AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,8
873 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Night on Earth ?
5
10 critiques
4
18 critiques
3
14 critiques
2
7 critiques
1
1 critique
0
0 critique
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Excellent film de Jarmusch , j'ai pas vu le temps passer , les 5 courts métrages sont excellents ! Mention a l'episode New Yorkais qui m'a bien fait rire (les fan de Breaking Bad reconnaitront le personnage de Yo-Yo) , celui a Paris est également excellent. Bref tres bon film
FIlms à sketchs, de qualités très inégales. Je n'ai pas supporté le jeu de Ryder dans le premier, le choc des cultures à New-York est plutôt sympathique, Paris est filmé comme un cimetière (ce qui est peut-être la destinée d'une ville-musée, après tout...), Benigni que je ne supporte pas habituellement nous offre un spectacle absolument génial et j'ai appris qu'il n-y avait que quatre ou cinq habitants à Helsinki... Mais aussi qu'un chauffeur de taxi était fait pour se passer les nerfs... Effectivement, les transports publics ne sont pas assez chers pour pouvoir insulter les chauffeurs, il s'agit encore d'un énorme scandale social car seuls les riches peuvent se détendre à insulter leur chauffeur sans partager alors que les classes populaires et laborieuses se partagent le même chauffeur à 40, 50, 100... c'est dégueulasse!
C'est la première fois que j'avais vraiment envie de voir un film de Jarmusch et la première fois aussi que j'ai vraiment apprécié un de ses films.
Rien que le synopsis me donnait envie d'en savoir davantage.
Cinq histoires de taxis se déroulant simultanément dans cinq villes du monde. A Los Angeles, une directrice de casting propose un rôle à la jeune femme qui conduit le taxi. A New York, la complicité entre un chauffeur de taxi et son client. A Paris, la conversation entre un chauffeur noir et une passagère aveugle. A Rome, les confidences d'un conducteur bavard au prêtre qui se trouve dans son véhicule. A Helsinki, trois fêtards montent dans un taxi.
Cinq mini histoires, toute différentes, drôle, triste et émouvante.
Mise en scène très simple, ce n'est pas prétentieux.
Jarmusch montre des côtés inédit des villes qui sont visitées.
Cette fois-ci j'ai passé un bon moment.
Rien que le synopsis me donnait envie d'en savoir davantage.
Cinq histoires de taxis se déroulant simultanément dans cinq villes du monde. A Los Angeles, une directrice de casting propose un rôle à la jeune femme qui conduit le taxi. A New York, la complicité entre un chauffeur de taxi et son client. A Paris, la conversation entre un chauffeur noir et une passagère aveugle. A Rome, les confidences d'un conducteur bavard au prêtre qui se trouve dans son véhicule. A Helsinki, trois fêtards montent dans un taxi.
Cinq mini histoires, toute différentes, drôle, triste et émouvante.
Mise en scène très simple, ce n'est pas prétentieux.
Jarmusch montre des côtés inédit des villes qui sont visitées.
Cette fois-ci j'ai passé un bon moment.
Par où commencer ?
On peut déjà dire que Jarmusch est un "mec" fabuleux, partir à la conquête d'un style assez chiant il faut bien le dire, à un chef-d'oeuvre, ça me laisse sans voix.
La vie du quotidien, la vie de gens normaux, voilà ce qu'il attaque vraiment. Toujours avec son humour déjanté, il réussit à nous faire rire.
Au début, on a cette femme élégante (Victoria Snelling), avec son caractère bien à elle, et la jeune demoiselle qui conduit son taxi (Winona Ryder) et qui à l'air d'aimer son boulot malgré tout. Victoria Snelling joue la "riche blonde" à merveille, on aurait pu la détester, mais non ! Ne pas se fier aux apparences ! (regardez par vous même). Que dire de Ryder qui est au summum dans ce rôle.. on aurait dit une ado complètement à la rue, mais qui à la fin de l'épisode dit : "Ma voie est toute tracée". La patte Jarmusch était déjà bien ancrée dans la terre.
