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    Jeune & Jolie
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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 26 août 2013
    A voir pour la beauté et le talent de Marine Vacth ainsi que pour la prestation remarquable des acteurs qui jouent les parents (Pailhas et Pierrot) et le petit frère. Après on ne comprend pas pourquoi Ozon a fait ce film, ni message, ni émotion, ni réflexion ne s'en dégage... C'est bien filmé, bien joué, mais c'est assez ennuyeux dans l'ensemble, on pressent qu'on passe à côté d'un grand film s'il y avait plus de psychologie et/ou d'émotion. Un film dont on peut se passer... Mais de Marine Vacth le cinéma ne pourra bientôt plus se passer.
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 août 2013
    François Ozon est un cinéaste doué, incontestablement, qui peut sauter allègrement d'un genre à l'autre: de la psychologie bien classique, voire planplan (Sur le sable) au psycho-thriller totalement tordu (Dans la maison, de loin sa meilleure oeuvre). De temps en temps, il s'amuse à réaliser un film esthétiquement immonde (qui a pu regarder 8 femmes ou Potiche jusqu'au bout?) Mais, ce qui lui revient toujours comme un prurit, c'est l'envie de choquer le bourgeois. Ce qui reste la meilleure façon de faire du fric, tellement le bon bourgeois parisien actuel aime à être choqué. Il n'en a jamais assez! Encore, encore!

    Jeune et jolie est donc l'histoire d'une jeune fille, Isabelle, qui après un dépucelage laborieux sur une plage méditerranéenne, le jour de ses 17 ans, entame dès la rentrée scolaire une activité de prostitution. Bonne élève à Henri IV le jour, fille tranquille le soir dans une famille bourgeoise [mère compréhensive et aimante, Sylvie (Géraldine Pailhas), brave beau père un peu blaireau, (Frédéric Pierrot), et petit frère de 14 ans avec qui elle partage beaucoup, ce qui est complètement idiot, car tous les parents savent qu'entre une ado de 17 ans et son petit frère boutonneux, il n'y a aucun partage possible sauf des engueulades hargneuses dans la salle de bain] elle rencontre entre 18 et 20 h des messieurs dans des hôtels, des parkings..... pour 300 € qu'elle range soigneusement dans sa chambre, dans une pochette, entre ses petites culottes. Elle a un client régulier, un septuagénaire, Georges (Johan Leysen) qui la traite avec un peu plus de respect que les autres. Et qui, un mauvais soir, lui calenche dans les bras en état d'épectase.... Ce qui amène la vie secrète d'Isabelle au grand jour. Choc, particulièrement pour Sylvie, qui se demande comment elle a pu ne rien voir -et surtout, comment elle a pu tant manquer à ses devoirs de mère, pour que sa fille en soit là! On traîne la miss chez un psy, Serge Hefez soi-même.... qui se ridiculise, ainsi que sa profession (ça semble délibéré), en posant les questions à la con dont elle est spécialiste (les relations d'Isabelle avec les vieux messieurs seraient elles en rapport avec le fait que son père vient de se remarier et d'avoir un bébé? Hihihi!). Le film se termine sur une scène totalement grotesque: la veuve de Georges (Charlotte Rampling) visite avec Isabelle la chambre d'hôtel où le couple se retrouvait....

    Marina Vacth, c'est le sosie de Laeticia Casta en maigre, avec quand même un peu plus de dons pour la comédie..... (c'est pas difficile). Comme à toutes les autres jeunes actrices, on lui a demandé moultes fois ce que lui faisaient toutes ces scènes de nu, et elles répondent toutes la même chose: non non, rien, je suis très pudique, mais du moment que je sais que le metteur en scène porte un regard respectueux sur moi, pas de problème, et puis on a bien rigolé en tournant. Une jeune actrice qui tournerait dans un film sans passage à poil obligatoire, qu'est ce qu'elle deviendrait? Elle serait blacklistée, pour sûr! Une jeune actrice -jeune et jolie- c'est de la viande!

