Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Parisien
par Justine Bosquier
POUR : Décors prestigieux, costumes et robes hyperglamours, scènes d'action et rebondissements, la bande originale et le scénario du film de James Foley sont dignes d'un cinéma américain caressant et prenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Public
par Florence Roman
L'intrigue policière est tout aussi importante que la comédie sentimentale, et le film alterne romance et suspense avec bonheur.
CNews
par La rédaction
Cette conclusion se double d’une intrigue de thriller pour en amplifier la tension. La romance n’en est pas mise de côté pour autant.
LCI
par Delphine De Freitas
Le dernier chapitre de la torride saga signée E.L. James nous a fait le même effet qu’un coup de fouet de Christian Grey sur le fessier d’Ana. Douloureux par moment mais pas déplaisant.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Point
par Morgane Giuliani
50 Nuances plus claires a au moins le mérite d'être plus léger que les deux premiers volets et d'apporter au public ce qu'il attend : du frisson érotique avec un soupçon de ridicule. De quoi terminer cette saga controversée sur un « plaisir coupable » digne de ce nom.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Pour les aficionados, ce troisième opus réserve son lot de moments forts, comme voir le ténébreux Christian Grey verser quelques larmes... Et de dérision, car oui, beaucoup d'humour se glisse dans cet opus. Pour les autres, sans grande surprise, il n'est plus vraiment question d'apprentissage SM ou autres pratiques sexuelles, mais bien d'un véritable film à l'eau de rose.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
20 Minutes
par Caroline Vié
Cela semble difficile à imaginer, mais cet ultime opus parvient à être plus mollasson que les précédents.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Théo Charrière
Les séquences partout flottent, parfaitement hors-sol, en attente de leur possible consécration sur l’écran d’une surface immaculée. (...) Cinquante nuances de Grey est l’éclosion progressive d’un monde qui soit à la mesure de la peau de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
S'il [50 nuances plus claires] reste un divertissement populaire d'un très faible intérêt, sa vertu pédagogique vient enfin quelque peu rééquilibrer la balance des clichés jusque-là dépeinte sans aucune nuance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ecran Large
par Simon Riaux
N'ayant plus rien à raconter, la trilogie déroule son petit programme conservateur et aseptisé, avec la sensualité d'une publicité pour un mauvais vermifuge.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Théo Rampazzo
Entre un nombre incalculable de scènes érotiques, une tentative de kidnapping ridicule et un dénouement on ne peut plus prévisible, cet épisode, le dernier espère-t-on, surfe sans grande imagination sur le succès de la saga.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Les rapports sadomasochistes du couple sur lequel est bâtie la saga s’achèvent dans une conjugalité conventionnelle sponsorisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
CONTRE : Question charisme, on a connu Dakota Johnson et Jamie Dornan, qui campent les deux héros, mieux inspirés. A leur décharge, ils n'ont pas vraiment l'air dirigés par James Foley, réalisateur de pépites cultes dans les années 1980 et qui depuis semble avoir perdu la main.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Cécile Mury
A recommander uniquement aux spectateurs masos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Bref, c'est pas la joie. Et tout le monde a rapidement l'air de s'ennuyer, des acteurs (elle n'a jamais été aussi absente, lui semble découvrir son texte en ouvrant la bouche) aux scénaristes.
La critique complète est disponible sur le site VSD
Le Parisien
POUR : Décors prestigieux, costumes et robes hyperglamours, scènes d'action et rebondissements, la bande originale et le scénario du film de James Foley sont dignes d'un cinéma américain caressant et prenant.
Public
L'intrigue policière est tout aussi importante que la comédie sentimentale, et le film alterne romance et suspense avec bonheur.
CNews
Cette conclusion se double d’une intrigue de thriller pour en amplifier la tension. La romance n’en est pas mise de côté pour autant.
LCI
Le dernier chapitre de la torride saga signée E.L. James nous a fait le même effet qu’un coup de fouet de Christian Grey sur le fessier d’Ana. Douloureux par moment mais pas déplaisant.
Le Point
50 Nuances plus claires a au moins le mérite d'être plus léger que les deux premiers volets et d'apporter au public ce qu'il attend : du frisson érotique avec un soupçon de ridicule. De quoi terminer cette saga controversée sur un « plaisir coupable » digne de ce nom.
Télé Loisirs
Pour les aficionados, ce troisième opus réserve son lot de moments forts, comme voir le ténébreux Christian Grey verser quelques larmes... Et de dérision, car oui, beaucoup d'humour se glisse dans cet opus. Pour les autres, sans grande surprise, il n'est plus vraiment question d'apprentissage SM ou autres pratiques sexuelles, mais bien d'un véritable film à l'eau de rose.
20 Minutes
Cela semble difficile à imaginer, mais cet ultime opus parvient à être plus mollasson que les précédents.
Critikat.com
Les séquences partout flottent, parfaitement hors-sol, en attente de leur possible consécration sur l’écran d’une surface immaculée. (...) Cinquante nuances de Grey est l’éclosion progressive d’un monde qui soit à la mesure de la peau de son personnage.
Les Inrockuptibles
S'il [50 nuances plus claires] reste un divertissement populaire d'un très faible intérêt, sa vertu pédagogique vient enfin quelque peu rééquilibrer la balance des clichés jusque-là dépeinte sans aucune nuance.
Ecran Large
N'ayant plus rien à raconter, la trilogie déroule son petit programme conservateur et aseptisé, avec la sensualité d'une publicité pour un mauvais vermifuge.
Le Figaro
Entre un nombre incalculable de scènes érotiques, une tentative de kidnapping ridicule et un dénouement on ne peut plus prévisible, cet épisode, le dernier espère-t-on, surfe sans grande imagination sur le succès de la saga.
Le Monde
Les rapports sadomasochistes du couple sur lequel est bâtie la saga s’achèvent dans une conjugalité conventionnelle sponsorisée.
Le Parisien
CONTRE : Question charisme, on a connu Dakota Johnson et Jamie Dornan, qui campent les deux héros, mieux inspirés. A leur décharge, ils n'ont pas vraiment l'air dirigés par James Foley, réalisateur de pépites cultes dans les années 1980 et qui depuis semble avoir perdu la main.
Télérama
A recommander uniquement aux spectateurs masos.
VSD
Bref, c'est pas la joie. Et tout le monde a rapidement l'air de s'ennuyer, des acteurs (elle n'a jamais été aussi absente, lui semble découvrir son texte en ouvrant la bouche) aux scénaristes.