Côté français, Béatrice Dalle a été énorme, et encore le mot est faible. Mais cela ne me surprend pas, tant cette femme a démontré ces talents d'actrice depuis belle lurette.
Les cinq histoires sont fabuleuses de toute façon, aucune n'est en dessous de l'autre, et c'est ça qui rend ce film intéressant.
On peut déjà dire que Jarmusch est un "mec" fabuleux, partir à la conquête d'un style assez chiant il faut bien le dire, à un chef-d'oeuvre, ça me laisse sans voix.
La vie du quotidien, la vie de gens normaux, voilà ce qu'il attaque vraiment. Toujours avec son humour déjanté, il réussit à nous faire rire.
Au début, on a cette femme élégante (Victoria Snelling), avec son caractère bien à elle, et la jeune demoiselle qui conduit son taxi (Winona Ryder) et qui à l'air d'aimer son boulot malgré tout. Victoria Snelling joue la "riche blonde" à merveille, on aurait pu la détester, mais non ! Ne pas se fier aux apparences ! (regardez par vous même). Que dire de Ryder qui est au summum dans ce rôle.. on aurait dit une ado complètement à la rue, mais qui à la fin de l'épisode dit : "Ma voie est toute tracée". La patte Jarmusch était déjà bien ancrée dans la terre.
Côté français, Béatrice Dalle a été énorme, et encore le mot est faible. Mais cela ne me surprend pas, tant cette femme a démontré ces talents d'actrice depuis belle lurette.
Les cinq histoires sont fabuleuses de toute façon, aucune n'est en dessous de l'autre, et c'est ça qui rend ce film intéressant.
Un film à sketch drôle et corrosif dans les dialogues, une réussite de notre ami Jim Jarmusch avec ses acteurs fétiches.l'histoire se déroule en une seule nuit dans 5 villes différentes ,Los Angeles,New York,Paris,Rome et Helsinki avec la rencontre d'un chauffeur de taxi avec son ou ses clients.
Comme d'habitude chez Jarmusch la photo est toujours bien travaillée et le jeu de comédiens est excellent y compris celui de Béatrice Dalle en jeune aveugle,Isaach de Bankolé acteur fétiche de Jarmusch.Le sketch le plus hilarant c'est celui avec Roberto Begnni à Rome où celui ci confesse ses péchés à un prêtre dans son taxi,un pur moment de détente.
Comme d'habitude chez Jarmusch la photo est toujours bien travaillée et le jeu de comédiens est excellent y compris celui de Béatrice Dalle en jeune aveugle,Isaach de Bankolé acteur fétiche de Jarmusch.Le sketch le plus hilarant c'est celui avec Roberto Begnni à Rome où celui ci confesse ses péchés à un prêtre dans son taxi,un pur moment de détente.
deçu par le film, aucun scenar, juste 5 histoires plus que banal, ons fait chié
Pour ce film à sketchs, Jim Jarmusch a posé sa caméra à Los Angeles, New York, Paris, Rome et Helsinki. Poésie urbaine et nocturne, ponctuée par une chanson de Tom Waits. Des rencontres drôles ou pathétiques. Et comme toujours dans les films à sketchs, un niveau inégal : si l'épisode italien est très drôle, avec un Roberto Benigni bavard et pervers face à un curé moribond, l'épisode finlandais est plus lourd. Armin Mueller-Stahl en émigré allemand, ancien clown reconverti en chauffeur de taxi new-yorkais, est excellent, tandis que Winona Ryder est peu crédible en aspirante mécano. Quant au sketch parisien, il est assez malin, avec des dialogues piquants. Parmi les thèmes abordés dans ces petites tranches de vie : le rêve hollywoodien, l'émigration, le racisme, le sexe, la religion, la paternité...
