et de Danny Glover.
    Alain D.
    Alain D.

    586 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    Des scènes dures et violentes, mais aussi beaucoup de séquences émouvantes dans ce Drame intense, parfaitement mis en scène par Steven Spielberg. Ce film historique évoque la condition des noirs aux États-Unis au début du vingtième siècle. Il aborde plus particulièrement la détresse des femmes de couleur, doubles victimes du racisme et du machisme.
    La grande réussite de ce film est aussi due aux magnifiques interprétations de Danny Glover dans le rôle délicat de Albert. Quant à Whoopi Goldberg, elle mérite amplement le Golden Globes reçu en 1986 avec son immense prestation d'actrice pour le personnage central de Celie, la grande sœur de Nettie.
    Shawn777
    Shawn777

    585 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2023
    Ce film, réalisé par Steven Spielberg et sorti en 1985, est vraiment très bon ! Adapté du roman éponyme d'Alice Walker, le film raconte l'histoire de Celie, brutalement séparée de sa sœur Nettie, qui doit vivre avec un mari (ou plutôt un propriétaire) qui la violente et la rabaisse sans arrêt. Histoire tragique donc dont j'avais d'ailleurs un peur qu'elle tombe dans le mélo trop facilement. Ce pourquoi j'ai d'ailleurs mis aussi longtemps avant de me lancer dans ce film pourtant si acclamé par la critique. Et si le film est tout aussi touchant que violent, il ne tombe heureusement jamais dans les écueils de ce genre de drame. Tout d'abord car Spielberg maitrise parfaitement son sujet. Je n'ai pas lu le roman original, ainsi je ne sais pas si le film lui est fidèle ou non, mais nous avons en tout cas ici un portrait sincère d'une héroïne à laquelle on peut très facilement s'identifier. Et, comme dans tous les films du réalisateur, les émotions passent principalement par le regard. En effet, pas besoin de grandes tirades ou de scènes à rallonge larmoyantes, un simple plan sur le regard de ses acteurs et Spielberg arrive à faire comprendre toutes les émotions qui traversent ses personnages aux spectateurs. Nous avons également une excellente mise en scène qui vient accompagner tout ça, qui sait aussi bien capter la chaleur de l'été avec ses magnifiques couchers de soleils que la brutalité de l'hiver. Seulement, sur deux heures et demi, le réalisateur n'arrive pas constamment à capter l'attention du spectateur. J'ai en effet adoré le début et la fin mais je trouve que le film possède malgré tout un ventre mou non négligeable, qui casse le rythme de l’ensemble. Concernant les acteurs, nous retrouvons principalement Whoopi Goldberg dans son premier rôle, qu'elle interprété parfaitement, puis Danny Glover, Oprah Winfrey, Margaret Avery etc. qui jouent également très bien. Malgré ses quelques longueurs, "La Couleur pourpre" reste donc un très bon film qui ne laisse pas indifférent !
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    283 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2014
    Après une petite fournée de blockbusters et de films fantastiques, on attendait Steve Spielberg pour une nouvelle grosse production, surtout l’année d’après le deuxième Indiana Jones.

    Alors qu’il produit Retour vers le Futur ou Les Goonies en 1985, il se garde le film le plus original pour lui : La Couleur Pourpre. Drame historique sur la vie d’une pauvre Noire dans le sud raciste du début du XXe siècle, le huitième long-métrage de Steven Spielberg est aux antipodes de ce qu’il avait bien pu faire avant. Là où on pouvait critiquer ses rôles féminins constamment absents et/ou trop peu importants, La Couleur Pourpre est un film aussi intelligemment féminin qu’une démonstration pour la tolérance (si tant est qu’on en avait besoin) dans la mesure où le personnage de Whoopi Goldberg est de tous les plans et que la réalisation toute en retenue mais pas détachée de Steven Spielberg épouse son point de vue sans jamais la juger de sa naïveté et de son inculture. Autour de l’excellente de Whoopi Goldberg, on retrouve un duo fabuleux d’abrutis Danny Glover et Willard E. Pugh, mais surtout l’exceptionnelle Oprah Winfrey, ahurissante comme 28 ans plus tard dans Le Majordome. Le tout est mis en musique par Quincy Jones, qui sait comment doser son style pour se marier parfaitement avec le ton du film, résolument plein d’espoir et non pas misérabiliste.

