quel déception !! après l'exellent Resident Evil : Degeneration, ont s'attedait a une suite de qualité mais non, le film devient une vague histoire de terrorisme dans un pays étranger en conflit avec les riches qui n'as absollument plus rien a voir avec umbrella corporation, d'étranges créatures qui n'ont rien a voir avec des zombies meme si dans le premier film une étrange créature fesait office de boss au moins ont peux l'accepter parce que c'est un boss là NON les créatures étranges SONT les ennemi de base du film, il n'y a aucun zombie et ces étranges créatures donnent l'impression de sortir tout droit du film alien, ada débarque pour essayer de corompre la présidente parce que PFFFT ?? scénario.....s'en suit une fusillade entre agent PARCE QUE PFFTT ??? scénario, la présidente qui est une combatante cultivatrice de monstre WTF ?? COMPLETEMENT DEBILE, action action pan pan pouette sans aucun sens, le scénario n'as rien de crédible. nulité absolue.
C'est sur un scénario totalement absent que ce 2ème volet s'est dérouler, un second volet n'ayant aucun rapport avec "Dégénération" bien dommage mais lorsque l'on voit les personnages principaux et secondaires on ne peut que s'assurer du non rapport. Si l'histoire est inexistante, le jeu d'acteur en motion-capture est absolument délirent par son réalisme, sa fluidité de mouvement et son réalisme visuel, l'écart d'âge entre les 2 films se voit parfaitement. Puis le visuel 3D totalement parfaite, sa photo virtuelle et l'ensemble colorer font de se film une réussite visuellement parfaite. Niveau action tout est d'une immense perfection avec des combats corps à corps dynamique et fluide et des combats entre humains et infecter totalement démesurer. Niveau son, aucun problème tant on n'est plonger dans cette guerre civile et politique de très près. La saga animée se poursuit avec son défaut principal, des personnages clairement plus adulte dans leur mise en scène et il y aurait clairement put y avoir de l'érotisme tant tout était présent par moment. Maintenant, direction le 3.
Après Degeneration qui était pas mal mais perfectible , voici donc Damnation : je le trouve supérieur d'abord techniquement , l'animation est de bonne facture et les personnages sont bien faits. Léon retrouve un visage fidèle aux jeux vidéos , en revanche je n'aime pas celui de Ada. L'histoire n'est pas exceptionnelle mais tient la route, en gros il y a des méchants , du complot et des monstres ; le tout orienté action , dommage mais il faut reconnaître que jamais on ne frissonne. En tant que fin connaisseur de la franchise c'est toujours un plaisir de revoir Léon et Ada et en tant qu'armes biologiques les lickers et des tyrans assez impressionnants. La scène de bataille de fin est d'ailleurs prenante , intense et visuellement propre. Bref c'est un bon animé , étoffant une fois de plus le lore de la saga et techniquement irréprochable.
Un film avec de belles animations mais il manque cruellement le côté épouvante qu'on retrouve dans les premiers jeux vidéos. Les scènes sont trop tout publics et c'est dommage
UN NAVET, je comprends pas les notes du film, le film est une daube, ça doit être la fanbase de Leon sans doute. Mais clairement le scénario est bidon, incohérent avec l'univers des jeux, un remixage à la Hollywood franchement je comprends pas que le scénario ai été validé
Gosse j'avais mis le pied dans la saga des Résident Evil dans la peau de Léon. Resident Evil 2 fut pour moi une expérience inoubliable mêlant angoisse, horreur et action. Curieux de voir ce qu'allait donner ce film en image de synthèses mon enthousiasme est cependant vite retombé à plat. Aussi plat que le scénario, les dialogues et les émotions ressenties. Si vous êtes un fan inconditionnel de la saga pourquoi pas mais sinon autant passer votre chemin
Chez Capcom, quand on tient une bonne licence, il faut l’exploiter à fond et ce ne sont pas les fans de Street Fighter qui diront le contraire ! L’histoire de Resident Evil : Damnation nous conduit hors de Racoon City, ce qui est plutôt appréciable tout comme ces images de synthèse de meilleure qualité (on est 4 ans après Resident Evil : Degeneration). Du côté du casting, on retrouve Leon S. Kennedy qui va avoir l’occasion de croiser une vieille connaissance en la personne d’Ada Wong. Si l’intrigue est loin de se montrer palpitante, le film se montre plutôt généreux en matière d’action avec les apparitions des Lickers et du Tyrant. Il y a du mieux dans cette saga mais ça reste toujours de l’ordre de l’anecdotique sauf si vous êtes vraiment en manque.