Grâce au découpage par chapitres, le film bénéficie d'un meilleur rythme que les autres grandes réussites de Jim Jarmusch (Down By Law, Dead Man, ...). Les scénarios de ces cinq courts-métrages se montrent à la fois d'une banalité et d'une originalité déroutantes. Les situations vécues par les différents personnages ne tombent jamais dans l'exagération, mais ces courses en taxi ne sont pas anodines pour autant, originales et banales à la fois, surtout très touchantes. Les personnages sont attachants. On passe du rire aux larmes sans se forcer, emportés par l'écriture soignée des dialogues et la poésie des plans fixes dans les diverses villes dépeintes, chacune habitée par une atmosphère propre. Accessible et intelligent à la fois, sans prétention et rafraîchissant, un des mes favoris de Jim Jarmusch !
Cinq villes du monde, même jour, même moment, cinq histoires de taxi. Voilà le pitch de base de ce Jim Jarmusch.
Comme on pouvait le deviner, le film s'articule donc autour de cinq courts-métrages. Mais ici, pas d'histoires entremêlées, pas de film choral, non, juste cinq petits films sur des histoires de taxi, en une nuit.
Comme souvent dans ce genre de procédé, un défaut est assez évident, malgré la bonne qualité de l'ensemble, les cinq œuvres restent assez inégales. Winona Ryder et Gena Rowlands, à Los Angeles - quel plaisir de voir ces deux actrices - ont certes un scénario assez peu original, mais cette partie se suit avec plaisir. Par la suite, la seconde ville américaine enchante, avant de passer dans la capitale française, étrange mais quelque peu décevante. A Rome, Roberto Begnigni fait du Roberto Begnigni et Jim Jarmusch fait peut-être preuve, pour la première fois réellement, de trop de facilités. Enfin, à Helsinki, le film se clôt d'une jolie façon.
Finalement, se dégage de l’œuvre de Jim Jarmusch, une véritable atmosphère. En choisissant de ne jamais faire de son film cinq cartes postales, le réalisateur parvient à créer une ambiance très intéressante. On se mouve avec plaisir dans son film nocturne, on se plaît à suivre ces brèves histoires, ces personnages atypiques, à suivre pendant quelques minutes ces brèves histoires. Alors si le film ne dépasse jamais ce stade là, reconnaissons au moins au réalisateur que la chose n'était pas aisée et qu'il s'en sort avec les honneurs.
Comme on pouvait le deviner, le film s'articule donc autour de cinq courts-métrages. Mais ici, pas d'histoires entremêlées, pas de film choral, non, juste cinq petits films sur des histoires de taxi, en une nuit.
Comme souvent dans ce genre de procédé, un défaut est assez évident, malgré la bonne qualité de l'ensemble, les cinq œuvres restent assez inégales. Winona Ryder et Gena Rowlands, à Los Angeles - quel plaisir de voir ces deux actrices - ont certes un scénario assez peu original, mais cette partie se suit avec plaisir. Par la suite, la seconde ville américaine enchante, avant de passer dans la capitale française, étrange mais quelque peu décevante. A Rome, Roberto Begnigni fait du Roberto Begnigni et Jim Jarmusch fait peut-être preuve, pour la première fois réellement, de trop de facilités. Enfin, à Helsinki, le film se clôt d'une jolie façon.
Finalement, se dégage de l’œuvre de Jim Jarmusch, une véritable atmosphère. En choisissant de ne jamais faire de son film cinq cartes postales, le réalisateur parvient à créer une ambiance très intéressante. On se mouve avec plaisir dans son film nocturne, on se plaît à suivre ces brèves histoires, ces personnages atypiques, à suivre pendant quelques minutes ces brèves histoires. Alors si le film ne dépasse jamais ce stade là, reconnaissons au moins au réalisateur que la chose n'était pas aisée et qu'il s'en sort avec les honneurs.
