Votre avis sur Cinquante Nuances plus sombres ?
1,0
Publiée le 29 mai 2020
La vèritable vedette de "Fifty Shades Darker", ce sont les mots de E. L. James! James Foley se fèlicite de ce nouveau joujou pour les mènagères en manque de sensations fortes! Le seul mèrite de cette suite dont Hollywood aurait très bien pu se passer! Mais bon le film est tellement kitsch et drôle qu'on pardonne! Visage fermè, expressions rèduites au minimum, Jamie Dornan, tout en muscle, en fait effectivement peu dans le genre inexpressif! Son image de Christian Grey lui collant à la peau, il ne fait pas plus illusion dans le rôle que Hero Fiennes-Tiffin dans celui de Hardin Scott! Dakota Johnson n'est pas mieux mais la gente masculine s'en contentera largement! Une petite tape sur les fesses, la boule coquine là où il faut et au lit! D'où pour sceller des liens très forts entre Christian et Anastasia, une nuance plus sombre! Si sombre que le rècit l'èvoque en un mot : Osez! Mais qu'est-ce qu'on rigole dans cette suite! En vrac : spoiler: la sèance de musculation avec en fond « So lonely » du groupe Police, la scène de l'ascenseur, le retour de Christian après son crash...
Espèrons que le troisième volet soit aussi fendard...
3,0
Publiée le 12 avril 2017
James Foley qui succède à Sam Taylor-Johnson semble coincé entre le devoir de remplir le cahier des charges de cette adaptation et l'envie de développer au mieux cette histoire. Si le premier film était là pour installer la franchise et son univers particulier, ce second film aurait dû servir à approfondir la psychologie des personnages et mettre en place des enjeux plus importants autres que cette simple histoire d'amour. Dès les premières minutes cela semble être le cas avec le passé de Christian qui semble venir le hanter seulement tout ça n'a pas une très grande importance dans l'histoire un peu comme la présence de Leila, Jack Hyde et Elena, trois personnages mystérieux qui malheureusement ne font pas long feu alors que leur présence pouvait rendre l'histoire un peu plus intéressante. Comme je l'ai dit au début, le film a vraiment le derrière assis entre deux chaises, car dès qu'il y a des éléments intrigants, on se tape une scène de sexe qui sort de nulle part... Cette suite ressemble davantage à un 1 bis qui permet néanmoins d'installer (encore une fois...) des bases solides qui je l'espère serviront enfin dans la nouvelle suite. Le film n'est pas exempt de défauts, mais il est pas mal et s'inscrit dans la lignée du précédent en étant toujours aussi sensuel voir plus grâce à ce duo qui fonctionne très bien.
1,0
Publiée le 17 février 2020
Je n'avais pas aimé le premier, mais évidemment, j'ai tout de même regardé cette suite : il serait vraiment, vraiment temps que je remette en cause mes pratiques cinématographiques. Bref, vous l'aurez compris : « Cinquante nuances plus sombres », ce n'est pas bon du tout. Allez, reconnaissons-lui un semblant de professionnalisme formel, des images plutôt léchées (oups, première métaphore sexuelle, désolé), la présence de Dakota Johnson restant un indéniable atout charme, Jamie Dornan m'ayant paru un (tout petit) peu moins fade que dans le précédent volet. Mais bon... Que retenir d'un tel film ? C'est juste le vide absolu. Il n'y a rien ou presque. Pour une ou deux situations potables, combien de scènes sans aucun intérêt pour une bluette où il n'y a tellement rien à raconter qu'on y intègre quelques pauvres rebondissements ne faisant pas du tout rajoutés spoiler: (l'accident d'hélicoptère, quelle blague)
, une poignée de scènes « hot » ultra-softs histoire de combler, aseptisant totalement la présumée sulfure censée s'en dégager. « Cinquante nuances de Grey », déjà très pauvre, avait au moins le mérite d'aborder un tant soit peu le sadomasochisme du héros. Là, il est presque constamment à l'arrière-plan, sacrifiant totalement le personnage de l'ancienne « mentor » de Christian (Kim Basinger, visiblement plus présente dans les salons de chirurgie esthétique que sur les plateaux de tournage ces dernières années), et j'ose à peine évoquer celui du patron d'Anastasia, spoiler: effrayante caricature d'agresseur sexuel, voire légèrement psychopathe sur les bords
. Tout est tellement simpliste, sans jamais chercher à aller en profondeur (aïe, deuxième métaphore sexuelle, la dernière, promis) ou à réellement aborder son sujet initial : juste une romance gentillette et terriblement fade, quasiment sans enjeux ni scénario : « plus sombres », vraiment ? Je vois difficilement comment le troisième (et dernier, ouf!) volet pourrait être pire, mais étant moi aussi quelque peu masochiste à mes heures perdues, je ne manquerais de vous raconter tout cela lorsque l'occasion se présentera. Allez, au pieu (ah, mince, j'avais dit plus de métaphore!).
1,0
Publiée le 16 février 2017
"Plus aucune règle" annonce l'affiche. Et effectivement c'est vraiment n'importe quoi ce film, pire que le premier opus ! C'est bien simple, il n'y a rien. Cette histoire d'amour et de fesses entre Anastasia et Christian a beau offrir son lot de péripéties, celles-ci semblent uniquement écrites pour meubler le temps qu'il y a entre deux scènes de sexe tellement pas assumées (avec une musique pour mieux les illustrer et un bout de fesse de temps en temps) qu'elles en deviennent vite ridicules. Pas autant ridicules, me direz-vous, que les rebondissements d'un scénario qui s'offre le retour d'une ex flippante et un accident d'hélicoptère pour finalement ne rien en faire, les résolvant comme par magie cinq minutes plus tard ! Ce n'est certes pas le comble du ridicule, le réalisateur James Foley, qui n'est pourtant pas un manche (on parle du réalisateur de "Glengarry" quand même !) semblant carburer au minimum syndical, laissant sa caméra filmer là où il veut bien la poser, laissant le montage se faire par le stagiaire du coin qui passait et qui voulait mater un peu Dakota Johnson à poil. Une Dakota Johnson toujours aussi mauvaise dont la frange est plus expressive que le pincement de ses lèvres qu'elle mordille nerveusement comme une cruche dès qu'elle est un peu excité et qu'on la tripote un peu. Son alchimie avec le très monolithique et pas charismatique pour un sou Jamie Dornan est presque aussi évidente que celle liant un phoque à un requin et évidemment cela contribue à nous convaincre que ce couple est décidément sexy et qu'elle a bien de la chance cette Anastasia d'être tombé sur un beau mec comme Christian qui considère les femmes comme sa propriété. En bref, du cinéma bâclé avec un scénario qu'on a rarement vu aussi catastrophique et surtout des acteurs mauvais comme jamais, figé dans une seule expression comme le visage trop botoxé de Kim Basinger qu'on avait vu plus sensuelle il y a bien des années dans "9 semaines 1/2" qui n'était déjà pas génial mais qui était déjà mille fois plus sensuel que ce truc.
1,0
Publiée le 8 février 2019
Le concept de premier opus était intéressant (voir ma critique) et la réalisation était correcte. Et surtout le film se suffisait à lui-même. Cette suite n'a rien à nous dire et nous narre une improbable guimauve où tout est raté. Il est sidérant de voir autant de scènes absurdes et inintéressante dans un même film : On fait durer 5 minutes une partie de billard (quel suspense !), on fait joujou cinq minutes à la barre d'un bateau, (ça meuble). La scène du harcèlement sexuel est risible tellement elle est maladroite, on nous inflige un bal masqué où tout le monde se reconnaît, et le sommet étant la scène de l'hélicoptère, véritable négation de la narration cinématographique. Quant à la fin, c'est l'overdose de guimauve et de débilité. Jamie Dorman nous la joue bourrin, et dans les second rôles, la mémère qui incarne sa mère est un véritable repoussoir. Les scènes de sexe ne sont pas terribles, mais Dakota Johnson reste agréable à regarder.
1,5
Publiée le 9 février 2017
Je n'avais pas du tout aimé le premier tome par ennui, eh bien dans celui-ci j'ai bien ri ! Alors il faut m'expliquer pourquoi « plus sombres » car c'est le monde des bisounours pourtant... On retrouve Christian Grey qui va reconquérir sa belle Ana très facilement, et on va suivre leurs petites difficultés mais leur amour va bien sûr tenir à coup sûr. Le synopsis n'est pas vraiment révélateur du film sur « l'ombre surgie du passé » qu'on voit 10 minutes à tout casser. Mr Grey en illusion dominant et autoritaire est devenu un vrai petit canard, et Ana dit oui très facilement.
L'histoire se suit tout de même avec moins d'ennui que la première, parsemée de quelques petites scènes « olé ». Mais je tiens à lui mettre une meilleure note que le premier opus (que j'avais noté 1/5) car j'ai beaucoup ri par la niaiserie et la stupidité de beaucoup de scènes.
SPOILER spoiler: d'exemples de scènes : Christian en faisant sa séance de muscu ; Ana qui se plaint d'avoir été touché par son patron et Christian envoie son garde du corps au lieu d'y aller ; on annonce à la TV que l'on vient JUSTE d'apprendre que Christian Grey a été retrouvé à la suite de leur crash d'avion et il réapparait deux secondes plus tard à l'entrée de son appart, rapide ce Christian ! Etc

Pour l'essentiel, 50 nuances plus sombres reste dans la lignée du premier film, niais et ridicule, mais on rit donc le temps passe plus vite que dans le premier.
Et par pitié, pour certains spectateurs qui mettent des avis sur allocine, arrêtez de mettre des critiques en mettant 5 alors que vous n'avez même pas vu le film !
1,5
Publiée le 17 décembre 2018
Le premier pouvait passer pour une gentille comédie romantique. Je ne vois pas ce qui peut émoustiller dans ce genre de film, c’est même pas du porno soft, on voit même pas la moitié d’un téton. Et puis sombre, là je vois pas trop, c’est encore plus light que le premier volet. C’est mauvais de chez mauvais, et tellement mal joué. Bon, la VF n’arrange pas les choses. Et puis Kim Basinger, franchement, elle fait peur. Aucune alchimie entre les deux acteurs principaux, pas du tout charismatiques. Reste la belle plastique de Jamie Dornan, on se console comme on peut…parce que là il est vraiment pas bon, alors qu’il peut être si convaincant, notamment dans la série The fall...Tout comme Dakota Johnson dans Suspira ou Sale temps à l’hôtel El Royale...
2,0
Publiée le 4 mars 2017
Un Fifty Shades of Grey qui avait connu un succès commercial notamment à la St Valentin en 2016, et voici cette année dans un second chapitre - Fifty Shades Darker. Changement de réalisateur qui est cette fois-ci un homme : James Foley. On peut dire qu'il n'y va pas dans la finesse et ni dans la subtilité au sein de cette histoire et reprend le même résultat que son prédécesseur mais en moins bien... L'homme d'affaires Christian Grey veut reconquérir la jeune diplômée Anastasia. Il accepte de faire des effort et d'obtenir avec elle, une vraie relation amoureuse. Mais, son passé resurgit... Tout d'abord, sa bande annonce prévoyait quelque chose de mystérieux et d'assez prometteur en nous dévoilant une dose de thriller malheureusement, il n'en ait rien ! Certes, un peu plus mouvementé que son aîné mais tout ceci devient lassant et regrettable au fil des minutes. Aucune tension est présente, on abuse des clichés à chaque scène. La relation de ces deux personnages n'est jamais vraiment crédible à l'écran. Ce duo que forme Dakota Johnson et Jamie Dornan ne développent pas une chimie particulière et ne transcende pas l'écran. Il peut y avoir de l'attirance mais on ne sent pas de l'amour. Les personnages secondaires sont très secondaires avec une Kim Basinger qui est visiblement fatiguée et un vilain patron interprété Jack Hyde qui a le charisme d'une huître. Des dialogues toujours aussi niais et risibles à souhait, spoiler: celle de la demande pour aller dîner
est à se tordre de rire ! Les scènes de sexe qui est le principal intérêt de cette production ne manquent pas, mais sont tellement soft qu'on les oublie. Moins élégantes que le premier, elles sont peu érotiques ! Et puis l'apparition spoiler: des boules chinoises,
c'était quand même amusant. La bande son est bien amenée et n'est pas aussi belle que dans les Nuances de Grey... Côté mise en scène, elle est toujours la même - plate au possible - malgré spoiler: la scène du bal masqué
qui était pourtant une bonne idée sur la papier spoiler: - il aurait fallu installer dans ce bal, une soirée libertine -
afin de donner une ambiance glauque à ce film qu'il ne l'est pas. Il faut mentionner que certaines séquences de long-métrage sont absurdes spoiler: - la scène de l'après crash d'hélicoptère de Grey est totalement désolante -
pas de rebondissement, donc ! La finale l'est aussi. Tout cela pour vous dire que Cinquante Nuances plus sombres est une sorte de conte de fées soft porn, il n'y a rien de violent ni de captivant à voir. Le premier chapitre avait ses défauts mais il était bien plus regardable que celui-là. Il nous reste encore un chapitre avant la fin de cette franchise, tenons le coup !
