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    Resident Evil: Damnation
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    72 critiques spectateurs

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    508 abonnés 3 505 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 octobre 2013
    Comme l'épisode précédent, ce film d'animation tient plus des nanars de Paul S. W. Anderson que du grand film d'horreur. L'ensemble est bien trop axé sur l'action et trop peu sur ses personnages. La saga continue sa dérive vers le grand n'importe quoi.
    Objectivons
    Objectivons

    322 abonnés 2 947 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 septembre 2012
    L'idée de projeter les zombies, les horribles créatures et le(s) Némésis de manière contrôlée hors du territoire américain change un peu.
    Au final, il n'est pas exceptionnel, mais reste un assez bon film d'animation d'action.
    Ciné2909
    Ciné2909

    72 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2021
    Chez Capcom, quand on tient une bonne licence, il faut l’exploiter à fond et ce ne sont pas les fans de Street Fighter qui diront le contraire ! L’histoire de Resident Evil : Damnation nous conduit hors de Racoon City, ce qui est plutôt appréciable tout comme ces images de synthèse de meilleure qualité (on est 4 ans après Resident Evil : Degeneration). Du côté du casting, on retrouve Leon S. Kennedy qui va avoir l’occasion de croiser une vieille connaissance en la personne d’Ada Wong. Si l’intrigue est loin de se montrer palpitante, le film se montre plutôt généreux en matière d’action avec les apparitions des Lickers et du Tyrant. Il y a du mieux dans cette saga mais ça reste toujours de l’ordre de l’anecdotique sauf si vous êtes vraiment en manque.
    Marlon M.
    Marlon M.

    46 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mai 2021
    Un film avec de belles animations mais il manque cruellement le côté épouvante qu'on retrouve dans les premiers jeux vidéos. Les scènes sont trop tout publics et c'est dommage
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    998 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2013
    Quatre ans après le premier film d'animation créé par Capcom, le mitigé Resident Evil : Degeneration, la firme japonaise nous livre un second opus servant en quelque sorte de prequel au jeu "Resident Evil 6". À l'instar du premier film et du futur jeu, nous retrouvons ce cher Leon Kennedy qui se retrouve propulsé en Europe de l'Est pour retrouver des Armes Bio-Organiques. À peine arrivé sur place, on lui ordonne de revenir aux États-Unis, chose que notre musclé ne va bien entendu pas faire, quitte à se faire capturer par des rebelles locaux et découvrir une immense machination où se mêlent politiciens véreux et créatures d'Umbrella... Alors que le premier volet s'avérait bigrement inégal, ce nouvel opus rehausse le niveau en proposant une qualité d'ensemble alors inédite. Car si le scénario n'est pas vraiment original en soi, les graphismes sont nettement plus travaillés au même titre que les séquences d'action désormais époustouflantes et l'arrivée dans le film de nouveaux monstres certes pas vraiment exclusifs lorsqu'on a joué aux jeux vidéos mais ici inédits. Comme dit précédemment, les scènes d'action sont magnifiques, les passages en slow-motion ainsi que les effets 3D jaillissants étant légion dans ce nouveau film également plus gore. Encore imparfait, ce deuxième long-métrage met un certain temps à clairement démarrer malgré des séquences explosives, les scènes de blas-blas peuplant malheureusement le début du film. Et si l'on a encore cette désagréable impression de visionner une immense cinématique, délaissant encore et toujours les frissons pour un surplus d'action, Resident Evil : Damnation a le mérite de le faire bien et d'en mettre sincèrement plein la vue à son spectateur, que ce dernier soit néophyte ou pas à la saga. Encore une fois du même gabarit que l'interminable saga de Paul W.S. Anderson, ce second volet reste au final une agréable petite surprise que tout bon fan du jeu vidéo se doit naturellement de contempler.
    Félix F
    Félix F

    253 abonnés 2 423 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 octobre 2012
    Pas très captivant. L'image est sale et l'histoire assez spécial à mon gout. Autant j'avais aimé Dégénération autant Damnation ne m'a pas captivé plus que cela.
    videoman29
    videoman29