Cinq histoires démarrent simultanément de nuit en cinq endroits de la planète d’Ouest en Est de Los Angeles à Helsinki en passant par New York, Paris et Rome.
L’outil thématique de ces cinq sites aux antipodes d’une luminosité touristique est identique. Un taxi au bord de l’effondrement transporte dans des lieux insolites une clientèle pour la plupart marginalisée.
Ces cinq parcours délivrent un message similaire. Une brève rencontre entre marginaux tisse quelques moments drôles et chaleureux. Tous ces personnages surgit de nulle part livrent le temps d’une course quelques parcelles de confessions atypiques avec comme toile de fond des rues tristes et enneigées.
De nuit visuellement la planète est à l’unisson, ceci dans quatre langages différents. La course vers le soleil levant ne délivre qu’une uniformité.
Etre pauvre à New York ou à Helsinki n’engendre que les mêmes états d’âmes.
La chaleur humaine est à l’intérieur des voitures, le rire est loin d’être rare, c’est un miracle tant l’aspect extérieur est à l’abandon. Une communication calquée à l’image de gens simples s’illumine grâce à la force de mots orduriers rapprochant bizarrement ces êtres pauvres mais sans contraintes.
On rentre dans son quartier insalubre ou l’on se fait déposer le long d’un canal. Tout est surprenant, inattendu. Les premiers contacts peu engageants se clôturent par un encouragement à entretenir sa marginalité.
Peu importe l’essentiel est de vivre à l’instar d’un système quelques contacts, de créer un fil conducteur conversationnel de base entre protagonistes de ces brefs moments passés en commun.
Chacun impose ses limites intellectuelles, apprend à se connaître en se quittant bons amis sauf dans certains cas ou malgré une conclusion dramatique l’humour l’emporte sur le tragique.
« Une nuit sur terre » est un ingénieux film concept sur cinq horloges terrestres n’activant qu’un seul message. La liberté d’être différent.
Une survie déconnectée d’un contexte diurne politiquement correct interdisant tout décalage.
L’outil thématique de ces cinq sites aux antipodes d’une luminosité touristique est identique. Un taxi au bord de l’effondrement transporte dans des lieux insolites une clientèle pour la plupart marginalisée.
Ces cinq parcours délivrent un message similaire. Une brève rencontre entre marginaux tisse quelques moments drôles et chaleureux. Tous ces personnages surgit de nulle part livrent le temps d’une course quelques parcelles de confessions atypiques avec comme toile de fond des rues tristes et enneigées.
De nuit visuellement la planète est à l’unisson, ceci dans quatre langages différents. La course vers le soleil levant ne délivre qu’une uniformité.
Etre pauvre à New York ou à Helsinki n’engendre que les mêmes états d’âmes.
La chaleur humaine est à l’intérieur des voitures, le rire est loin d’être rare, c’est un miracle tant l’aspect extérieur est à l’abandon. Une communication calquée à l’image de gens simples s’illumine grâce à la force de mots orduriers rapprochant bizarrement ces êtres pauvres mais sans contraintes.
On rentre dans son quartier insalubre ou l’on se fait déposer le long d’un canal. Tout est surprenant, inattendu. Les premiers contacts peu engageants se clôturent par un encouragement à entretenir sa marginalité.
Peu importe l’essentiel est de vivre à l’instar d’un système quelques contacts, de créer un fil conducteur conversationnel de base entre protagonistes de ces brefs moments passés en commun.
Chacun impose ses limites intellectuelles, apprend à se connaître en se quittant bons amis sauf dans certains cas ou malgré une conclusion dramatique l’humour l’emporte sur le tragique.
« Une nuit sur terre » est un ingénieux film concept sur cinq horloges terrestres n’activant qu’un seul message. La liberté d’être différent.
Une survie déconnectée d’un contexte diurne politiquement correct interdisant tout décalage.