2,0
Publiée le 8 février 2017
La première mouture de ces romans internationalement connus et célébrés par une horde de jeunes femmes en manque de sensations érotiques, plus que par la critique littéraire il faut l’avouer, était sympathique. Avec étonnement, sans avoir lu le bouquin, on passait un agréable moment tout en découvrant ces personnages qui nous emmenaient dans une romance gentiment perverse. Rien de révolutionnaire, certes, mais des atermoiements sentimentaux qui en valait d’autres, réalisés avec une application scolaire pour ce qui s’apparentait à une bluette sentimentale au-dessus du lot. Ici, on plonge vraiment dans le roman Harlequin à l’eau de rose sur grand écran, ce que le premier parvenait la plupart du temps à éviter.

Toujours sans avoir lu aucun des livres, cette suite au cinéma n’est donc pas du tout du même acabit. Si les images sont toujours aussi soignées mais mises en boite sans aucun génie ni originalité, on a de plus en plus l’impression de regarder un roman photo auquel on a donné vie en images. L’histoire ne se renouvelle absolument pas rendant « Cinquante nuances plus sombres » redondant et répétitif. On a la désagréable impression de visionner déjà le remake ou le reboot du premier opus. Si l’ajout d’un patron séducteur pour Anastasia Steele et de réminiscences du passé pour Christian Grey tentent de masquer la vacuité du scénario, on n’est pas dupes et on finit par trouver le temps long à regarder ces deux-là essayer de trouver un équilibre et un juste milieu à leur relation. Les milieux dans lequel ils évoluent étant tellement éloignés de ceux de monsieur et madame tout le monde que l’identification à leurs personnages s’avèrent de plus en plus difficile ; l’argent et le pouvoir rendant presque tout possible. Quant à certaines révélations dites psychologiques, elles frôlent le ridicule.

Les acteurs ne sont pas mauvais mais sont au strict minimum de leurs capacités, limitant leurs expressions et faisant ce qu’ils peuvent avec des dialogues plus pauvres que dans « Cinquante nuances de Grey ». Quant à l’érotisme promis, il est encore plus timoré que dans ce dernier faisant de cette suite, un long-métrage hypocrite et plutôt cul-cul. On est même à la limite de s’ennuyer, le film durant presque deux heures. Les fausses péripéties et un rythme nonchalant nous laissent de totalement de marbre. Au final, ce qui s’avérait un tantinet original, plaisant et regardable dans un premier film, s’avère totalement inutile, déjà-vu et faussement racoleur ici. Pas besoin de préciser qu’on n’est est plus vraiment pressés de voir le suivant.
1,5
Publiée le 10 mai 2017
L’adaptation cinématographique de Cinquante Nuances de Grey était déjà un beau navet qui avait surtout fait recette grâce à une grosse campagne de communication et de préventes. Mais le box-office à toujours raison de l’avenir des sagas. Il n’est donc pas étonnant de découvrir un Cinquante Nuances plus Sombres à l’affiche. Annoncé comme torride, le film n’a encore rien de très excitant. A part nous montrer des bouts de fesses et de tétons ainsi que de nombreux jouets érotiques, l’histoire tourne encore en rond avec des séquences prévisibles et inutiles. Les comédiens sont toujours aussi mauvais et encore une fois, seule la bande originale sauve un peu le niveau.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44
0,5
Publiée le 3 mai 2017
La suite où l'ancien patron revient, un nouveau contrat des amants est négocié pour copuler en toute tranquillité. Ce film est une blague. Christian a eu de nombreuses aventures et est incapable de s'engager. Les dialogues sont toujours aussi mauvais que l'histoire. L'amour est lié par un contrat et de l'argent viré sur un compte. De la prostitution de luxe où le riche homme d'affaires jeune et séduisant achète tout à sa maîtresse en échange de faveurs sexuelles douteuses. Aussi mauvais et accrocheur que ses personnages.