    Les critiques élogieuses prétendent qu'une des forces du film, c'est que les motivations d'Isabelle restent opaques. Se situer, dans le monde nouveau de la sexualité? Affirmer son pouvoir sur les adultes, en prenant leur argent? Ce qui est sûr, c'est que la sexualité est devenue tellement dévaluée (se débarrasser de la corvée du dépucelage; finir toute soirée en boîte avec un mec, peu importe qui il est) que je suis sûre que beaucoup plus de filles qu'on ne le croit sont prêtes à faire une passe sans aucun déplaisir, même pas pour "payer leurs études", mais juste pour une virée shopping chez H&M. Ca, je crois que c'aurait été intéressant à étudier. Mais le cas d'Isabelle, franchement, on s'en fout, et le film n'a pas grand intérêt....
    ISAO12
    ISAO12

    44 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 août 2013
    Jeune et jolie survole hélas son sujet qui aurait pu etre intéressant au lieu de tout miser sur le physique de cette femme.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2013
    Isabelle 17 ans décide de perdre son pucelage durant un été avec un jeune allemand. Débarrassée mais pas comblée, elle conclut par un « C’est fait ». Rien de bien original, ce n’est pas le lot de la majorité des filles ayant une première expérience avec un mec de leur âge ? De retour dans sa vie bourgeoise parisienne, elle décide de monnayer son corps sur des passes dans des hôtels de luxe. Ses motivations sont incompréhensibles : pas l’argent, ni l’opposition parentale, ni le plaisir, ni un passé incestueux ou difficile,… Elle-même ne le sait peut être pas ? Une jeune fille de 17 ans se mettant dans cette situation sans motivation aucune ; la fiction n’est-elle pas trop forte ? Ozon dans son désir de ne ni juger ni expliquer nous perd sérieusement en route. Aucun point de vue dans ce film, il filme même son actrice avec beaucoup de distance, sans passion. Sans ennui pour le spectateur, mais pas passionnant non plus. De plus, la jeune fille est très introvertie, elle suscite guère l’adhésion d’un spectateur très vite cantonné à un rôle de voyeuriste contemplant une succession de passes. Jamais vulgaire dans sa manière de filmer, mais voilà on voie une jeune fille que se prostitue point barre. Un client scelle le film à mi parcours avec cette phrase : « Pute un jour, pute pour toujours ». Dans la dernière demi heure, on pense qu’Ozon ne va pas se contenter uniquement de la provocation dont il est friand pour passer en mode manipulation qu’il affectionne tant. Mais non, rien de bougera plus. Frustrant.
    Une forme de « Belle de jour » (Bunuel) actuelle, mais encore moins compréhensible que son modèle. Ozon dit qu’il voulait retranscrire le « fantasme de prostitution » présent chez la plus part des femmes. Son personnage est donc mal calibré : 17 ans, sans expérience et sans motivation… Irréel
    Toujours provocateur, Ozon fait mouche lorsqu’il y adjoint la manipulation comme dans « Swimmingpool » par exemple.
    Film sans guère d’intérêt
    Max Rss
    Max Rss

    197 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mars 2019
    Ce qui peut être cool avec François Ozon, c'est qu'il est un cinéaste singulier. En effet, nul ne sait jamais quelle tronche pourra avoir le prochain film du bonhomme. De plus, le père François se plaît à varier les sujets abordés. Ici, il filme une adolescente, qui, pour on ne sait quelles raisons, s'adonne à la pratique du tapin. En gros, voici un sujet tout indiqué pour faire grincer bon nombre de mâchoires. Ozon opte ici pour une réalisation hyper épurée, son film s'en trouve alors très abrupt. Tout pour favoriser la non-adhésion quoi. Et son film ne convainc pas. Le problème ne vient pas du sujet abordé, ni des scènes de sexe mais bel et bien de la façon dont il est abordé. Ça crève les yeux : Ozon la joue petit bras pour être certain de ne pas trop choquer la caste trop bien-pensante. Il ne prend finalement aucun risque tout en prenant soin de faire le minimum pour avoir matière à se rincer l'oeil. Alors qu'une histoire comme celle-ci était une porte grande ouverte pour conduire à une descente aux enfers. Mais non, on décide de rester sage. Dommage. Monsieur Ozon, si l'envie de refaire un film similaire vous prend un jour, pensez à assumer votre démarche et à pousser votre idée au maximum, quitte à vous attirer des foudres. Est-il grave de susciter le courroux ? Bien d'autres cinéastes l'ont fait !
    William Spindler
    William Spindler

