Avis : Un Prince (presque) charmant - Page 6

avec mon mari on a adoré ce film brillant. ce n'est pas un film romantique pour vous pousser larmoyer , mais une comédie de bon goût sur la vie parisienne pleine de stress, grèves et d'absurdité , avec de beaux gosses, superbes voitures, et de super musique. Merci à Luc Besson et Philippe Lellouche pour le casting et cette idée géniale.

Du titre jusqu’au scénario, ça fleure bon la comédie romantique cul-cul la praline et effectivement à ce niveau-là, Un prince (presque) charmant tient toutes ses promesses. Le scénario signé Luc Besson nous confronte donc à un patron égoïste et hautain parti bien malgré lui dans un road-trip et qui va faire une rencontre providentielle en la personne de Vahina Giocante. Evidemment, l’amour ça change un homme et il ne faut pas être un grand devin pour connaitre la suite et ce n’est pas la réalisation standardisée de Philippe Lellouche qui provoquera en nous le coup de foudre. Enième film à l’eau de rose, il contentera ceux qui adorent le genre mais pour les autres on l’oubliera (à coup sur) vite !

très sympathique, un road movie frenchie, bon moment de détente. en tout cas belle pub pour les voitures électriques..

P. Lellouche le seul réalisateur dont les film peuvent être jugé pitoyable avant même leur sortie. Il faudrait créer un trophée juste pour lui ...

Comédie romantique à la française agréable à regarder. Parfait pour vous redonner le sourire. Évidemment on devine la fin dès le début du film, et alors ? On passe un excellent moment dans des paysages magnifiques du sud de la France. Les acteurs sont bons. Vincent Perez est à fond dans son personnage et il est très drôle. Bref, c'est ce qu'on appelle un "Feel good movie ". Ça change un peu de ces fameux films de bobos tournés dans un Paris gris et pluvieux, où l'histoire n'a ni queue ni tête.

On savait la France en pleine crise du scénario mais là on atteint des sommets. Et pourtant c'est du made in Luc Besson. L'histoire est prévisible du début à la fin avec deux archétypes bien gonflants: la jeune femme rêveuse (monde des Bisounours bonjour) qui n'attend que son prince charmant et le héros, "bad boy" de patron qui ne pense qu'à l'argent et devient le chevalier tant attendu. On est lancé dans un monde niais au possible sur fond de crise sociale et économique où les personnages ne sont que des stéréotypes. Si vous cherchez l'originalité, passez votre chemin. On vous aura prévenu.

Je m'attendais à beaucoup mieux en voyant la bande annonce mais je n'ai pas été trop déçu à part au niveau du scénario où rien ne parrait réaliste. Les personnages tombent amoureux trop vite ! Bref à part Vahina Giovante et son charme naturel j'ai un peu été déçu malgré quelques bons sentiments

C'est presque un film... Oui c'est un mini road trip avec un "prince" qui croise moult gens mais aussi sa princesse... Sympathique mais c'est un scénario qu'on aurait pu voir pour un téléfilm TF1 du lundi soir

Excellent film!! Un tres bon moment de cinéma.Tout est soigné:la réalisation est superbe,les paysages nous font redécouvrir la France.
Les acteurs sont tres bons,en particulier Vincent Perez toujours aussi professionnel.
Courez y !vous ne le regretterez pas dans cette période morose.
Enfin un fim français de qualité ! On pense a C Sautet...

On vois de beaux pays et on voyage, avec un beau jeu d'acteur histoire simple mais les gens s'aiment, on passe un bon moment et même avec le sourire a certains moments. je suis ressorti content avec le sourire c'est bon signe

Allons droit au but, "Un Prince presque charmant" est un film médiocre, l'un des pires films français qu'il m'ait jamais été donné de voir (la concurrence est pourtant rude). Luc Besson, qui signe ici un scénario plat et creux (sans blague), ne prends même plus la peine de dissimuler un tant soit peu son manque de scrupule. Il livre avec ce film un spot publicitaire d'une heure et demie, dont l'histoire est prétexte à satisfaire Renault (qui a sûrement dû investir beaucoup d'argent dans cette mascarade) : ce sont eux les vrais gagnants, puisqu'ils héritent ici d'une publicité à peine déguisée pour leur modèle électrique Zoé (présente dans au moins 50% des plans du film).
Philippe Lellouche se soumet à cette calamiteuse logique mercantile, entraînant dans sa chute Vincent Perez (qui n'a jamais été aussi piteux) et Vahina Giocante, qui se débattent avec les semblants de personnages (et les semblants de dialogues) qu'ils ont à incarner. Absolument aucune émotion (si ce n'est le rejet et le dégoût) ne se dégage de ce film vendu comme un film tendre, humble et simple (alors qu'il est en réalité insipide, bling-bling et d'un simplisme outrancier).
Lellouche donc, esclave de cette logique mercantile abjecte, renonce ici à toute créativité, signant un film laid, cliché, attendu et outrageusement vide. Rassurons-le, il ne tombera pas plus bas. Le cinéma français non plus, car il sera dur de détrôner "Un Prince presque charmant", qui occupe déjà avec quasi-certitude la place de film français le plus mauvais de l'année 2013. Bel exploit que celui de s'imposer ainsi dans la médiocrité, et ce, en seulement 9 jours ! Moralité : si l'argent achète tout, il n'achète certainement pas le talent. A fuir.

Source: Plog Magazine, les Critiques des Ours
http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2013/01/un-prince-presque-charmant.html

Un film où je ne me suis pas ennuyé avec l'actrice principale que je ne connaissais pas qui a été sublime dans le film . A voir

Un bon film sympa ! Par contre, je n'ai pas du tout aimé le concept de la grève, c'est ridicule !

On a beau dire et écrire que ce film – un conte sentimental joyeux plutôt qu'une comédie – est rafraîchissant en ces temps de morosité, qu'il véhicule de vraies valeurs, et qu'il contente les amateurs d'histoires d'amour sirupeuses à pousser de longs soupirs de pâmoison, tout cela ne tient pas longtemps la route si l'on s'efforce de parler en termes d'arguments critiques. Car enfin, si l'on prend le temps d'y réfléchir un tant soit peu, qu'y voit-on ? Certes un duo d'acteurs qui prennent leur rôle à coeur et qui a tendance à fonctionner dans sa naïveté ; mais on y voit aussi la pauvreté d'un scénario désespérant de prévisibilité, et qui, en outre, n'est pas exempt d'incohérences. Les personnages ultra stéréotypés voient se multiplier les péripéties à la vitesse du bolide, pour aboutir en moins d'une heure et demi à un happy-end mièvre et plat. A voir les dérapages contrôlés de la première star à quatre roues du film, on se dit que le Luc Besson (auteur du scénario) de 'Taxi' n'est pas loin – on se dit aussi, et surtout, que Besson confond parfois inspiration et réchauffé d'effets déjà servis maintes et maintes fois, quand il n'est pas réduit à se citer lui-même. Si ce conte se donne parfois des airs de road-movie, c'est pour ressembler bien davantage à un film publicitaire sur la voiture électrique, que l'on voit sillonner les routes de montagne en se demandant si tout cela n'est pas un peu vain. Les personnages secondaires sont nombreux, et sans épaisseur (hormis celui de Jacques Weber, dont le jeu est d'un tout autre niveau). A part pour faire de Vahina Giocante une énième incarnation de Blanche-Neige ("Un jour, mon Prince viendra"), on se demande ce qu'apporte ce film, tant il est alourdi de clichés et de lieux communs. Un film frais et optimiste, sans doute, mais, d'un point de vue cinématographique, extrêmement pauvre.

Voilà un joli road movie, énergique, drôle et plein de tendresse, mené par le toujours charismatique Vincent Perez et la lumineuse Vahina Giocante. Il n'est pas exempt de clichés, de facilités ni de mièvrerie, pourtant, ça marche, grâce aux acteurs complices, aux seconds rôles sympas,à l'humour pétillant, aux dialogues savoureux, à la musique et aux beaux paysages. A noter que certaines pistes scénaristiques n'ont pas été exploitées, dommage. Le film est optimiste et sympatique, c'est agréable même si le contenu est prévisible.

7/10