Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 5 septembre 2013
Ce film est horriblement mauvais. L'histoire est inintéressante et très mal interprétée, aucun personnage n'est attachant et les dialogues sont niais. De plus, le film manque cruellement de profondeur et revoit un message très contestable. Il présente une jeune étudiante au lycée Henri IV issue d'une famille riche sans problèmes qui se prostitue pour le plaisir. A travers cette histoire insensée, François Ozon donne du crédit à la prostitution qu'il fait passer pour un acte sympathique et mystérieux. Le film est truffé de contradictions. Ces dernières sont la preuve que l'auteur parle d'un sujet qu'il ne maîtrise pas. Aucunes des questions suscités par le film ne sont résolues car son principe même est illogique. C'est vide, facile et sans intérêt.
Ozon, l'homme qui veut faire du cinéma "d'intello" pour les "intello"! Une fois de plus on est devant un film ennuyant où le voyeurisme et le centre du métrage. Film sur la prostitution? Film sur l'éveil à la sexualité d'une jeune fille qui en 1h30 jeune vierge à malade sexuel en passant par la case prostitution...la vie courante quoi! Rien d'autre a tiré de ce film avec sa psychologie de bas étage.
Ne faites pas l'erreur comme moi d'aller voir ce film en plein après-midi, vous vous rendriez vite compte de la catégorie ou plutôt de la population attirée par ce film... L'histoire est infâme, quelle manière naïve de dédramatiser la prostitution? si les plans sont parfois jolis et l'actrice jolie.. ce film n'a d'intérêt que pour les voyeurs que j'ai pu voir en salle. J'ai eu honte et même peur d'être assimilé à certains spectateurs. Ce film m'a dérangé profondément, au delà des images c'est le message: se prostituer pour jouer, pour s'exciter, pour sortir d'un train train...
je n'ai pas aimé, j'en suis sorti malade et dérangé mais pas comme j'aime l'être
Un film sur la prostitution qui vous fais croire que les femme on envie de se prostitué qu'elle sont "jeune et jolie" qu'elle vienne d'un milieu bourge et qu'elle son contente de faire sa. Pas un mot sur les 99,99 % de prostitués pour lesquel la vie est un enfer, pas un mot sur ces immigrées qui vienne du monde entié pour etre vendu, contre leur gré à de riches français. Après "Paris à tous prix" qui vous fesait croire que les clandestins vive dans le luxe, un nouveau film français fait pour vous donné bonne concience d'aller au putes. A vomir.
Je suis jeune et jolie, gosse de riches, parents divorcés et père biologique absent, je vais au lycée Henry IV (bien évidemment), j'ai perdu ma virginité pendant les vacances d'été et, au retour, je décide de me prostituer.
Tous les poncifs s'enchaînent et toutes les pratiques et positions sexuelles aussi. Non, il en manque : je n'ai de relation sexuelle ni avec ma mère, ni mon beau père, ni mon petit frère bien que celui-ci se masturbe déjà. Je n'ai pas non plus vu de sodomie mais je dormais peut être déjà dans la salle.
C'est le vide intersidéral doublé de l'ennui profond. La caméra s'attarde sur les scènes porno-chic (interdire au moins de 16 ans aurait été un minimum) et pour le reste, d'émm....dez vous. Maman déprime, beau-papa se laisserait bien séduire et, profonde intrigue, l'héroïne récupérera-t-elle l'argent de ses passes (pour en faire quoi, encore à vous d'imaginer).
Gag ultime, le psychiatre, appelé à la rescousse, confirme à Maman que cet argent, c'est le fruit d'un "travail" et que fifille peut donc l'utiliser à sa guise, notamment pour payer les séances.
Bref, du cinéma de bobo vicelard, du David Hamilton sans les flous, N'emmenez surtout pas vos ados visionner ça : allez au musée.
PS ; le titre est juste car elle est jeune et jolie.
Puisqu'il faut aligner un certain nombre de mots pour obtenir le label "votre critique", je m'emploie à tapoter ladite critique: ce film ne présente aucun intérêt.
Particulièrement minable. L'histoire d'une famille riche tellement française...que penser de cette jolie crétine paumée à l'air shootée au ton plus énervant quune diarrhée pendant un marathon qui fait office d'héroïne? Et de la mère irresponsable qui s'excuse après avoir découvert que sa fille est une pute? Ya des claques qui se perdent. Pas besoin de faire une critique bien poussée pour constater que ce film est une daube. On pourrait démonter ce navet pendant des heures. Pauvre France.
une catastrophe. C'est ni plus ni moins qu'un film porno, avec de très mauvaises actrices, une tentative de scénario complètement bidon, des cliché et parodies a la américain pie......
Ah ça c'est sur les intéllos de Telerama, Le Point ou Cahiers du Cinéma vont se masturber l'esprit un moment en criant au génie ! C'est juste emmerdant. Point.
Isabelle (Marine Vacth d'une justesse perverse) a 17 ans, vit dans le genre d'appartement Parisien où il est possible de ne pas être entendu lorsque l'on rentre en disant fort "il y a quelqu'un?" en compagnie de son beau père à qui spoiler: il arrive de déambuler les parties génitales à l'air la nuit , d'un petit frère confident impudique et d'une mère à qui il est possible de dire spoiler: "tu fais chier" sans conséquences aucunes...
Ainsi donc le film de François Ozon nous raconte la sempiternelle problématique oedipienne d'une bourgeoise recherchant dans la prostitution le père absent parti vivre en Italie se remarier avec la mère de son nouvel enfant, explorant comme à l'accoutumée les affres de la sexualité naissante d'une jolie jeune fille meurtrie dans l'âme par ce sentiment d'abandon métaphysique qu'elle s'évertue inconsciemment à conjurer en se confrontant à des hommes mûrs qu'elle peut symboliquement dominer de part sa position d'objet sexuel.
Personnage peu aidé malheureusement par une figure maternelle à coté de la plaque, elle même à la limite de l'ambiguïté spoiler: dans ses rapports avec l'ami de la famille ("il y avait une de ces queues") histoire de bien faire voler en éclat toute forme de moralisme implicitement présentée comme l'expression d'une hypocrisie de façade.
Rien de neuf en somme sous le soleil du cinéma d'une certaine catégorie Parisienne, Jeune et Jolie se concluant par spoiler: la rencontre imagée du personnage principal avec son double du futur (qui lui ne se serait pas adonné à la prostitution par peur et "lâcheté") dernier acte pour le moins explicite exposant sans ambiguïté que "faire la prostituée" , en dehors de toute nécessité financière, en tant qu'activité de loisir pour apprentie femme vénale en mal de reconnaissance, c'est bien! Dixit le psychiatre, lui même parfaitement abjecte qui, en bon vicelard, spoiler: ne voit pas de mal à prendre l'oseille des passes de la donzelle , au grand dam de la mère qui elle même reconnait qu'elle n'est pas experte malgré ses questionnements légitimes! (t'as compris? Laisse les "spécialistes" s'occuper de tes gosses!) .
Un film qui en dit long sur la misogynie de son auteur...
Film de basse intensité pour un problème sociétal pourtant bien conséquent. Si le scénario dévie pour acheminer son personnage vers une morale stabilisatrice, il ne semble pas s'éloigner de l'âge inconditionnel de la beauté souveraine. On pourra féliciter l'actrice de ne pas avoir vacillé devant une gérontophilie présageant ses premiers pas au cinéma. La construction du personnage est toutefois réaliste et occurrente mais la séduction paraît assouvir toute vibration des sentiments qu'ils soient maternels ou féminins et on se lasse devant cette déchéance scénaristique qui tombe à plat.