    13 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    Ozon a la maîtrise totale de sa mise en scène. Il pose une atmosphère et une ambiance avec beaucoup esthétisme et un art qui lui est propre. Mais le personnage principal, remarquablement interprété par Marina Vacth, s'il est au service de la vision toujours très particulière qu'Ozon a de la sexualité en général, et peut-être celle des femmes particuliers, n'est absolument pas crédible. La jeune femme fait l'amour pour la première fois lors des vacances d'été, et, au bénéfice d'une ellipse temporelle fort commode, se retrouve à se prostituer dans les hôtels de luxe. Qu'est-ce qui l'a donc décidé à cela ? Pourquoi ? Voilà des questions que l'on se pose, et auxquelles nous n'auront jamais de réponse. Parce qu'Ozon s'en moque. Ce qui l'intéresse dans ce film, c'est de montrer, d'exposer devrais-je plutôt dire, d'être subversif et amoral. Gratuitement.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    202 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juillet 2014
    Ca commence comme une sitcom et ça se termine presque comme La Boum. Marine Vacht est impeccable, mais ça ne suffit pas à faire un film. Celui d'Ozon est tout sauf sulfureux, comme il le souhaiterait sans doute, lui qui dit s'être inspiré de... Bunuel ! Il est plat et souvent ennuyeux. Ajoutons qu'il est aussi très équivoque en banalisant la prostitution. D'autant qu'on ne saisit pas clairement les motivations de cette jeune fille. La chute donne même l'impression qu'elle se vend par plaisir. Mythe entretenu par les clients et machos qui refusent d'admettre le caractère sordide de cette activité. Ozon, réalisateur très inégal, ne s'est pas amélioré...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 août 2013
    Je savais que les films de Ozon me plaisent jamais, ça m'empêche quand même pas de les voir, comme une preuve. Toujours le narcissisme du bourgeois et de l'intello, il est lui-même comme un voyeur qui porte son propre fantasme à travers ses narrations et sa réalisation. Jamais assez intelligent ni vraiment drôle, il me donne toujours une impression d'une bizarrerie embarrassante. La musique m'a fait trop rire aussi comme les dispositions caricatures, les clichés maladroits.
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    323 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 septembre 2013
    Après avoir tant fait parler de lui à Cannes (même si j’avoue que c’est rarement un bon présage pour un film), il fallait bien que je vois le nouveau film de François Ozon, que beaucoup ont déjà considéré comme son meilleur.
    Et bien, une fois de plus, nous avons le parfait exemple que le festival de Cannes essence des films qui ne le méritent pas toujours. Bien loin d’être son meilleur film (j’ai largement préféré "8 Femmes" et "Dans La Maison"), le nouvel Ozon est tout sauf inoubliable : sans avoir rien à dire à la réalisation (mise en scène propre et photographie agréable), je trouve que le film sous-exploite son sujet, sans jamais même aider le spectateur à comprendre le pourquoi du parce que !! On reste sur notre faim en ne sachant ni le déclencheur de « l’activité » d’Isabelle ni si elle décide ou non de la continuer. La seule chose que l’on peut supposer c’est que cette jeune fille qui ne manque de rien (ni d’amour, ni d’argent, ni de confort…) a trouvé comme seul échappatoire à un chemin tout tracé et sans embûche vers le monde adulte, comme seul petit piment à mettre dans sa vie rien d’autre que la prostitution ?? Voilà l’unique idée qu’elle a eu pour troubler la monotonie de son existence ? Un peu léger et trop facile, n’est-il pas ? Et bien je suis loin d’être convaincu, d’autant plus que j’ai vu à la télé, notamment dans Envoyé Spécial, des reportages sur ce sujet bien plus captivant et poignant que ce film.
    Reste la prestation de Marine Vacth, assez convaincante avec son visage si doux qui transpire de mélancolie. Mais il s’agit là d’une maigre consolation…
    paulusnumero1
    paulusnumero1

    5 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2013
    Pas grand chose. Plutôt plat.
    Les comédiens sont bien. Pailhas et Pierrot surtout.
    Elle est jeune et jolie, ça c'est sûr.
    Cpt Morgan
    Cpt Morgan

