Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Le film est presque déceptif tant le récit ne révèle au fond, à l’issue de son enquête, rien qu’on ne soupçonnait déjà. Mais paradoxalement c’est aussi ce qui fait la beauté de "White Bird", qui regarde des personnages se débattre avec une vérité qui est pourtant là, sous leurs yeux.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Araki retrouve la sobriété acide de "Mysterious Skin", tout en élargissant une palette d’empathie lui permettant enfin de dompter les mouvements sentimentaux de tous ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un vrai/faux mélo à la Douglas Sirk.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Gregg Araki retrouve la mélancolie feutrée de "Mysterious Skin" pour explorer un autre trauma, moins percutant, mais tout aussi beau et envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Sandra Benedetti
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Sous l’apparence d’une chronique sociale et familiale, un film moins lisse qu’il y paraît et qui cache quelques replis plus retors.
Les Fiches du Cinéma
par Ghislaine Tabareau
“White Bird” offre une peinture impitoyable de la cellule familiale américaine dans les années 1980. Araki excelle dans le dévoilement du grotesque de la vie.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
White Bird s’inscrit dans la veine arakienne moins tonitruante de "Mysterious Skin" et se présente comme son (deuxième) meilleur film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Marilyne Letertre
Moins lissé, plus poétique, plus intrigant, ce rôle d'ado battante (...) permet à la comédienne (Shailene Woodley) de dévoiler une autre facette de son talent et de renouer avec le cinéma d'auteur.
Paris Match
par Yannick Vely
La justesse des situations et des dialogues fait mouche alors que l’ensemble baigne dans l’atmosphère très particulière du conte psychologique, où tout parait à la fois irréel et très réaliste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Agnelli
Si l'on retrouve ici les archétypes du teen movie qu'Araki adore (...). On est surtout bluffé par son portrait pathétique et touchant d'une desperate housewife tirée à quatre épingles, qui offre à Eva Green son meilleur rôle.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
"White Bird" (...) propose un mélange très séduisant de teen movie et de thriller (...).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Si le dernier twist, pied de nez spectaculaire, réduit paradoxalement le spectre idéologique du film, il ne gâche en rien l'élégance formelle ni la touffeur érotique dans lesquelles il se love avec malice.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une oeuvre belle et tortueuse, qui n’est pas sans rappeler "Mysterious Skin" dans son intensité dramatique et son irrésistible décalage ouaté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ferhat Abbas
C’est cette même schizophrénie qui offre au cinéaste l’occasion de poursuivre une exploration adolescente, certainement moins déjantée que dans ses précédentes œuvres, mais parcourue par la même désillusion ; celle du délicat passage à l’âge adulte (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Noir, c’est noir. Mais d'un point de vue cinématographique, réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Gregg Araki reste fidèle à son sujet de prédilection, les jeunes, en détaillant avec sensibilité et de manière très réaliste l'émancipation (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Sandrine Marques
Certes "White Bird" n'a pas la puissance nihiliste des premiers films du réalisateur (...) mais l'apocalyspe est bien là, intime.
Libération
par Clément Ghys
"White Bird" produit l’impression, pas forcément désagréable d’ailleurs, d’être face à un cinéaste qui traite un sujet dont il connaît tous les recoins, mais au sujet duquel nos préjugés sont trop forts.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Olivier de Bruyn
Sans égaler la puissance des fictions de son contemporain Todd Solondz, "White Bird" s'impose comme le film le plus abouti et intéressant de son auteur.
Transfuge
par Damien Aubel
"White Bird" met en scène cette langue vernaculaire, cet idiome vulgaire, à tous les sens du terme, que parlent souvent nos désirs. Ce "White Bird" n'est pas immaculé.
Télérama
par Louis Guichard
White Bird séduit au-delà de cette part de déception, grâce à deux héroïnes captivantes et aux actrices complémentaires qui les jouent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
"White Bird" est une romance teen au bord de l'éveil sexuel, qui ne s'épargne jamais un petit détour vers l'absurde.
Gala
par Camille Choteau
Références assumées (Hitchcock, Lynch), mise en scène étouffante, "White bird" a été reçu avec enthousiasme au Festival de Deauville.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au mieux, cela ressemble à un épisode de "Desperate Housewives" en plus onirique. Au pire, c’est un simple exercice de style, où le maestro de la décadence urbaine qu’est Araki se prend au jeu, sans rien faire pour déborder son petit programme kitsch et manucuré, alors que jusque-là c’était grâce au dérapage et à l’outrance qu’il se distinguait du tout-venant. Pas ici.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Cahiers du Cinéma
Le film est presque déceptif tant le récit ne révèle au fond, à l’issue de son enquête, rien qu’on ne soupçonnait déjà. Mais paradoxalement c’est aussi ce qui fait la beauté de "White Bird", qui regarde des personnages se débattre avec une vérité qui est pourtant là, sous leurs yeux.
Chronic'art.com
Araki retrouve la sobriété acide de "Mysterious Skin", tout en élargissant une palette d’empathie lui permettant enfin de dompter les mouvements sentimentaux de tous ses personnages.
CinemaTeaser
Un vrai/faux mélo à la Douglas Sirk.
Ecran Large
Gregg Araki retrouve la mélancolie feutrée de "Mysterious Skin" pour explorer un autre trauma, moins percutant, mais tout aussi beau et envoûtant.
L'Express
Voir le site de l'Express.
Le Dauphiné Libéré
Sous l’apparence d’une chronique sociale et familiale, un film moins lisse qu’il y paraît et qui cache quelques replis plus retors.
Les Fiches du Cinéma
“White Bird” offre une peinture impitoyable de la cellule familiale américaine dans les années 1980. Araki excelle dans le dévoilement du grotesque de la vie.
Les Inrockuptibles
White Bird s’inscrit dans la veine arakienne moins tonitruante de "Mysterious Skin" et se présente comme son (deuxième) meilleur film.
Metro
Moins lissé, plus poétique, plus intrigant, ce rôle d'ado battante (...) permet à la comédienne (Shailene Woodley) de dévoiler une autre facette de son talent et de renouer avec le cinéma d'auteur.
Paris Match
La justesse des situations et des dialogues fait mouche alors que l’ensemble baigne dans l’atmosphère très particulière du conte psychologique, où tout parait à la fois irréel et très réaliste.
Première
Si l'on retrouve ici les archétypes du teen movie qu'Araki adore (...). On est surtout bluffé par son portrait pathétique et touchant d'une desperate housewife tirée à quatre épingles, qui offre à Eva Green son meilleur rôle.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
"White Bird" (...) propose un mélange très séduisant de teen movie et de thriller (...).
TéléCinéObs
Si le dernier twist, pied de nez spectaculaire, réduit paradoxalement le spectre idéologique du film, il ne gâche en rien l'élégance formelle ni la touffeur érotique dans lesquelles il se love avec malice.
aVoir-aLire.com
Une oeuvre belle et tortueuse, qui n’est pas sans rappeler "Mysterious Skin" dans son intensité dramatique et son irrésistible décalage ouaté.
Critikat.com
C’est cette même schizophrénie qui offre au cinéaste l’occasion de poursuivre une exploration adolescente, certainement moins déjantée que dans ses précédentes œuvres, mais parcourue par la même désillusion ; celle du délicat passage à l’âge adulte (...).
Franceinfo Culture
Noir, c’est noir. Mais d'un point de vue cinématographique, réjouissant.
Le Journal du Dimanche
Gregg Araki reste fidèle à son sujet de prédilection, les jeunes, en détaillant avec sensibilité et de manière très réaliste l'émancipation (...)
Le Monde
Certes "White Bird" n'a pas la puissance nihiliste des premiers films du réalisateur (...) mais l'apocalyspe est bien là, intime.
Libération
"White Bird" produit l’impression, pas forcément désagréable d’ailleurs, d’être face à un cinéaste qui traite un sujet dont il connaît tous les recoins, mais au sujet duquel nos préjugés sont trop forts.
Positif
Sans égaler la puissance des fictions de son contemporain Todd Solondz, "White Bird" s'impose comme le film le plus abouti et intéressant de son auteur.
Transfuge
"White Bird" met en scène cette langue vernaculaire, cet idiome vulgaire, à tous les sens du terme, que parlent souvent nos désirs. Ce "White Bird" n'est pas immaculé.
Télérama
White Bird séduit au-delà de cette part de déception, grâce à deux héroïnes captivantes et aux actrices complémentaires qui les jouent.
Voici
"White Bird" est une romance teen au bord de l'éveil sexuel, qui ne s'épargne jamais un petit détour vers l'absurde.
Gala
Références assumées (Hitchcock, Lynch), mise en scène étouffante, "White bird" a été reçu avec enthousiasme au Festival de Deauville.
L'Humanité
Au mieux, cela ressemble à un épisode de "Desperate Housewives" en plus onirique. Au pire, c’est un simple exercice de style, où le maestro de la décadence urbaine qu’est Araki se prend au jeu, sans rien faire pour déborder son petit programme kitsch et manucuré, alors que jusque-là c’était grâce au dérapage et à l’outrance qu’il se distinguait du tout-venant. Pas ici.