4,0
Publiée le 9 février 2017
J'ai vu le premier volet l'année dernière et j'avais beaucoup apprécié.
Cette suite est vraiment très bien aussi.
Je précise que je n'ai jamais lu les livres en question.
Le film est de haute qualité, très bien réalisé et interprété.
0,5
Publiée le 28 mars 2023
Après une belle note minimale décernée au premier volet, on va me prendre pour un masochiste à vouloir regarder cette suite. Mais justement, comme je l’expliquais dans ma critique de l’opus précédent, j’aime bien de temps à autre regarder un navet assuré, afin de réapprécier les bons films derrière. Mission accomplie, « Fifty Shades Darker » est encore pire que son prédécesseur !
J’ai néanmoins beaucoup d’admiration pour les producteurs de ce film. Parvenir à pondre un long-métrage de deux heures qui ne raconte rien, et qui fait près de 400 millions de dollars de recette, je dis chapeau. Messieurs, je pense que vous pouvez enseigner en école de commerce de cinéma !
Car « Fifty Shades Darker », c’est le vide intersidéral. Comme le premier, le film est relativement propre sur la forme… à tel point qu’il en est aseptisé. Aucune émotion ne se dégage, et ce n’est pas l’absence totale d’alchimie entre les deux acteurs principaux qui changera la donne. Les dialogues sont raz-des-pâquerettes, les personnages inintéressants.
Quant aux scènes de sexe, oui elles sont nombreuses. Mais expédiées en quelques minutes, et elles-aussi très épurées : pas de sueur, pas de marque, très gentillettes, là encore la communauté S&M va se poiler. Le seul vrai sadisme c’est de nous infliger une soupe abominable sur toute la BO… y compris pendant les parties de jambes en l’air !
Le film cherche toutefois à se construire autour d’un semblant d’intrigue : Anna va-t-elle se mettre en couple avec Christian (attention suspense insoutenable) ? Sauf que ceci est résolu dès le premier quart d’heure. Ensuite, on nous sert deux vagues antagonistes qui auront peut-être 5 minutes de présence cumulées. La botoxée Kim Bassinger (choix en forme de clin d’œil à « 9 ½ Weeks » ?) incarne une ancienne maîtresse qui se mêle de ce qui ne la regarde plus. Tandis que le boss d’Ana est un cliché sur pattes d’agresseur sexuel, qui sera évacué en deux minutes du scénario.
Et puis, outres les divers faux-raccords et facilités, il faut parler du dernier acte, risible à souhait. En particulier, la gestion d’une séquence d’hélicoptère (je n’en dirai pas plus). Que ce soit la manière de l’amener, de la filmer, ou de montrer ses conséquences, c’est absolument hilarant de bêtise.
Allez, je tenterai le troisième volet quand j’aurai vu trop de bons films…
0,5
Publiée le 8 février 2017
Cette fois c’est fini, Christian ne se bat même plus. Allons- y pour une relation pseudo normale. Au point où en est le scénario, ça ne peut pas être pire. Eh bien si ! Il ne se passait déjà pas grand chose dans le premier opus, mais là, on croirait que le scénariste est mort avant d’entamer son « œuvre ». Anastasia est toujours aussi niaise et lui ne possède que deux expressions faciales : content, pas content. Mais ils s’aiment, c’est le bonheur. Véritable condensé de papillons, licornes et arcs-en-ciel. On attend même le moment où Mr Grey va échanger son fouet contre une peluche panda ! Beurk !
1,0
Publiée le 19 mai 2017
Terriblement cucul, scandaleusement cliché, ce second opus des aventures "sexuelles" (le mot "amoureuses" serait plus judicieux) de Grey & Steele nous plonge une fois de plus dans un désintérêt impressionnant. Mieux vaut une bonne sieste que d'assister à ces deux heures repoussantes et interminables sur cette pseudo-relation érotique pour fillettes de 12 ans, servie par une bande originale des plus agaçantes (toutefois en parfaite adéquation avec le côté gnian-gnian du film). Le duo est aussi ennuyeux et irritant que dans le premier opus, livrant prestations médiocres et dialogues d'une niaiserie indigeste, et ce n'est pas non plus le scénario qui viendra pallier à cela. Aussi raté que sa fessée !
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