    251 abonnés 1 835 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2018
    « Damnation » vient admirablement enrichir la franchise « Resident evil », qui poursuit son petit bonhomme de chemin sous la forme d'un nouveau film d'animation hyper vitaminé. Tout y est d'ailleurs très soigné pour plaire aux aficionados du genre, qui vont vraiment adorer ce nouvel opus... Les graphismes sont toujours de grande qualité et alliés à une bande originale tonitruante et très intrusive (mais on s'y fait à la longue). Côté histoire, pas grand chose à signaler, c'est le minimum légal mais l'action est omniprésente et il est impossible de s'ennuyer une seule seconde devant cette avalanche de morts violentes en tout genre... Explosions monumentales, fusillades incessantes, monstres dégénérés, la recette a depuis longtemps fait ses preuves... Le résultat à l'écran se révèle parfaitement décérébré mais tellement assumé que j'en souris encore en écrivant ces quelques lignes. Du grand art, tout simplement... j'ai 15 ans et j'adore ça !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 mai 2013
    Attention aux zombies !

    Second film de Makoto Kamiya en image de synthèse, toujours pour contrer la franchise cinématographique qui massacre à chaque opus l'univers du film mais aussi afin de promouvoir la sortie prochaine du sixième jeu de la saga.
    Suite directe là où Resident Evil Degenration nous a laissé, cette séquelle prend racine dans une Europe de l'Est déchirée par la guerre entre opposants politiques et dictateur. On retrouve ce cher Léon S. Kennedy au prise avec des zombies déterminés à contrôler le monde. Envoyé là-bas afin de faire le ménage, il va se heurter à la superbe Ada Wong, un autre personnage clé de la saga vidéo-ludique, qui va tout faire pour lui compliquer la tache. L'histoire ce démarque de la saga cinématographique qui s'éloigne de jour en jour de l'univers des jeux car dans cette suite on voit qu'on effort a été fait afin de mieux coller avec l'univers. terminé les scènes d'actions et d'explosions en tout genre, désormais les personnages évoluent dans un univers sombre et chaotique. On retrouve les zombies du cinquième jeux-vidéos ainsi que des monstres piochés d'un peu partout afin de satisfaire un maximum les fans. Schéma classique me direz-vous, ce film propose des scènes gores par moment, des instants flippants ainsi que quelques moments filmés en première personne, toujours du fan service. Clairement réalisé pour miser un maximum sur l'ambiance plutôt que de l'action et du gore, cette suite propose quand même des affrontements typiquement nippons avec des cascades et des chorégraphies millimétrées pour nous en mettre plein la vue. Techniquement c'est parfait et cela ajoute un petit plus indéniable au film. Là où le premier opus buttait sur le manque d'épouvante-horreur, cette suite nous offre des effusions de sang bien plus présentes, bien qu'on regrettera le manque de variés en ce qui concerne les monstres qui sont cantonnés au nombre magnifique de quatre espèces de monstres. C'est plus que dans le premier, mais c'est tout de même insuffisant. Sympathique c'est le mot qu'il faut retenir !
    Les voix françaises sont ce qu'elles sont, je conseille quand même de regarder ce film en VOSTFR car l'accent anglais est très bien rendu, notamment lorsqu'on entend des personnages parler en anglais avec un accent russe. Comme je vous l'ai dit, ça ajoute du peps à l'atmosphère et à l'ambiance générale du film.
    Les bandes-sons proposées dans cet opus sont bien plus convaincantes que par le passé. On retrouve des musiques angoissantes et au rythme bien soutenu dont on soupçonnerai presque qu'elles soient dans les jeux-vidéos. Enfin le très gros point positif du film, c'est bien sûr l'aspect technique de ce dernier. On nous offre des images de synthèses encore plus poussées et travaillées que l'opus précédent. La référence en la matière reste quand même Final Fantasy VII Adent Children, mais on a là un travail propre et tout à fait intéressant.

    ______________________________________________________________

    Note : 14 / 20

    Original, un univers respecté, des scènes à la fois gore et dosée en action, des images de synthèses une nouvelle fois parfaites. La recette semble fonctionner pour cet animé japonais qui réconcilie les fans avec leur saga fétiche.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    83 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 octobre 2012
    Parmi les horreurs réalisées, écrites et produites par Paul W.S. Anderson sortaient directement en DVD Resident Evil : Degeneration, film d’animation, signé par la maison mère du jeu d’origine (Capcom), qui usait de la motion capture pour se rapprocher du produit de base. S’il n’était pas sans défaut, ce divertissement se montrait bien plus convaincant de par une fidélité scénaristique, graphique et au niveau de l’ambiance (enfin, presque...). Ce qui n’empêcha pas Degeneration de passer inaperçu et de provoquer l’étonnement au fait qu’il se voit offrir une suite, pour accompagner la promotion du sixième opus vidéoludique. Verdict de ce Resident Evil : Damnation ! (ATTENTION, SPOILERS !!)

