Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Jean Roy
Le film a été salué, en mai, à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes et mérite d’être soutenu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un drame filial filmé en toute sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Une mise en scène en huis clos où un centre commercial, principal décor de cette fiction acide, est une métaphore habile du monde qui claquemure le héros.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un film qui suit, avec tendresse et empathie, une sorte de Buster Keaton mélancolique et grave. Le parti pris de la lenteur est finement mis au service tant des situations que des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
Nouvel opus mi-figue mi-raisin (...)
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Louis Guichard
Sans doute Raphaël Nadjari, cinéaste franco-israélien, n'a-t-il pas tenu toutes les promesses que ses premiers films « cassavetiens » avaient fait naître. Mais il sait tirer d'un possible désenchantement un film simple, attachant dans son humilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Pourquoi l’auteur de l’original et émouvant I Am Josh Polonski’s Brother affirme-t-il sa singularité, après Avanim et Tehilim, par un conformisme et un polissage de plus en plus affirmés ? Voilà un cours vraiment étrange.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Cette esthétique de la retenue et des non-dits, cette éthique de situations ouvertes à la polysémie des interprétations frise le risque de l’inconsistant, du film qui échappe comme du sable entre les doigts à force de se prémunir de l’explicite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Damien Leblanc
L’histoire de Saul, un quadra dépressif tentant de renouer avec son père qu’il n’a plus vu depuis des années, présente tous les ingrédients d’une intense reconstruction personnelle. Mais l’austérité de la mise en scène installe une regrettable distance avec les personnages...
L'Humanité
Le film a été salué, en mai, à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes et mérite d’être soutenu.
Le Monde
Un drame filial filmé en toute sobriété.
TéléCinéObs
Une mise en scène en huis clos où un centre commercial, principal décor de cette fiction acide, est une métaphore habile du monde qui claquemure le héros.
Les Fiches du Cinéma
Un film qui suit, avec tendresse et empathie, une sorte de Buster Keaton mélancolique et grave. Le parti pris de la lenteur est finement mis au service tant des situations que des comédiens.
Positif
Nouvel opus mi-figue mi-raisin (...)
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Sans doute Raphaël Nadjari, cinéaste franco-israélien, n'a-t-il pas tenu toutes les promesses que ses premiers films « cassavetiens » avaient fait naître. Mais il sait tirer d'un possible désenchantement un film simple, attachant dans son humilité.
Cahiers du Cinéma
Pourquoi l’auteur de l’original et émouvant I Am Josh Polonski’s Brother affirme-t-il sa singularité, après Avanim et Tehilim, par un conformisme et un polissage de plus en plus affirmés ? Voilà un cours vraiment étrange.
Les Inrockuptibles
Cette esthétique de la retenue et des non-dits, cette éthique de situations ouvertes à la polysémie des interprétations frise le risque de l’inconsistant, du film qui échappe comme du sable entre les doigts à force de se prémunir de l’explicite.
Première
L’histoire de Saul, un quadra dépressif tentant de renouer avec son père qu’il n’a plus vu depuis des années, présente tous les ingrédients d’une intense reconstruction personnelle. Mais l’austérité de la mise en scène installe une regrettable distance avec les personnages...