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Aspro
14 abonnés
357 critiques
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2,0
Publiée le 14 septembre 2013
Encore une comédie classique de genre remariage, avec la valeur ajoutée qu'une grande partie de l'histoire se déroule à bord d'un vol New York Paris. (Et, bien sûr, en première classe. "Qui veut être coincé avec deux perdants ?"
Bien que la construction est assez solide, si elle n'est pas toujours inspiré, le problème réside plus avec les deux personnages principaux, aucun d'eux sont particulièrement intéressants ou affable. Antoine est fondamentalement narcissique , dont l'attribut positif ne semble être que sa garde-robe . Julie, quant à elle, est une artiste en herbe dont le travail, composé de sculptures de techniques mixtes qui sont aussi kitsch que merdiques, laisse peu d'espoir pour percer dans ce domaine, même si nous sommes censés croire en elle .
Passer plus de 90 minutes avec les deux est donc un peu une corvée .2/5
Une comédie romantique comme on n'en fait rarement en France... Enfin un film français qui nous fait rêver, drôle, avec de l'émotion juste ce qu'il faut, des acteurs naturels et plein de charme (même les seconds rôles sont parfaits), une mise en scène inventive qui nous fait revivre l'histoire touchante de Julie et Antoine. J'aime vraiment ce film !!!
Une comédie romantique qui déroule bien. Une narration intimiste dans le huis clos d'un avion, des flashbacks avec du peps qui nous font oublier un présent un peu frustrant ou les 2 amoureux vivent leur malentendus et n'arrivent pas à s'écouter. Bonne fraîcheur et bon rythme dans l'ensemble. Mention spéciale à Jonathan Cohen pour avoir su jouer à la perfection, la caricature et l'auto-dérision du pote sympa satellite du beau gosse qu'est Nicolas Bedos. Nicolas Bedos joue bien un personnage qui semble être proche de ce qu'il est lui-même. C'est à dire un beau parleur, cassant et attachant, succesful et manioc-dépressif, un grand sentimental torturé en somme. On se demande d'ailleurs ce que le personnage fait pour gagner sa vie dans ce film (ça manque de ne pas savoir puisque on sait en revanche ce que fait Ludivine Sagnier : des sculptures dont on doute du talent sauf à la petite expo de New York ou la vérité sort enfin). Quant à elle Ludivine Sagnier, elle reste pour moi, une actrice qui manque de caractère dans le jeu. Celle qu'elle incarne ici, elle n'en fait ni une femme fatale, ni une femme de romance, mais tout au plus une jeune femme restait femme-enfant et on se demande ce qui correspond tant chez elle à ce qu'il manquait dans la vie du personnage de Nicolas Bedos. Ludivine Sagnier me fait penser dans un autre registre à Benoît Magimel, un autre acteur français de la même génération et qui n'a jamais vraiment réussi à se lâcher et à incarner les personnages qu'il à joué. Toutefois, l'un comme l'autre sont jeunes et on le sent sont humbles et profonds. Avec un peu de patience je leur souhaite une fin de carrière totalement incarnée par leurs jeux de scènes. En attendant, regardez Amours & Turbulences.
Comédie romantique classique et légère. On passe un agréable moment en compagnie de Nicolas Bedos et de Ludivine Sagnier. Quelques idées visuellement intéressantes lors des flashbacks. Les seconds rôles sont vraiment sympas dans cette histoire somme toute assez prévisible.
Amour et Turbulences est un de ces films qui rappelle l'adage -sans doute faux- que le destin fait bien les choses. Malgré tout, on y retrouve une histoire plus ou moins convenue, mais qui se laisse raconter. Les interprètes des personnages sont des clichés, entre Nicolas Bedos le dragueur de service ou Ludivine Seignier la joueuse qui tombe amoureuse. Certains personnages donneront au spectateur l'occasion de rire comme le Majordome -stewart pardon..- George ou le meilleur ami dont j'ai déjà oublié le prénom. Bref, en bonne comédie romantique, il ne faut pas s'attendre à retrouver l'originalité d'un 500 jours ensemble. Néanmoins, le film est agréable par ses deux interprètes charmants et l'idée de l'avion, qui est assez globalement bien trouvé.
Rien de bien révolutionnaire dans cette comédie romantique, mais bon, les codes hyper balisés de ce genre de film ne permettent jamais trop de s'éloigner des sentiers très prévisibles :" ils s'aiment sans se l'avouer, jamais ils ne seront ensemble alors que l'on sait tous que ce n'est pas vrai, quand ils vont se l'avouer, cela paraît toujours trop tard, mais non, tout se termine toujours bien".... Pour le plus grand plaisir du spectateur. Pas franchement fan de ce genre de film typiquement américain, la présence de Bedos, de son charme et de ses dialogues, l'électrisante Ludivine Sagnier, la mise en scène adroite et le parti-pris de l'avion et du flash-back, fait de AMOURS ET TURBULENCES un film qui se laisse pourtant voir sans déplaisir, et déclenche quelques jolis sourires faute de rires francs et massifs.
Pas un chef d'oeuvre mais réalisation distrayante. Bluette bien interprétée. On devine bien sûr la fin dès le départ (même avant d'avoir vu le film !!!) mais on passe un agréable moment.
Une comédie romantique assez pauvre dans la mise en scène, mais qui se laisse largement regarder grâce à des intrigues classiques mais très efficaces et performantes. Le jeu d'acteur pour Nicolas Bedos est à revoir. Le film reste assez franchouillard avec une panoplie de clichés parisiens. Une chose est sûre, le film a plutôt bien séduit grâce à une fraîcheur que l'on redemande.
Je m'attendais à un film très moyen mais en se basant sur le flashback, Alexandre Castagnetti réalise une comédie romantique efficace. On sait évidemment comment cela va se terminer mais on apprécie la succession de récits des 2 personnages. Ils confrontent leurs ressentis sur les événements importants de leur relation.
Le générique démarre bien, dialogues de M. Bedos, génial me dis-je... Mais Bedos dans ce film est à côté de la plaque, j'ai plutôt assisté aux turbulences d'un bon narrateur télévisuel, mais uniquement dans la petite lucarne... Le reste manque franchement de peps, on s'ennuie, on sait exactement où ça va nous mener et j’espérais quand même beaucoup mieux de ce film, au moins au niveau des dialogues. Même pas