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    Jeune & Jolie
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    Alexandre B
    Alexandre B

    29 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 juillet 2014
    Je suis jeune et jolie, gosse de riches, parents divorcés et père biologique absent, je vais au lycée Henry IV bien sûr, on aurait pu choisir la Sorbonne pourquoi pas, j'ai perdu ma virginité pendant les vacances d'été et, au retour, je décide de me prostituer. Tous les poncifs s'enchaînent et toutes les pratiques et positions sexuelles aussi
    Pourquoi ? On ne le sait pas, sûrement car comme le dit sa mère, cette fille à le vice en elle...
    Le problèe c'est qu'à la fin avec Rampling, le réalisateur laisse entendre que toutes les femmes rêvent au fond de se prostituer ?
    Cynique...

    2.5 étoiles pour le jeu des comédiens, mais le scénario me laisse perplexe...
    Florian M
    Florian M

    7 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juillet 2014
    Jeune & Jolie, je n'attendais pas grand chose de ce film, mis à part un énième film moraliste sur cette nouvelle génération de filles qui se prostituent pour payer leurs études ou se payer des vêtements de luxe... J'ai finalement été agréablement surpris de découvrir un film bien ficelé, avec une histoire originale et touchante. Quant au personnage interprété par Marine Vacth (qui par ailleurs, réalise une grande performance), est tout aussi complexe que le sujet de ce film. En conclusion, chapeau au réalisateur qui nous délivre un bon film et une bonne réflexion sur le sujet. 3/5
    pierrre s.
    pierrre s.

    425 abonnés 3 302 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juillet 2014
    Comme souvent, le cinéma de François Ozon est dérangeant, et Jeune et Jolie, ne fait pas exception. On y voit une jeune fille découvrir son corps et se qu'elle peut en faire... Pas son meilleur, mais le réalisateur de Potiche, livre tout de même un film aboutit.
    Didi G.
    Didi G.

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juillet 2014
    J ai beaucoup aime ce film, comme j ai beaucoup aime l inconnu du lac.

    L environnement: famille bourgeoise plan plan ou rien ne se passe, absence de figures masculines ( père absent, dont les seules relations sont pecuniaires, beau père quelconque, petit frere, mère hyper envahissante ( elle répond aux questions pour sa fille, a un avis sur tout, veut décider de tout) mais est dépassée,

    La sexualité est tabou ou deçevante: mère adultérine, godes caches, premiere relation sexuelle décevante, le beau père la désire presque sans pouvoir y toucher, elle ne prend pas de plaisir au sexe ( meme si celà évolue

    Elle est jeune et jolie c est sa prison : désirée par tous les hommes adultes ( beau père, amis, inconnus) elle est jalousée par toutes les femmes ( amies de sa mère qui la raccompagne, epouse du defunt client ) meme par sa mère qui fait une scène de jalousie).

    L adolescence est un âge ou l on se cherche, recherche l aventure, le risque, la découverte du sexe notamment l affirmation de soit ....

    C est ce que lui permet cette prostitution:rencontrer des hommes de caractère, qui ont été de mauvais pères et époux, les dominer par sa beauté et son charisme, rompre l ennui de sa vie, vivre des expériences, jouer, .....

    Le fric elle s en fou, se prostituer ..... coucher avec inconnus est un phantasme répandu ( rampling l avoue en fin de film).

    Une tranche de vie ou est surtout absent l amour ( sauf avec le petit frêre) et peu d espoir.
    D0ct0rX
    D0ct0rX

    4 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juillet 2014
    J'ai regardé "Jeune et jolie" car j'ai été subjuguée par l'affiche du film et cette sublime actrice qu'est Marine Vacth.
    La trame scénaristique, une adolescente qui se prostitue, a beau être intéressante et d'actualité, le film manque au final de profondeur et semble rester à la surface du sujet. Même à la fin, les réelles motivations de la protagonistes qui l'ont poussé à agir de la sorte ne sont pas explicitement définies, ce qui à mon goût laisse un goût d'inachevé. Les musiques de Françoise Hardy, le parallèle avec le poème d'Arthur Rimbaud "Poème" ainsi que les nombreux plans de Paris sont néanmoins des éléments qui font de "Jeune et jolie" un film accrocheur et provocateur comme il le faut.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    202 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juillet 2014
    Ca commence comme une sitcom et ça se termine presque comme La Boum. Marine Vacht est impeccable, mais ça ne suffit pas à faire un film. Celui d'Ozon est tout sauf sulfureux, comme il le souhaiterait sans doute, lui qui dit s'être inspiré de... Bunuel ! Il est plat et souvent ennuyeux. Ajoutons qu'il est aussi très équivoque en banalisant la prostitution. D'autant qu'on ne saisit pas clairement les motivations de cette jeune fille. La chute donne même l'impression qu'elle se vend par plaisir. Mythe entretenu par les clients et machos qui refusent d'admettre le caractère sordide de cette activité. Ozon, réalisateur très inégal, ne s'est pas amélioré...
    Rrraphaelo
    Rrraphaelo

    11 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2014
    Grand Film ! François Ozon a su réaliser un film sur un sujet qui peut être tabou pour certaines personnes.
    Ce qui est fort dans le film c'est qu'il ne montre pas juste le "métier" ou la "pratique" qu'entretien Isabelle (Marine Vacth : belle découverte), il est engagé sur cette pratique, tout en restant pudique au niveau des sentiments et des scènes de sexe/d'amours. Beaucoup de choses, comme les sentiments d'Isabelle, sont sous-entendues mais François Ozon n'oublie pas le spectateur en laissant des ouvertures pour que ce dernier puisse se faire sa propre opinion.
    La force du film est de ne pas être centré que sur Isabelle, on observe les différentes réactions de sa famille, en particulier sa mère. De plus vers la fin, pour revenir aux sentiments d'Isabelle, quand cette dernière a un petit copain, on se rend compte qu'elle a pris de l'avance et de la maturité grâce ou à cause de cette pratique et que du coup elle n'a plus de point commun ou d'intérêt pour les garçons de son âge.
    Enfin la dernière scène, à l'hôtel avec la femme de Georges est très puissante et laisse une ouverture sur ce que va entreprendre (ou non) Isabelle.
    Je finirai cette critique comme elle a commencé : Grand Film !
     Kurosawa
    Kurosawa

    581 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2014
    Après le décevant et très prétentieux "Dans la maison", on ne s'attendait pas à grand chose de la part de François Ozon. Il était même tentant de le réduire à un simple roublard faiseur de twists pour ainsi montrer sa supériorité sur ses personnages. Oui, mais voilà, "Jeune et Jolie" marque un tournant dans la carrière du cinéaste. Plus rigoureux dans sa mise en scène, il provoque également de façon plus intelligente tout en proposant une idée scandaleuse, celle de dire que la prostitution serait normale. L'idée est défendue par Isabelle, personnage interprété par une Marine Vacth extraordinaire de sensualité et intensément provocante. Ozon fait disparaître certains de ses tics agaçants, comme celui du voyeurisme gratuit et parvient à garder son style et son humour décalé, ce qui finit par rendre le film original. Peu explicatif, sensuel, dérangeant par instants et un réalisateur enfin en retrait par rapport à son personnage principal pour un film donc remarquable.
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    40 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juillet 2014
    Un film assez déroutant, subtil parfois, fourbe d'autre manière, une histoire curieuse. Aucune explication n'est réellement fournie pour justifier l'attirance d'Isabelle. Une preuve de génie de la part d'Ozon qui nous laisse nous démener dans la psychologie d'une jeune fille de dix-sept ans. Beaucoup de questions demeurent sans réponse, pourquoi se prostituer alors qu'elle n'éprouve aucun plaisir, et que sa mère gagne bien sa vie ? Ce drame est intéressant en tout point mais a parfois trop tendance à tirer sur la métaphore ou encore à s'étirer trop longtemps sur des passages inutiles où règne uniquement un silence. On se retrouve peu à peu livrer à nous même, mais c'est parfois très mal dispatché dans le film. La fin également me laisse un peu dubitatif. Marine Vacht joue bizarrement, parfois amorphe mais son rôle doit lui imposer ça. Il y a un peu trop de scène de cul. Ça ne sert à rien d'insister, on sait qu'elle aime ça donc pourquoi instaurer le schéma " Pipe/Sodomie/Pipe/Pipe/Cum " ? Vacht pour revenir à elle convient parfaitement pour ce rôle, dotée d'un regard sensuelle, elle est très accrocheuse. Froide et chaleureuse à la fois, comme Rooney Mara dans Millénium. Cette fille ne fait pas dans la dentelle. ( Je vais m'attirer des problèmes ) Curieux, mais intéressant à décrypter.
    _domimi_
    _domimi_

    10 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 septembre 2014
    En fait ce film joue un peu sur la même corde sensible que les chips. T'as pas forcement envie d'en manger (en plus t'aimes pas forcement ça toi, les chips) mais elles sont là sur la table du salon. Alors t'en prends une, histoire de te saler un peu le palais. Et puis deux, et trois ... Et en fait t'as à peine le temps de t'en rendre compte que t'en es déjà à plonger carrément la main au fond du paquet (que tu soudes en 15 minutes).
    Ben là c'est pareil, tu te dis que tu regardes juste 5 minutes le temps que tes pâtes bolo de chez picard finissent de décongeler dans le micro-onde mais en fait le père François te prend par la main de force et t'embarque en mode syndrome de Stockholm !
    PS : y a que moi qui ai trouvé que Marine Vacth était le copié/collé féminin du JB. Meunier des Les Choristes ??!!
    Roub E.
    Roub E.

    947 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juillet 2014
    Un film troublant sur un personnage complexe et insaisissable. En effet en filmant cette adolescente qui va de son plein grès se prostituer Ozon film une jeune femme que l on peine à comprendre et d ailleurs on ne le peut vraiment, à l image des personnes qui l entourent c est au spectateur de faire le choix de l accepter ou de la rejeter mais sans pouvoir la cerner. Un tel personnage principal peut être déstabilisant voir frustrant mais ce parti pris est assez intéressant. Le film a aussi le mérite de ne jamais tomber dans le glauque et ceci le rend encore plus ambigu. Une fois de plus Ozon s entoure d un casting absolument impeccable. Ce film n est pas sa plus grande réussite mais il dresse un portrait intéressant de la fin de l adolescence.
    shindu77
    shindu77

    91 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juillet 2014
    Un bon film français dans son ensemble. Le casting est convaincant, Marine Vacth est excellente.
    Mise en scène classique, c'est vraiment la performance des acteurs qui rend ce film intéressant.
    Raphaël V
    Raphaël V

    23 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juillet 2014
    Jeune & Jolie , mais surtout très chiante !

    Tiens c'est nouveau ça : " Merci d'écrire une critique de 50 caractères minimum "
    BURIDAN
    BURIDAN

    21 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juillet 2014
    « Jeune et jolie » : l’ennui d’une certaine jeunesse dorée ??? Lycée Henri IV, parents doux-doux et sub-tolérants, fille qui ne manque pas d'amour (oh oui !), ni d'argent (oh oui !), ni de rien….
    Juste un peu d'adrénaline pour calmer les ardeurs « naturelles » que l'on pressent dès la première saison du film ? Foin donc d’un superbe étalon allemand… Le feu court sous la paille… Et l’écran pâle de son « apple » (mazette !) s’ouvre à toutes les possibilités ! Ainsi la ronde des têtes chenues commence au chevet de la très jeune et jolie nymphe vénale et/ou aventureuse. 300 euros la passe ! Qui dit mieux !

    « Le cœur fou robinsonne à travers les romans, / Lorsque, dans la clarté d'un pâle réverbère, / Passe une demoiselle aux petits airs charmants, / Sous l'ombre du faux col effrayant de son père... » (Rimbaud, roman

    Un énième récit d’initiation ??? Même pas ! Car ce que montre ici Ozon ne soutient aucune réflexion… Quid des motivations, des raisons profondes d’un tel choix ? Quid de celles qui, pour des raisons économique en viennent à se transformer en objet ? Rien ! Le vide époustouflant d’un petit film bourgeois…
    « L’addition n’est pas détestable, portée par des plans amoureux de la jeune Marine Vatch à la bouche cerise et à la moue mutine »… Une fleur vénéneuse… Oui qui fit tourner la tête de la criticature ! Mais aussi une actrice objet boudeuse et agaçante en diable.
    « Une manière d'éprouver les pouvoirs et les limites de son corps sans passer par la case « petit ami » dixit la presse intello-bobo-élitiste prompte à louanger tout ce qui absous ses vices cachés !

    De belles images, peut-être… Un récit pas mal agencé, peut-être… Une belle nana qui fait saliver tous ces vieux messieurs au retour de la toile, certainement ! Et pour couronner le tout la jolie musique un peu mièvre (ce que l’on confond aujourd’hui avec de la profondeur) de notre chicos bobo/réac cartomancienne : Françoise Hardy.
    Heureusement la dernière saison relève les affaires de cuisse des trois premières… Et le twist final offert par Charlotte Rampling est vraiment la partie la plus touchante du film !

    A VOIR NÉANMOINS !

    « Il y a péril en la demeure, / Depuis que les femmes de bonnes mœurs, / Ces trouble-fête, / Jalouses de Manon Lescaut, / Viennent débiter leurs gigots / A la sauvette.
    Ell's ôt'nt le bonhomm' de dessus / La brave horizontal' déçue, / Ell's prenn'nt sa place. / De la bouche au pauvre tapin / Ell's retir'nt le morceau de pain, / C'est dégueulasse.
    Y a ces gamines de malheur, / Ces goss's qui, tout en suçant leur / Pouc' de fillette, / Se livrent au détournement / De majeur et, vénalement, / Trouss'nt leur layette.
    Y a ces p'tit's bourgeoises faux culs / Qui, d'accord avec leur cocu, / Clerc de notaire, / Au prix de gros vendent leur corps, / Leurs charmes qui fleurent encor / La pomm' de terre.
    Lors, délaissant la fill' de joie, / Le client peut faire son choix / Tout à sa guise, / