Mon compte
    La Couleur pourpre
    Note moyenne
    4,1
    12527 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Couleur pourpre ?

    270 critiques spectateurs

    5
    107 critiques
    4
    83 critiques
    3
    36 critiques
    2
    27 critiques
    1
    11 critiques
    0
    6 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Antony
    Antony

    29 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 janvier 2009
    simplement soporifique... Mon dieu... N'y a t il pas moyen de traiter de sujets sérieux sans tomber dans le mélodrame larmoyant.Ce qui me fait peur de plus avec ce genre de film, c'est que les gens les notent corrrectement juste pour faire bien et ce donner bonne conscience... Et bien messieurs dames, désolé, mais je ne suis pas raciste, je n'ai jamais battu qui que ce soit, et je trouve ce film simplement ennuyeux, soporifique et surtout, inutile. J'ai tenu 1 heure, et c'est bien suffisant... Désolé spielberg.
    Christian B.
    Christian B.

    17 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2013
    Un bon film , certe pas non plus un film exceptionnel, un film montrant que dans n'importe quelles races d'homme , il y a des pires ordures , les gens exploite toujours les plus faible et je pense que malheureusement c'est pas prêt de changer , on passe un bon moment à le regarder quand même
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    985 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juillet 2019
    En 1985, soit un an après le succès mondial des deuxièmes péripéties d'Indiana Jones, Steven Spielberg prend le risque d'adapter "La Couleur Pourpre", roman-phare d'Alice Walker et Prix Pulitzer. Alors clairement au sommet, le réalisateur, blanc et juif de surcroît, va narrer la vie dramatique d'une jeune Noire américaine du début du siècle. Composé quasi-exclusivement d'un casting afro-américain, le film fit forcément sensation et fit également couler beaucoup d'encre. Public en grande partie choqué et film boudé par les Oscars en dépit de ses nominations, La Couleur Pourpre démontre avec une efficacité sans pareille que non seulement Spielberg peut clairement tout adapter mais également qu'il n'est pas nécessaire qu'un metteur en scène soit de la même ethnie qu'un sujet racial pour en faire un bon film. Réalisateur traitant avant tout de l'humain, l'auteur du récent E.T. livre ici une poignante histoire, traitant bien moins du racisme que du machisme et du rôle de la femme dans l'Amérique du début du siècle. Interprétée avec justesse et parfois malice par Whoopi Goldberg, dont c'est le premier rôle à l'écran, notre jeune héroïne va être témoin durant une bonne partie de sa vie de la cruauté de l'homme, lui qui ne la jamais traité comme un être humain mais plus comme un objet. Parcours initiatique long et éprouvant, le film raconte – parfois de manière un peu poussive – comment une femme va apprendre à vivre, comment un être va se découvrir humain, comment une ombre va devenir lumière. Certes larmoyant et tombant un peu trop souvent dans le pathos pur et dur, La Couleur Pourpre n'est pas moins un excellent drame et un long-métrage puissant, bien entendu triste mais aussi amusant par instants, le savoir-faire de Spielberg pour détendre l'atmosphère n'étant plus à prouver. Ainsi, appuyé par une interprétation plus que solide (la révélation Danny Glover mais aussi Oprah Winfrey et Margaret Avery), des décors plus vrais que natures et une mise en scène impeccable, le voyage, aussi difficile soit-il, reste une leçon de cinéma que beaucoup de réalisateurs actuels devraient penser à s'en inspirer.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 149 abonnés 5 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2015
    Magnifique film. Quelle histoire splendide. C'est tellement beau l'amour de ces deux sœurs et c'est tellement bien rendu pour l'ambiance des champs de coton, les décors de cette région. Une très grande réussite du cinéma
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2023
    Après avoir nagé la brasse le long des côtes australiennes, après avoir invité les extra-terrestres sur Terre et après avoir pourchassé de nombreux trésors à travers les continents, c’est au croisement d’une nouvelle ère, que Steven Spielberg se donne lui-même rendez-vous. Le mètre-étalon du film d’aventures familiales se voyait déjà au crépuscule de sa carrière, avant qu’on ne lui mette le bouquin d'Alice Walker sous les yeux. À cet instant, il s’est emparé de quelque chose de vital pour son cinéma, quelque chose qui cristallisera l’auteur qu’il deviendra par la suite, en entamant ce « film d’adulte sans effets spéciaux », selon lui. Cette première expérience, au cœur d’un drame historique, lui offre ainsi l’opportunité de répondre à ses nombreux détracteurs, jusqu’aux hautes sphères de l’académie des Oscars, qui ne pouvaient plus ignorer son potentiel. Il choisit donc de confronter le destin de deux sœurs, dont la séparation continue d’être le nœud de toutes les histoires qu’il porte.

    Première moitié du XXe siècle, le soleil illumine Celie (Whoopi Goldberg) et Nettie (Akosua Busia), annonçant la couleur et le ton de cette aventure. C’est ce que l’on retiendra de l’œuvre, qui se veut chaleureuse et bienveillante, tout l’opposé de la tragédie des scènes qui suivront et qui auront de quoi déstabiliser. Lorsque Celie accouche de l’enfant de son père, qui lui est alors immédiatement retiré, il faudra peu de temps pour comprendre la place des adolescentes dans une société patriarcale qui n’y voit que de la valeur marchande ou utile au foyer. Ajoutons à cela une communauté afro-américaine qui festoie aux chants de gospel et nous avons un portrait de famille bien embarrassant. La manœuvre du cinéaste consiste alors à restaurer l’espoir que ces filles ont perdu, tout en décryptant la domination féminine, malgré le fait qu’elle puisse tomber sous le joug d’hommes violeurs et violents. Shug Avery (Margaret Avery), la femme fatale insoumise en est un bon exemple, ce qui joue en la faveur d’une prise de conscience radicale chez celles qui n’ont connu que la capitulation.

    Par ailleurs, peut-être que Spielberg aurait gagné à épouser la sobriété des drames, cependant, ce serait également abandonner une partie de son âme à la merci d’une industrie élitiste et trop soucieuse de la morale. Ce dernier manque alors d’insuffler l’émotion, comme vecteur du récit, là où il se repose sur une manœuvre tout à fait démonstrative, expliquant chaque trouble intérieur des personnages par des dialogues ou une voix-off contextuelle. Cette nouvelle dimension, à centrer son récit sur un personnage féminin l’a sans doute poussé à styliser les angoisses de Celie, à travers une forme d’emprisonnement mental et physique. La maison de « monsieur » (Danny Glover) est retapée de fond en comble pour enfin s’approprier un lieu initialement diabolique. La mise en scène nous éloigne donc plus des sujets qu’auparavant, là où le spectateur pouvait entrer en fusion avec les sentiments de héros. Cela ne constitue pas pour autant une faiblesse, mais amoindrit l’impact des comportements rebelles des sœurs, à l’exception d’un magnifique jeu de miroir entre un rituel et une session de rasage.

    C’est en s’armant de collaborateurs de qualité, comme Quincy Jones à la production et à la composition, que la musique noire américaine s’impose. Et Oprah Winfrey, dont la résistance du personnage, force le respect. Spielberg ne sait que trop bien qu’il n’est pas à la bonne place et laisse donc de l’avance à ses héroïnes, pleines de sagesse, virevolter dans les différents tons qu’il propose, tantôt réaliste, tantôt burlesque et tantôt féerique. « La Couleur Pourpre » (The Color Purple) capitalise ainsi sur les différentes formes d’esclavage au quotidien, au sein même de ceux qui viennent fraîchement d’en sortir, sans pour autant laisser la lumière s’éteindre sur le destin de deux sœurs, dont la relation fusionnelle ne peut que triompher, en face-à-face ou par correspondance.
    moket
    moket

    526 abonnés 4 331 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juillet 2021
    L'amour de deux sœurs au-delà de leur destin tragique. L'histoire choc en dit long sur la condition de la femme ou de ce que c'était d'être noir au début du 20ème siècle mais le ton employé est déroutant. Alors qu'il traite de viol, d'inceste ou encore de violence conjugale, le film a quelque chose de grand guignol, chaque personnage étant sous l'emprise d'un autre et se comportant de manière étrange. Le début du film est très prometteur, le décor est parfaitement planté, la fin est placée sous le signe de l'émotion, mais entre les deux on navigue dans la vie peu enviable de Celie (excellente Whoopi Goldberg) sans trop savoir qu'en penser ni même quoi éprouver...
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 décembre 2020
    Pour son premier drame, Spielberg signe une fresque engagée et touchante sur la condition des femmes noires au début du XXe siècle aux États-Unis, desservie par un côté un peu trop larmoyant et quelques longueurs, mais sublimée par une interprétation remarquable, notamment la touchante Whoopi Goldberg.
    Alasky
    Alasky

    349 abonnés 3 400 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 décembre 2021
    Le sujet est bien traité, l'actrice Whoopi Goldberg est convaincante, la mise en scène est correcte. Mais que c'est long, interminable... Et beaucoup trop mélo à mon goût.
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 050 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juillet 2023
    Un film qui ne m'a pas du tout emballé. Certes, les thèmes abordés, tels que la maltraitance des femmes et le racisme sont nobles, mais la manière n'y est pas. c'est beaucoup trop caricatural par moment, trop pleurnichard, ça manque de subtilité et la musique, mièvre, ne fait que souligner les hiatus entre ce scénario qui hésite sans cesse entre "la petite maison dans la prairie" et "la case de l'Oncle Tom"
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2020
    Porté par une Whoopi Goldberg bluffante, le film nous fait suivre avec intérêt mais sans passion la vie terriblement triste d'une femme séparée de sa sœur chérie à cause d'une violence masculine et sociétale intense. Mais à trop verser dans le mélodrame, Spielberg rate parfois sa visée émotionnelle. Une oeuvre techniquement réussie mais qui aurait gagné à faire preuve de pudeur et de subtilité. Touchant cependant.
    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juillet 2023
    Habitué à l'époque aux blockbusters ou aux films familiaux, Steven Spielberg surprend tout son monde avec son premier film historique au sujet grave, tiré d'un bouquin, bouleversant et très dur. Il saupoudre heureusement son drame de quelques moments d'humour, de détente car la lourdeur de l'intrigue est vraiment pesante.
    Danny Glover et Whoopi Goldberg, quasis inconnus à l'époque, signent tout simplement la meilleurs performances de leur carrière, ils sont formidables tout comme les seconds rôles. La musique sublime tout comme les paysages ne sont pas en restes.
    Une œuvre relativement méconnue dans la filmographie de Spielberg, pourtant c'est l'un de ses meilleurs films.
    Michael78420
    Michael78420

    45 abonnés 1 446 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 août 2021
    D'emblée on est plongé dans un monde inimaginable. Et ça se passait au début du XXe siècle aux États-Unis ! L'histoire de ces deux sœurs est bouleversante. On se demande comment des humains ont pu en traiter d'autres aussi mal. Sans jamais sombrer dans le misérabilisme, Steven Spielberg traite avec une étrange douceur le destin de ses héroïnes. Des femmes qui subissent un destin peu enviable, l'une d'elles arrivant pourtant à dire : "Les enfants, sans père, ça va pas". Les passages musicaux rappellent à ceux qui l'ignorent à quel point déjà en 1922, la musique noire américaine était fantastique, avec son blues et ses gospels. Les hommes assument leur domination par la force dans ce monde patriarcal. L'un d'eux, ne sachant plus comment contrôler son épouse affirme avec haine : "T'es moche, t'es pauvre, t'es noire, t'es une femme, t'es rien du tout !". Des propos qui ne feront que renforcer la détermination de celle qui n'a que trop enduré. Malgré les traitements infligés et les souffrances, la musique est toujours présente avec en apothéose un magnifique gospel qui commence comme un duel de chanteuses, jusqu'à ce que l'une d'elles, fille du pasteur, tombe dans les bras de son père qui refusait de la voir depuis tant d'années : "Tu vois papa, les pécheurs aussi ont un cœur." Ces gens méritaient bien un beau film, le voilà.
    Starwealther
    Starwealther

    75 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2022
    Steven Spielberg s'intéresse à la cause des noirs dans la première moitié du XXème siècle dans le sud des Etats Unis, il nous montre une vie terriblement dur!! Notamment pour les femmes qui doivent subir la violence et les humiliations de leurs maris qui les rendent quasiment esclaves. Whoopi Goldberg et Danny Glover sont présents en acteurs principaux, l'un comme l'autre ils jouent avec beaucoup de justesse. L'une joue une femme timide et introverti tandis que l'autre est un homme sans coeur qui maltraite les autres. Le film est une belle histoire avec des moments de joie mais surtout beaucoup de tristesse. Un assez bon film en somme
    SB88
    SB88

    24 abonnés 1 160 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 décembre 2023
    Fresque réussie malgré 20 minutes de trop.
    Filmé avec sensibilité et hommage à travers l'histoire de 2 sœurs à ces destins de femmes souvent humiliées, battues. La réalisation est parfaite et acteurs excellents
    3,7/5
    Informaticien Dubinfo
    Informaticien Dubinfo

    19 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 juillet 2021
    Je n'avais plus revu ce film depuis au moins 25 ans, et j'ai pourtant été touché comme-ci je le voyais pour la première fois. Même si j'ai la haine pour le personnage de Dany Glover, je dois avouer qu'il joue très bien. Bien sûr, Whoopi Goldberg joue le rôle de sa carrière. Une histoire vraiment triste et bien écrite. Sans doute le meilleur film réalisé par le grand Steven Spielberg.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top