    61 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2013
    L'humour, la mise en scène et la beauté de Marine Vacth font presque oublier l'absence totale de scénario. Un personnage passif sans résolution de conflit... Marine Vacth est vraiment très belle et surtout elle est très nue
    Jean Marc Dinaut
    Jean Marc Dinaut

    22 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 septembre 2013
    François Ozon est à coup sur un bon metteur en scène. Il sait faire de belles images et superbement photographier les beaux jeunes hommes et les belles jeunes filles pubères. Sans le flou artistique il est le David Hamilton du XXI ième siècle. Alors ici, le support de tout cela c'est une gamine de 17 ans qui se prostitue. Pourquoi? vous ne le saurez pas voilà! Et que l'on aligne les passes, les positions, les chambres d’hôtel, spoiler: On s'ajoute un mort sous les fesses de la jeune fille qui galope dessus, et là tout se décoince et s'emballe enfin à la vitesse de l'escargot pour finir ,on sait pas. Et on rallume les lumières POINT.
    Pierre Andre E
    Pierre Andre E

    13 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 août 2013
    Pas de fond, pas d'âme rien que de la chair... Le sujet pourtant controversé et actuel aurait pu être un peu plus développé. Un film pour pas grand chose....
    labellejardinière
    labellejardinière

    85 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 août 2013
    Lors des 5 mn de présentation d'une AP de son nouveau film, Ozon a le temps de préciser qu'il a voulu faire de "Jeune et Jolie" le pendant de "Dans la Maison", avec un nouveau portrait d'ado atypique, une fille cette fois-ci, Isabelle, juste 1 an de plus que le Claude de "Dans la maison", l'année dernière.
    Claude était intrigant, voire fascinant, plein d'invention, futur écrivain, manipulant même son mentor, Germain Germain/Luchini. Isabelle, Ozon lui réserve en parcours initiatique un rôle d'escort... Dont d'ailleurs on n'entrevoit jamais le but, l'intérêt pour la jeune fille. Elle se vend. A évidemment beaucoup plus âgé qu'elle. C'est Suzanne et les "vieillards" - un en trépasse, d'ailleurs. Elle n'a pas de mentor, mais une mère dépassée en adulte de référence (Géraldine Pailhas, déjà distribuée dans "5 x 2"). Un personnage féminin anglais est aussi un point de ressemblance entre le film de Claude, et celui d'Isabelle, mais en esquisse dans les 2 cas, et ici bien tardivement (Charlotte Rampling - déjà distribuée dans "Swimming Pool" - Kristin Scott-Thomas l'an passé).
    JJMS, Isabelle ? "Seule" sans doute, même en famille, même en classe (ébauché), même avec ses clients (répétitif). Claude étonnait ; Isabelle ennuie. C'est malsain dans les 2 cas, mais l'attrait intellectuel des situations de "Dans la maison" ne se retrouve pas ici. Le frais minois de Marine Vacth, son corps d'ancien mannequin à la limite de l'anorexie ne suffisent pas à combler le vide de sa vie (personnage), ni celui de son jeu.
    Lepouceducoin
    Lepouceducoin

    23 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juin 2013
    Film difficile à noter car le sujet est complexe (l'histoire d'une ado qui se prostitue), l'enchainement est maitrisé mais ce n'est pas forcément le type de film qui m'enthousiasme (sans doute trop intimiste). D'ailleurs, on ne compte plus les scènes de nu (un peu hot pour certaines en passant, ce qui peut dérouter pour un film d'Ozon)... A ce sujet, les actrices sont fabuleuses, notamment la jeune (et jolie) Marine Vacht, à coup sûr une future grande. Je reste impressionné du fait qu'elle arrive à jouer ce genre de scène sans difficulté à son âge. D'ailleurs, l'ayant vu à l'avant-première, on comprend mieux pourquoi elle joue si bien car même en vrai, elle dégage un certain mystère et timidité. On imagine difficilement une autre actrice à sa place. Pour le reste, Ozon nous gratifie encore d'une BO concoctée spécialement (faut aimer Françoise Hardy) et de quelques bonnes répliques (notamment celles avec le petit frère). Le film est peut être un peu long, sans doute sensation provoquée par la lenteur des certaines séquences.
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