    C’est la plus grande force de La Couleur Pourpre : malgré tout ce qui arrive à la pauvre Celie Harris, jamais le film n’exagère. Ce qui le rend encore plus touchant et réussi. Indispensable.
    Nicothrash
    Nicothrash

    368 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2018
    Wouah la déception ! Tout ça pour ça ... Pourtant, dès le début on est pris dedans avec une vision particulière de la condition des noirs américain de l'époque mais surtout de la condition des femmes, on y passe par toutes les émotions pendant cette première partie difficile et captivante. Et puis plus rien ... on a l'impression que Spielberg s'est évertué à désamorcer toute la tension dramatique de départ pour transformer le tout en joyeuse comédie familiale accessible au plus grand nombre. En soi c'est déjà un soucis pour moi puisque l'on commence à s'ennuyer fermement mais en plus cette plaisanterie dure une bonne heure et demie ! Incroyable, et ça l'est d'autant plus que la superbe partie finale nous fait encore plus regretter ces approximations de milieu de métrage. Reste et c'est bien le principal finalement une interprétation hors du commun de Whoopi Goldberg qui a elle seule fait que l'on ne peut regretter d'avoir vu cette "Couleur Pourpre", pour autant la déception est là et je serais curieux de le revoir plus tard histoire de voir si mon avis aura évoluer ...
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    274 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2022
    Première incursion de Spielberg dans la veine du drame à portée historique, et première réussite. La Couleur Pourpre doit énormément au regard sensible de son metteur en scène, et à la performance de ses acteurs, avec au premier plan une formidable Whoopi Goldberg et Oprah Winfrey. La condition des femmes noires est dépeinte avec une justesse extraordinaire, n'évitant pas toujours un pathos un peu chargé mais n'éludant aucun aspect. Le destin des deux sœurs est admirablement tracé d'un bout à l'autre, et prenant jusqu'à son terme.
    Agnes L.
    Agnes L.

    166 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2023
    Ce film adapté de l’œuvre d'Alice Walker qui a eu le prix Pulitzer pour son roman, fait naître des émotions chez le spectateur. Il dénonce le racisme mais aussi le comportement incestueux et violent des hommes noirs face aux jeunes filles et femmes noires. Il aurait juste gagné à être un peu plus condensé pour gagner en intensité.
    vive-le-cine123654789
    vive-le-cine123654789

    95 abonnés 621 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2014
    Un des derniers Spielby manquant encore à mon tableau de chasse. Un de ses plus polémique aussi. Un film globalement d’excellente qualité, mais un film dans lequel il est difficile d’y entrer. Cela principalement dû à sa première demi-heure, véritable torture pour le spectateur tellement ce qu’elle dépeint est dure, violent, terrible, révoltant, dramatique. Dès les premières images, le spectateur est saisi à la gorge. Cette première partie est largement suffisante pour faire abandonner l’envie de voir la suite. Cependant, une fois cette première partie passée, le ton change légèrement.

    L’histoire est globalement toujours aussi dure, dans sa description de la vie d’une femme noire au début du siècle, dans une Amérique encore très raciste mais aussi très machiste ; l’arrivée de nouveaux personnages complètement hors du temps et au caractère fort réussissent à nous faire passer la pilule. Et il y a même des moments où on se surprend à esquisser un sourire et même à rire. Plusieurs thèmes fort y sont développés, certains peut-être un peu trop rapidement (mais peut-être que ça l’est mieux dans le livre), mais globalement bien traités.

    Arrive alors la dernière partie du film qui commence à nous faire envisager le rêve, à nous évader de ce monde cru et violent dans lequel vit l’héroïne. Au moment où l’on pensait qu’il n’y avait plus aucun espoir, celui-ci rejaillit, nous irradie, comme pour déclarer haut et fort qu’il ne disparaît jamais. La fin se fait donc dans le plus classique des happy ends, mais vu les 2h30 de film, on se dit que c’est largement mérité et on la prend avec plaisir. Une histoire vraiment superbe !

    Sur le casting, on envoie également du très très lourd. Il y a tout d’abord Danny Glover, dans un rôle complètement à contre-emploi pour l’acteur et ce qu’il fait d’habitude et pourtant il s’en sort à merveille, en devenant terrifiant. Néanmoins, c’est surtout du côté des actrices que se trouve le pactole avec Whoopie Goldberg, Margaret Avery et Ophrah Winfrey : les trois, au rôle central, nous dévoile là une prestation de très haute volée. On passe par à peu près toutes les émotions avec elles, par à peu près tous les états psychologiques, et le tout à chaque juste et crédible. Du très très grand art. Et je leur tire mon chapeau bien bas. Les autres rôles secondaires se révèlent également très bons.

