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Ciné-13
124 abonnés
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1,0
Publiée le 7 décembre 2020
La bascule du "bel amoureux friqué" en "mari jaloux dominateur" est tellement brutale que cela enlève toute subtilité psychologique. Ne parlons pas du vilain kidnappeur et de Dakota qui pense que le banquier va lui donner ces millions sans coup férir. Les images sont luxueuses. Peu de scènes érotiques. LE VIDE QUOI!
Sur quels critères juger ça ? La plasticité du bodybuildé ou l’esthétisme de ses poils pubiens ? La fermeté mammaire de l’entretenue ou ses pseudo-aptitudes professionnelles ? On regarde Cinquante Nuances plus claires comme une douteuse vitrine qui exhiberait ses mannequins-pantins devant un fond paradisiaque fait de toc et de choc. Entre milliardaires on se comprend, certainement. Alchimistes du néant ayant cette remarquable capacité à transformer une déjection en coquille dorée et perlée de diamants, les scénaristes font la blague de transposer Twilight au pays des cravaches ; dans ce jardin où s’amoncellent les fleurs écloses trotte une famille toute belle toute gentille, dans ce même jardin où Edward et Bella parlaient mariage. Oh coïncidence ! Sauf que là c’est nul. Chef d’œuvre d’anti-scénario qui a l’audace d’accumuler les pires retournements fiancés aux pires idées narratives, le film ne dit rien, ne fait rien, brasse et embrasse le vide à pleine bouche, entre deux pots de crème glacée. Jamais sexe n’avait été aussi mal introduit ; la démarche clipesque relie les scènes comme un zapping programmé sur mode aléatoire, avec musique en prime. Quant à Danny Elfman, il compose une musique en mode automatique, se contentant de réajuster les thèmes précédemment appliqués. Le réalisateur convertit le sadomasochisme - sa vision du moins, liée à celle de l'auteure originale - en un authentique viol cinématographique. Alchimiste, vraiment.
Dans une bonne salle équipée d'un bon son la BOF est superbe. Une magnifique photo et de Belles Lumières ! Décors, cadres et costumes d'excellence et un Mister Grey redoutablement canon ! Un montage parfois cut qui ne lasse pourtant pas. En VO les acteurs nous embarque vite dans leur univers et leur élocution est parfaite et, n"en déplaise à certains détracteurs je les trouve charismatiques. Plus léger et frais que le Premier volet de l'opus avec une éclosion de sentiments montrés différemment. Des touches d'humour et un renversement notable de la pression qui va ravir certaines et certains féministes. Pas de scène trash ce qui pourrait décevoir les spectacteurs avides de porno sm... des moments d'érotisme bien ficelés. 1h50 qui passe vite et bien et donne l'envie de voir le volet plus sombre !
J’attendais le film avec impatience mais j’ai été un petit peu déçu par rapport au livre .. il manque beaucoup de choses j’ai l’impression qu’il a été bâclé mais comme j’ai vu les deux d’avant je suis contente d’avoir vu celui là qui était pas mal dans l’ensemble .
J'ai aimé ce troisième volet. On passe un bon moment sans se prendre la tête. Le scénario est cousu de fil blanc, et alors? On profite de la romance, de la sensualité et des aventures des deux héros. Les personnages ont gagné en profondeur et le film a osé un peu plus s'affirmer dans le style érotico-romantique. Il donne des idées pour pimenter sa vie de couple.
Des 3 c’est sans aucun doute le meilleur, il procure beaucoup d’émotions, l’amour des deux personnages fait rêver et est tellement mignon!! J’adore j’adore j’adore! Film à voir si vous aimez les films d’amours!
J’ai été bouleversé par ce final, j’ai adoré les deux premiers mais le dernier reste pour moi le plus fidèle au livre ! Et nous découvrons enfin Christian sous un autre visage passionné et amoureux ..
Agréablement surpris par ce dernier volet. J’avais aimé le premier, très déçu par le second et j’avoue que ce troisième volet est réussi. On ne s’ennuie pas. Beaucoup d’émotions passent tout le long du film. Ne restez pas sur une mauvaise note du deuxième épisode, allez voir le troisième
J’ai adoré le film cinquante nuances plus claires, on ressent encore plus l’alchimie entre les deux acteurs. C’est dommage que c’est dernier de la trilogie.
Si dans le second volet, James Foley semblait coincé entre son obligatation de remplir le cahier des charges de cette adaptation et l'envie de développer au mieux cette histoire, ce n'est plus le cas ici puisque le film est plus sulfureux que jamais et est entrecoupé par une intrigue artificielle ce qui était l'inverse dans les précédents. Il est toujours question du passé de Christian par petites doses, mais le gros de l'intrigue concerne le retour de l'un des personnages qui va tenter de s'en prendre au couple. Le film qui est le plus court de la trilogie est très rythmé à tel point que de nombreuses choses sont sous-développées. Le montage semble avoir été fait à la va-vite. Il manque un fil conducteur non pas que ce soit difficile à suivre vu l'histoire, mais ça manque de liant.Après, il ne faut pas être difficile, ce n'est pas un film qui a la prétention d'être un chef d'œuvre et pour ma part, ça ne m'a pas gêné un seul instant notamment parce que justement, on ne voit pas le temps passer vu que tout se succède vite. L'intrigue est artificielle au même titre que les rebondissements, la fin est prévisible et superficielle, mais l'ensemble fonctionne toujours bien. Qu'on aime ou pas, ce n'est pas le problème, mais je suis toujours surpris par les gens qui se tapent une trilogie entière de quelque chose qu'ils exècrent. Sans être exceptionnel ce qui n'est aucunement une surprise, j'ai trouvé ce dernier volet une fois de plus très plaisant à suivre. Le duo fonctionne bien, on ne s'ennuie jamais, les décors et différents cadres sont superbes puis surtout, c'est loin d'être désagréable à l'œil... En somme, un troisième volet plein de défauts, mais très divertissant qui clôture de manière attendue une trilogie finalement bien sympathique.
Ce qui fait le succès de la saga Fifty Shades est avant tout l’intensité hors du commun de cette relation amoureuse. L'amour sous contrat qui peu à peu, devient sincère. C'est ce que l'on découvre dans ce troisième volet: mariage, enfants, sexe, possession, et encore un peu de sexe. Évidemment, cette relation bâtie sur un jeu de séduction et une profusion de billets verts n'a rien d'authentique. On pourrait l'interpréter de manière explicite dans le sens où la femme préfère l'argent qu'une belle gueule d'irlandais. Vivre aux côtés de Christian Grey, c'est accepter la folie des grandeurs, l’opulence, et l’excentricité sexuelle. Une façon comme une autre de briser la routine du quotidien. Même si ce troisième volet fait un peu rengaine, il n'est pas plus mauvais que ses prédécesseurs. De plus, il y a toujours une certaine puissance véhiculée par les images et la BO. Une BO électrisante d'une rare intensité. L'action est également plus présente, mais je n'irais pas le conseiller pour autant aux amateurs de Michael Bay. Érotique et esthétique, voila qui résume assez bien. Une saga qui, on ne va pas se mentir, rassemblera plus volontiers un public féminin. 4/5