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Phil-64
22 abonnés
147 critiques
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2,0
Publiée le 2 février 2013
J'ai bien aimé l'embiance du voyage, ce qui m'a donné envi d'y être, mais la lenteur et le peu de choses [interessantes] gachent un peu tout. Je me suis plus ennuyé qu'autre chose. Malgré ça, les acteurs jouent très bien et sont très drôles! Un film pas à revoir.
Nous voici lancé dans un road movie pas commun. Après un début en compagnie d'acteurs peu convaincants, nous retrouvons un duo Duvauchelle et Rebbot qui élèvent ce film au rang des petites surprises en ce début d'année. des paysages somptueux, un folklore qu'on ne touche que du bout des yeux, une musique à la hauteur des grandes épopées... Il n'en faut pas plus pour décoller pendant 1h30.
Envie de les raser pendant tout le film mais le mélange des langues et toutes les maladresses en font un film touchant avec un grand échalas formidable .
Un sous "Very bad trip" mais pas si mal. On se laisse aisément embarquer dans ce road-movie gentiment drôle. Il est à la fois banal, par moment délirant sans l'etre vraiment. Regrettable que le rôle de Philippe Rebbot, parfait en looser, engendre de la pitié et de la peine. Par contre les morceaux musicaux sont bien choisis...
Film très attachant. La musique de Hermann Dune participe à ce sentiment. Les personnages sont justes, l'évasion au rendez-vous et l'émotion permanente. Une très bonne surprise. Par contre, la scène de sexe n'apporte rien à la narration : une envie du réal de voir le corps de son actrice?
Merci, j'ai été voir ce film sur un coup de tete sans avoir vu la bande annonce et ne sachant pas du tout de quoi ca parlait j'ai passé le meilleur moment dans un cinema depuis 4 ans .... magique....
ce film a tout pour être un bon film, thème, acteurs, rythme, musique, paysage superbe.... mais il ne s'y passe rien d'intéressant et je me suis ennuyée, quel dommage !
Mariage à Mendoza. Un road-movie, qui sent la légèreté, la fraîcheur et qui porte à merveille le statut de comédie. Deux frères, diamétralement opposés, partent pour l'Argentine à des fins d'assister au mariage de leur cousin, qui a du entendre dire comme moi que les argentines étaient canons. Nicolas Duvauchelle voit son périple commencer tristement puisque sa dulcinée a décidé de le quitter juste avant ce projet hispanico-dépaysant. Son frère, Philippe Rebbot, alias Marcus, comédien génial, va tout faire pour remonter le moral de son petit frère qui n'a goût à rien, même sous l'équateur. Ces deux-là tentent de s'acclimater dans un joyeux bordel à la vie argentine en entraînant avec eux dans leur vintage Ford Fairlane, le réceptionniste d'un hôtel et une adorable brunette, Paloma Contreras, qui fera son effet à plusieurs reprises. Le but est finalement atteint et tous se retrouvent costardés pour festoyer autour des mariés. Le tout donne envie d'aller là-bas, de goûter à la viande locale, autrement que chez Unico et on comprend que Romane Bohringer ait choisi Philippe Rebbot comme compagnon de vie. L'humour séduit donc vraiment les filles !
Nicolas duvauchelle que j'avais découvert et adoré quand j'etais petite ds Le corps impatients me semble aujourdhui bien moins bon qu'il y a 10 ans. Apres de mauvaises choix de films comme: Le grand maulne, La blonde aus seins ou encore recemment Comme des freres, je pense que ce comedien ultra talentieux perd de plus en plus en credibilité et reputation en ne choisissant que des films au scenario miserable! Ce film ne fait qu'ajouter une bouze de plus à son palmares !!!
Un road-movie à travers l'Argentine super sympa ! Le duo Nicolas Duvauchelle/Philippe Rebbot fonctionne très bien. Ça se termine peut être un peu vite et on aimerait que ce voyage dure un peu plus longtemps mais j'ai déjà passé un super moment et j'ai bien ri !
Il faut bien le reconnaitre, le road movie et le cinéma français ne font pas meilleur ménage que la plomberie et moi. Après avoir vu le film, je regrette que le TGV ne relie pas Buénos Aires et Mendoza, j'aurai pu être au lit plus tôt. L'histoire des deux frères et l'évolution de leur relation est intéressante (surtout Marcus) mais on se lasse vite de leur périple. Le mariage et les états d'âme d'un Benjamin Biolay insignifiant font apprécier l'arrivée du générique de fin.