    Qu’en est-il du film lui-même ? Et bien qu’une nouvelle fois, même s’il est très différents de ses autres films, on reconnaît là bien la patte de Spielberg. La musique (qui n’est pas composée par John Williams cette fois-ci) s’ancre parfaitement dans l’histoire pour créer une ambiance toujours en accord avec ce qu’il se passe. Les différentes chansons permettent de nous projeter aux différentes époques. Les décors sont tout simplement magnifiques, nous envoyant en moins de deux dans le sud des États-Unis au début du siècle comme si on y était.

    Quant à la mise en scène, comme toujours ou presque avec Spielby, c’est du grand art. Quand je parlais de la dureté de la première demie-heure, l’histoire y est pour quelque chose mais elle est complètement transcendée par la mise en scène de Spielberg. Le tout se cristallise à la perfection lors de la dernière scène de cette partie (lorsqu’Albert renvoie Nettie) : les plans de cette séquence nous poignardent de part en part. C’est le moment le plus dur du film et pourtant l’un des plus magistraux. On peut aussi citer les nombreux séquences à tables ou les plans sur les visages des personnages…on pourrait citer tout le film ou presque.

    Bref, un autre grand film de Spielberg. Pas forcément son meilleur, mais comme très souvent avec lui, un film de grande qualité qui saura nous parler et qui même s’il traite d’une histoire s’étant passé il y a près de 100 ans, se trouve malheureusement être toujours d’actualité. Un autre masterpiece à ajouter à la filmographie du dieu Spielby.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2024
    La puissance de The Color Purple adaptée du roman de même nom par Steven Spielberg est moins narrative qu’esthétique : les nombreuses ellipses, la multiplication des destinées individuelles à retombées collectives, la présence des absents, tout cela est certes porté par la voix off et par la lecture des lettres – respectant la forme épistolaire de l’œuvre littéraire – mais davantage incarné par la mise en scène. Celle-ci rassemble deux pays par un montage croisé, immortalise la dépendance des deux sœurs au moyen des nombreux jeux auxquels elles s’adonnent, puis d’un travail sur les ombres qui distingue d’abord deux silhouettes avant de les fusionner, marque la bicoque de « Monsieur » Johnson d’une main ensanglantée comme symbole quasi magique d’une hantise sororale. D’une surprenante mobilité, la caméra de Steven Spielberg oppose à la contrainte des corps représentés sa liberté d’aller et venir, d’arpenter les vastes étendues, d’emprunter les chemins accrochant follement aux plantations vertes des serpentins dorés qui témoignent d’un intérêt pour les étoffes et, plus généralement, pour les matières – nul hasard si Celie se lie d’amitié avec une chanteuse de cabaret aux tenues extravagantes, et qu’elle finit par ouvrir sa boutique de pantalons.
    L’alchimie entre la photographie et les costumes confère au long métrage un sentiment d’authenticité, que ne cessent de faire évoluer vers le genre du conte la réalisation soignée ainsi que la musique de Quincy Jones : nous retrouvons là la sensibilité du cinéaste, et son souci de rétablir le jeune âge des personnages féminins par une forme naïve (au sens de peinture naïve) mais jamais complaisante, et au manichéisme révisé en clausule. Nous regretterons toutefois les longueurs d’un film qui ne retranche pas assez du roman, se dispersant dans des intrigues secondaires sans leur donner le temps à l’écran nécessaire à leur pleine existence. Reste une fresque flamboyante, magistralement mise en scène et interprétée.
    stebbins
    stebbins

    501 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 mars 2012
    Un film prodigieux servi par la photographie flamboyante d'Allen Daviau et la superbe musique de Quincy Jones. L'histoire, simple et universelle, délivre lentement mais sûrement sa puissance émotionnelle tout en parsemant l'ensemble d'instants terriblement cruels et douloureux. Quant à la réalisation de Spielberg elle atteint un niveau d'excellence proprement indiscutable. Film de pure mise en scène, avec au moins une trouvaille par plan La Couleur Pourpre est un monument d'esthétisme et de cinématographie : reconstitution de l'Amérique du début du XXeme siècle, couleurs somptueuses, caméra fluide d'une maîtrise à se pâmer, direction d'acteur impeccable, découpage brillantissime ( pavenir à installer le supense autour d'un simple verre d'eau, ça tient du prodige ! ), force visuelle héritée du cinéma muet... Whoopi Goldberg trouve là son premier grand rôle à l'écran aux côtés d'un Danny Glover livrant le personnage le plus intéressant de sa filmographie. Bref une véritable délectation pour les yeux et les oreilles, et certainement l'un des plus beaux films de Steven Spielberg. Un incontournable.
    Fabien S.
    Fabien S.