« Damnation » vient admirablement enrichir la franchise « Resident evil », qui poursuit son petit bonhomme de chemin sous la forme d'un nouveau film d'animation hyper vitaminé. Tout y est d'ailleurs très soigné pour plaire aux aficionados du genre, qui vont vraiment adorer ce nouvel opus... Les graphismes sont toujours de grande qualité et alliés à une bande originale tonitruante et très intrusive (mais on s'y fait à la longue). Côté histoire, pas grand chose à signaler, c'est le minimum légal mais l'action est omniprésente et il est impossible de s'ennuyer une seule seconde devant cette avalanche de morts violentes en tout genre... Explosions monumentales, fusillades incessantes, monstres dégénérés, la recette a depuis longtemps fait ses preuves... Le résultat à l'écran se révèle parfaitement décérébré mais tellement assumé que j'en souris encore en écrivant ces quelques lignes. Du grand art, tout simplement... j'ai 15 ans et j'adore ça !
Voici donc la suite directe à Degeneration. Une suite toute aussi explosive et basée sur un plan graphique plus soigné. C’est le level supérieur en matière de fluidité. Léon, encore et toujours au cœur des hostilités, se bat contre des titans dans ville désertée d’Europe de l’Est. Autant dire qu’un obus de char d’assaut contre une tête, même de mutant, ça ne fait pas bon ménage. Plus d’humour également, donnant une profondeur supplémentaire à ce personnage emblématique. Les chiens de l’enfer font également leur apparition pour des combats féroces. Ce sont toutes ces petites intentions qui font de cette adaptation un bon film. Les fans apprécieront d’autant plus cette authenticité scénaristique digne de la saga sur console, et cette apothéose d’action badasse basée sur la puissance et l’hémoglobine. Comment s’en lasser ?! Remercions donc Makoto Kamiya pour avoir redorer le blason de cette exceptionnelle franchise. 4/5
Plus de trois ans après un premier long métrage en image de synthèse très réussi, Capcom renchérit avec Resident Evil Damnation, qui se déroule entre les épisodes 5 et 6 du côté de Léon, le manga Marhawa Desire racontant les mésaventures de Chris dans une étrange école élitiste. Après un prélude racontant l’essor puis la chute de l’URSS à la fin du XXème siècle, le scénario se passe dans une République Slave de l’Europe de l’Est, le pays étant en pleine guerre civile et dirigée par la charismatique Svetlana Belikova, une mystérieuse femme sûre d’elle avec une coupe au carré bien dressée. Rappelé par Hunnigan qui lui dit que la mission est annulée, Léon sait qu’il ne doit pas se laisser marcher sur les pieds et va enquêter seul sur la présence d’armes bio-organiques. La présence d’Ada renforce considérablement la qualité du film, toujours fourbe et assurant le spectacle face à Svetlana mais aussi à Léon dans une nouvelle scène de retrouvailles en pleine action. Les personnages secondaires sont plutôt réussis et l’humour vient parfois détendre l’atmosphère très survival de cette nouvelle histoire, notamment avec le jeune slave qui brasse d’innombrables clichés admirateurs sur les Américains alors qu’il se méfie pourtant d’eux.
Les panoramas sont magnifiques et superbement bien mis en avant par des caméras efficaces, et ce avec des clins d’œil aux jeux vidéo car on a parfois du précalculé ou une vue à la première personne avec un éclairage à la torche, sans compter des lieux habituels de la série comme une église, les rues d’une ville et des couloirs en sous-sol. Les scènes d’action sont impressionnantes (même si Léon fait parfois trop surhomme comme quand il tient tête à un licker deuxième génération à mains nues) entre Svetlana qui sait se battre aussi bien d’Ada, et Buddy qui s’injecte le nouveau virus proche des plagas pour être capable de spoiler: contrôler des lickers dans l’affrontement face au T-00 devenu T-103, colosse emblématique qu'on n'avait pas revu depuis Resident Evil 2 et Surviror . Le bestiaire se complète par des zombies qui placent une sorte de plante dans la bouche de leurs victimes pour qu'elles deviennent comme eux, donnant lieu à des transformations bien gores. Svetlana prend potentiellement de l’importance dans le scénario de la série et reste d’autant plus mystérieuse avec spoiler: les traces qu’on peut apercevoir sur son dos alors qu’elle se dénude partiellement dans ses appartements. Un très bon film dans la droite lignée de Degeneration tout en se distinguant de ce dernier !
Vu que je viens de finir RE7, en bon masochiste j'ai voulu voir le film qui à ma connaissance introduisait le sixième jeu... sauf qu'il n'introduit rien et que j'ai perdu 1h30 de ma vie...
Je ne comprends même pas qui peut bien aimer ça, à qui ça s'adresse... Je sais bien que Capcom cherche ce qu'il va pouvoir faire de sa franchise, mais là quand même... c'est un peu abusé tant ça ne sert à rien (pas que je sois particulièrement amateur des films pour introduire des jeux et pour faire payer deux vois le consommateur), ça ne raconte rien de vraiment intéressant et qui est mis en scène de manière à ce que l'on s'y intéresse... les personnages sont ridicules... Léon qui se prend pour un mec trop badass qui envoie des punchline à gogo, parfois repompées dans d'autres films, ça fait juste pitié...
Dès qu'il y a un peu d'action c'est pompé sur la mise en scène de Paul W.S. Anderson, c'est à dire avec du ralenti dégueulasse à foison... avec des petits accélérés de temps en temps pour montrer que c'est rapide, puissant et trop cool ce qu'on regarde...
C'est tellement cool que ça n'a aucun sens, que ça devient juste totalement pénible... et je me demande même si ce n'est pas pire que le premier film d'animation...
Au moins les films d'Anderson sont rigolos, là c'est juste premier degré et incroyablement chiant... c'est pas assez con pour qu'on en rigole et en même temps ça se prend la tête en traitant sérieusement des situations tellement clichées et ridicules que ça fait mal de voir ça...
Je ne capte pas du tout l'intérêt du truc...
Mais j'espère que le prochain qui va sortir, Vendetta, va au moins suivre un peu la voie du dernier jeu, à savoir se calmer un peu sur l'action débile et essayer d'instaurer une ambiance... enfin quelque chose quoi...
d'ailleurs graphiquement je trouve ça d'une laideur tellement c'est passe-partout et sans originalité aucune, ça fait vraiment cinématique... c'est pas inspiré...)
Meilleur que le 1er que j'avais trouvé bien, sans plus, Resident Evil : Damnation passe la barre largement plus haut ! Ce film en CGI (Image de Synthèse) se situe entre Resident Evil 5 et Resident Evil 6 et on suit Leon.S.Kennedy (héros du 2 et du 4). Alors, p'tit résumé comme d'hab : une animation excellente (là il y a pas de limitations techniques, enfin, je crois), un super doublage, des personnages charismatiques (j'adore JayDee, le comique du film), une super mise en scène (le point fort du film, selon moi), un bestiaire "fan-service" (les monstres que préfèrent les fans), un scénario intéressant et un final spectaculaire et excellent (tout comme le film) !
Flippant, jouissif, gore et explosif, Resident Evil : Damnation surpasse le 1er en tout points ! 4,5/5
Ce film est beaucoup mieux que le premier, il y a plus d'action j'ai trouver que le scénario est plus intéressant. Après si on le compare pas au premier c'est un bon film d'action qui fait sursauter et qui surtout est magnifique au niveau des images de synthèse.