    L’histoire que je viens de résumer est principalement récitée dans l’introduction du film (sauf la raison de la présence de Leon, vite devinable). Néanmoins, il faut bien admettre que le film nous balance aussitôt sur place, en pleine guerre civile, sans que l’on sache finalement ce qui se passe. C’est d’ailleurs le sentiment que l’on aura durant les 1h40 de long-métrage, à toujours se demander si l’on est véritablement attentif à la trame (pourquoi la Présidente fait développer des parasites et possède des Tyrants comme gardes du corps, je me le demande encore !). À cause notamment d’un scénario plutôt brouillon (surtout durant le final où les Tyrants font leur apparition de manière maladroite) et qui fait intervenir sans génie des personnages emblématiques du jeu vidéo (dont Ada Wong, dont on se demande encore ce qu’elle peut bien faire dans ce film, à part une participation « amicale »), tout en essayant de jouer avec les sentiments des protagonistes sans jamais nous émouvoir un seul instant. Mais contrairement à Degeneration, Damnation peut se vanter d’offrir aux fans du jeu des nouveautés sur cette univers (des humains infectés contrôlant par télépathie les célèbres Lickers) et autres clins d’œil (des parasites digne de Resident Evil 4 et 5, la mythique scène du Licker cramponné au plafond et tirant la langue...), tout en ajoutant ici et là des répliques sympathiques donnant du charme aux personnages (Leon peut dès lors se ranger aux côtés de James Bond et Indiana Jones, J.D. et ses réflexions sur l’Amérique...).

    Après un scénario bancal, le film devait se rattraper sur le côté technique. Rappelez-vous de Degeneration, où l’animation, bien que fluide et fidèle aux cinématiques des jeux vidéo, se montrait sans âme (surtout avec ces personnages inexpressifs, raides comme des piquets et aux mouvements approximatifs). Pour Damnation, la donne à changer bien que le constat ne soit pas à 100% mémorable (les protagonistes ont toujours des gestes qui flirtent avec l’excessif, dont ceux de J.D.). Néanmoins, l’animation a évolué en même temps que les graphismes des jeux, nous offrant des personnages un peu plus expressifs (Leon et ses haussements de sourcils, le visage de la Présidente, le charme d’Ada, les expressions faciales de J.D.), un visuel plus travaillé (les cheveux de Leon, les décors en pleine journée, les jeux de lumière...) et qui garde en fluidité (les séquences d’action sont entraînantes à souhait !).Au final, pas si exceptionnels (un jeu d’acteur et un doublage que l’on a bien du mal à capter) mais bien plus agréables à regarder.

    Mais ce qui fait la force de ce Damnation (tout comme Degeneration) face aux nanars avec Milla Jovovich, c’est le respect de l’ambiance des jeux. Si l’on ne ressent à aucun moment l’angoisse de ces derniers (les scènes où des zombies surgissent ou bien que quelque chose se produit soudainement sont attendus), l’atmosphère reste tout de même pesante (le passage des souterrains), ne partant pas en live sous des airs de Marilyn Manson pour finir par des fusillades type Equilibrium. Surtout que par instant, Damnation nous gratifie de quelques plans à la première personne, efficaces, nous immergeant dans la peau de Leon durant un laps de temps.

    Pour certains, regarder Degeneration et Damnation serait comme assister aux cinématiques d’un jeu vidéo sans pour autant prendre la manette en main. Mais si c’est le prix payer pour avoir des Resident Evil dignes de ce nom, alors le sacrifice n’est pas de grande ampleur. Comme son prédécesseur, Damnation, bien qu’étant un divertissement mineur, arrive à prouver que l’animation est le procédé idéal pour adapter la mythique saga horrifique de Capcom. Même si jouer est l’expérience la plus prolifique pour arborer cet univers de zombies, de créatures informes et de conspirations, vaut mieux ça qu’un navet signé Paul W.S. Anderson !
    SHWARZIE
    SHWARZIE

    36 abonnés 617 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2012
    L'animation n'est pas au top, les persos sont un peu rigides et inexpressif mais l'action, les combats et l'ambiance du film sont sympa, on se croirait vraiment dans le jeu vidéo avec des vues à la première personne et les monstres sanguinaires de la saga, mais à force de tirer sur la corde resident evil perd un peu de son ame et faudrait arrêter les suites à répétition.
    GodMonsters
    GodMonsters

    1 307 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 octobre 2012
    'Resident Evil: Damnation' est une bonne petite surprise ! Le scénario tient la route, les personnages sont assez appréciables, graphiquement c'est très plaisant... dommage qu'il y ait des petits problèmes de rythme qui contrastent mal avec des scènes qui vont trop vites. Mais dans l'ensemble, je pense que les fans seront contents car c'est plus fidèle aux jeux-vidéos que la saga en films.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 janvier 2013
    Je me souviens de l'époque quand j'ai découvert Resident Evil Degeneration, j'avais vu le film sur youtube (en 9 parties) et à la fin je me disais "bon sang c'est trop bien ce film!" et j'écrivais ma première critique de film. Je souhaitais à l'époque une suite avec toujours Léon comme protagoniste et en 2012 sort sa suite: Resident Evil Damnation.
    Soyons clair, en 2 films d'animation, Capcom atomise sans problème la honteuse et inutile franchise Resident Evil de Paul Wes Anderson avec la plate Milla Jovovich.
    Le(s) film(s) se rapprochent de l'univers du jeu culte tout en explorant des univers plus réalistes que gothiques ou claustrophobes.
    Cette fois ci, Leon Scott Kennedy est envoyé en République Slave de l'Est, en pleine guerre civile, des rumeurs font état d'armes biologiques d'un genre particulier voir très dangereux; là bas il retrouvera de vieilles connaissances.
    Cette suite place la barre plus haute, certes le réalisateur met du temps avant de tout faire péter mais on est directement plongé dans l'univers du film. Le plus étonnant dans ce film c'est qu'il est extrêmement réaliste (la direction artistique a fait des recherches sur l'architecture, les armes…) mais de plus en plus glisse vers un film d'horreur bourré de scènes d'action.
    Visuellement, le film apparait beaucoup plus beau et se permet de créer des détails très sympa (Léon a du poil au menton) mais surtout se montre plus gore que le précédent (les leekers massacrent les humains à coups de crocs, le sang gicle à tout va).
    Ce Resident Evil Damnation a de quoi remuer la queue des fans, proposant des personnages charismatiques venant de R.E. 2 et de R.E.4: on retrouve Léon, Ada Wong (en mode s….. mystérieuse et sexy),les leekers, les plagas (beaucoup plus dangereux que dans R.E.4), Ingrid Hunnigan (qui ne sert à rien malheureusement). Mais nous avons droit à de nouveaux personnages: JayDee le sidekick rigolard mais paradoxalement le plus humain (et le plus touchant), Buddy (le principal adversaire pendant la 1ère heure du film avant qu'il ne se batte aux côtés de Léon) et Sveltana (la vraie méchante du film). Ces 3 personnages fonctionnent comme de vrais personnages de jeu vidéo et ne sont là que pour faire progresser le héros dans sa quête.
    Le film est clairement divisé en 2 parties: une première partie pas particulièrement excitante où l'on expose la situation, les personnages, les enjeux et la seconde partie est clairement orientée action,où l'on ne s'ennuie pas et où les balles s'accordent parfaitement avec le gore.
    Réalisé avec brio (la performance a bien progressé chez Capcom depuis R.E. Degenration), le film se montre beaucoup plus ambitieux en proposant des scènes de combat beaucoup plus spectaculaires et longues (et gores). Les personnages sont plus étoffés (Léon ne fait plus la gueule et se montre plus sombre) ainsi que leur relation (la tension entre Ada Wong et Léon Kennedy est t'elle dû à une histoire de cul ?).
    Véritablement pensé comme un une suite de scènes cinématique où le spectateur peut s'imaginer les phases de shoot pad en main, Resident Evil Damnation fera plaisir aux fans de la saga et aux fans de monstres répugnants.
    Comme quoi, en 2 films, Capcom a réussi là où échoue Paul W. Andrson depuis 12 ans. Et j'aimerais bien un 3ème Resident Evil.Resident Evil Defouloir ?
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    60 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2017
    Plus de trois ans après un premier long métrage en image de synthèse très réussi, Capcom renchérit avec Resident Evil Damnation, qui se déroule entre les épisodes 5 et 6 du côté de Léon, le manga Marhawa Desire racontant les mésaventures de Chris dans une étrange école élitiste. Après un prélude racontant l’essor puis la chute de l’URSS à la fin du XXème siècle, le scénario se passe dans une République Slave de l’Europe de l’Est, le pays étant en pleine guerre civile et dirigée par la charismatique Svetlana Belikova, une mystérieuse femme sûre d’elle avec une coupe au carré bien dressée. Rappelé par Hunnigan qui lui dit que la mission est annulée, Léon sait qu’il ne doit pas se laisser marcher sur les pieds et va enquêter seul sur la présence d’armes bio-organiques. La présence d’Ada renforce considérablement la qualité du film, toujours fourbe et assurant le spectacle face à Svetlana mais aussi à Léon dans une nouvelle scène de retrouvailles en pleine action. Les personnages secondaires sont plutôt réussis et l’humour vient parfois détendre l’atmosphère très survival de cette nouvelle histoire, notamment avec le jeune slave qui brasse d’innombrables clichés admirateurs sur les Américains alors qu’il se méfie pourtant d’eux.

    Les panoramas sont magnifiques et superbement bien mis en avant par des caméras efficaces, et ce avec des clins d’œil aux jeux vidéo car on a parfois du précalculé ou une vue à la première personne avec un éclairage à la torche, sans compter des lieux habituels de la série comme une église, les rues d’une ville et des couloirs en sous-sol. Les scènes d’action sont impressionnantes (même si Léon fait parfois trop surhomme comme quand il tient tête à un licker deuxième génération à mains nues) entre Svetlana qui sait se battre aussi bien d’Ada, et Buddy qui s’injecte le nouveau virus proche des plagas pour être capable de spoiler: contrôler des lickers dans l’affrontement face au T-00 devenu T-103, colosse emblématique qu'on n'avait pas revu depuis Resident Evil 2 et Surviror
    . Le bestiaire se complète par des zombies qui placent une sorte de plante dans la bouche de leurs victimes pour qu'elles deviennent comme eux, donnant lieu à des transformations bien gores. Svetlana prend potentiellement de l’importance dans le scénario de la série et reste d’autant plus mystérieuse avec spoiler: les traces qu’on peut apercevoir sur son dos alors qu’elle se dénude partiellement
    dans ses appartements. Un très bon film dans la droite lignée de Degeneration tout en se distinguant de ce dernier !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 septembre 2014
    Seconde adaptation en image de synthèse et encore une fois, c’est la meilleure que l’on pouvait donner à ces jeux mythiques. Un poil au-dessus du « Degeneration » point de vue technique, ce Resident Evil présente une autre intrigue, toujours aussi manipulatrice et machiavélique. Cette fois, on découvre une autre sorte de zombies, d’autres créatures et l’ambiance s’assombrie quelque peu. On garde le même principe de la prise d’otage entre quatre murs entourés de saletés qui surgissent sans que l’on s’y attende et pour couronner le tout, un boss de fin de qualité, encore plus impressionnant que dans le premier volet.Seul petit bémol, c’est l’annonce de l’apparition d’AdaWong qui au final ne sera que peu présente. Consolons-nous tout de même avec ses apparitions qui en jettent !Plus performant, ce Resident Evil est encore un bon morceau de choix qui rend véritablement hommage à saga vidéoludique. Oscillant entre l’action énergique et bluffante et les complots politiques, c’est un excellent divertissement qui sait aussi s’offrir quelques séquences horrifiques jouissives.
    peypino
    peypino

    49 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 octobre 2012
    trés beau tres spectaculaire . Le film est une succession de clins d'oeil aux fans de la franchise!
    en effet je mets au défit quiquonque n'ayant terminé aucun des jeux de comprendre quoi que se soit a l'histoire!
    bien que l'histoire ne soit pas ce qu'il y a de plus important dans resident evil.
    Le postulat a ete développé dans le premier jeux et depuis on s'amuse de surrencheres en surrencheres a combattre les creatures les plus "W T F" qui soient dans un complot planetaire de plus en plus incomprehensible.
    La forme domine largement le fond mais c'est quand même vachement cool
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