    546 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2021
    Steven Spielberg réunit Whoopi Goldberg , Danny Glover et Oprah Winfrey dans ce drame émouvant et humain sur la ségrégation raciale.
    Santu2b
    Santu2b

    249 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2016
    On dit souvent que le cinéma de Spielberg se divise en deux. À peine auréolé des succès de "ET" ou "Indiana Jones", le cinéaste ne compte pas se cantonner à ce registre. Il entend montrer à la classe supérieure qu'il n'est pas qu'un simple faiseur de blockbusters. Le milieu des années 1980 sera ainsi marqué par la réalisation de long-métrages entrant de plain-pied dans cette catégorie des films dits sérieux. En 1985, "La couleur pourpre" s'avère un début de reconnaissance même s'il repartira bredouille aux Oscars. À travers cette plongée dans le quotidien d'une famille noire durant le premier tiers du XXe siècle, le cinéaste s'entoure de nouveaux collaborateurs, choisis parfois de façon éloquente. Il charge symboliquement Quincy Jones de composer la musique et octroie par ailleurs sans doute le plus grand rôle de Whoopi Goldberg. Un nouveau Spielberg est né avec les défauts de ses qualités. Malgré une histoire prenante, le film est entaché d'une longueur excessive. Toujours sujette à débat, la gestion de l'émotion s'avère également problématique, ponctuée de scènes d'une lourdeur assommante. S'il augure de meilleurs instants à venir, "La couleur pourpre" n'est pas sa plus grande prouesse dans ce registre.
    Vador Mir
    Vador Mir

    258 abonnés 785 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2020
    Spielberg s'est surpassé avec ce film: Un déluge d'émotions et des acteurs incroyablement touchants. Tout sonne juste.
    Une réussite, un chef d'oeuvre, un film touché par la grâce. La musique est sublime. Du très grand Spielberg.
    Nico2
    Nico2

    84 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2009
    Steven Spielberg livre un très beau portrait de femme à travers la vie de Celie, une jeune femme violée par son beau-père et mariée de force à un mari violent qui avait des vues sur sa soeur. En nous faisant traverser trente ans d'histoire, de 1909 à 1937, Spielberg nous montre l'évolution de cette jeune femme d'une communauté noire que la vie n'a pas épargnée mais qui accepte son sort avec courage et pugnacité. Whoopi Goldberg est magistrale dans le rôle de Celie, qui lui apportera la célébrité. Son jeu discret et pudique ajouté à la réalisation de Spielberg qui sublime la jeune femme dans chaque plan, fait d'elle seule une excellente raison de voir le film. Face à elle, Danny Glover en mari violent livre une interprétation mémorable d'un rôle extrêmement difficile qu'il rend très convaincant. Le film n'est pas gai mais Spielberg parvient tout de même à insérer un peu d'humour à travers quelques gags très drôles qui s'inscrivent dans l'histoire et ne dénotent pas donc avec l'ensemble. Dur mais beau et poignant, La couleur Pourpre est un superbe hommage au cinéma classique dont Spielberg reprend tous les codes avec brio doublé d'un magnifique portrait de femme. Certainement un des plus beaux films de son réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 octobre 2018
    Très bon film dramatique sur la condition des afro-américains au début du 20eme siècle, le contexte fut dur, le climat social étant étouffant, aborder avec intérêt dans la mise en scène les sujets de pré-puberté précoce, des tabous et lourds secrets de société tel le viol dans le cercle familial, c’est triste, j’étais touché par la grâce momentanée, puis s’ajoutant à l’intrigue tragique, la tyrannie de la mentalité patriarcale du mari n’existant pas à lever la main sur son épouse indisciplinée. Des acteurs remarquables, de belle philosophie de vie, du self-control face à l’agressivité et au racisme dans le reflet du miroir de la rancoeur des années qui se défilent, un temps soi long comme film qui en rajoute de trop dans le méli-mélo.
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