Inégal. Eh oui! Cinq scénettes, cinq atmosphères, et je n'ai pas embarqué dans tous les taxis. J'aime beaucoup l'idée de départ, un taxi c'est tout de même un lieu particulier, à part, où le hasard peut côtoyer l'intimité Une nuit sur Terre, des inconnus réunis pour quelques minutes, des discussions insolites...
Les plans sur les horloges qui tournent, c'est déjà un voyage. La musique hypnotique aussi. On s'installe, on suit la route. Quelques clichés... Et de beaux moments, entres rires et émotion avec Yo-Yo et Helmut à New York, entre mélancolie et désinvolture avec Corky et Victoria à Los Angeles (Gena Rowlands et Winona Ryder sont toutes les deux captivantes) Une Béatrice Dalle plutôt inattendue, bousculant son taxi parisien...Et hélas pour moi, les deux dernières courses ont été plus désagréables, scène absurde et inutile à Rome (Et Begnini, lassant, ne m'a pas du tout fait rire), scène un peu terne et distante à Helsinki.... Bref un peu déçue sur la fin. Néanmoins, mon pourboire de deux étoiles va aux sourires teintés d'amertume des trois premières scènes et à l'ambiance nocturne urbaine bien restituée et troublante.
Les plans sur les horloges qui tournent, c'est déjà un voyage. La musique hypnotique aussi. On s'installe, on suit la route. Quelques clichés... Et de beaux moments, entres rires et émotion avec Yo-Yo et Helmut à New York, entre mélancolie et désinvolture avec Corky et Victoria à Los Angeles (Gena Rowlands et Winona Ryder sont toutes les deux captivantes) Une Béatrice Dalle plutôt inattendue, bousculant son taxi parisien...Et hélas pour moi, les deux dernières courses ont été plus désagréables, scène absurde et inutile à Rome (Et Begnini, lassant, ne m'a pas du tout fait rire), scène un peu terne et distante à Helsinki.... Bref un peu déçue sur la fin. Néanmoins, mon pourboire de deux étoiles va aux sourires teintés d'amertume des trois premières scènes et à l'ambiance nocturne urbaine bien restituée et troublante.
Pétillant, intelligent, souvent profond dans son analyse subtile de la condition humaine. Un peu décousu de par la structure de son scénario, mais le film contient quelques dialogues d'anthologie et des moments hilarants.
On peut le prendre comme une unité ou comme cinq courts métrages que l'on aurait regroupé, Night on Earth est un film assez intéressant.
Deuxième film de Jarmusch que je visionne, et je peux déjà dire que j'apprécie énormément son style, la simplicité de sa mise en scène et sa manière de ne pas se prendre la tête avec des histoires compliquées : les cinq intrigues, simples à première vue mais très bien scénarisées, se déroulent dans des taxis aux quatre coins du monde et nous montrent des personnages attachants et réalistes dans des situations différentes, toutes amorcées par : "Je peux vous poser une question ?" . Jarmusch nous évite le diaporama soporifique de chaque ville en nous montrant les parties les plus sombres au lieu des plus connues. Un excellent recueil de courts dont le style et le ton nous séduit.
Une Nuit qui tombe sur la Terre, 5 villes : L.A ; NY ; Paris ; Rome et Helsinki, 5 chauffeurs de taxi et 5 clients, 10 individualités pour 5 histoires différentes. Jim Jarmusch offre une description tantôt loufoque tantôt touchante de la vie sur Terre. En toute simplicité, très loin des clichés touristiques et sans chercher à tomber dans une exubérance aveugle. Les protagonistes ont tous quelques choses à raconter, un savoir à partager. Le choix des acteurs est pleinement judicieux : Winona Ryder ; Isaac de Bankolé ; Giancarlo Esposito ; Béatrice Dalle et un Roberto Benigni toujours autant haut en couleur. Une vraie petite merveille, à savourer sans modération aucune !
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse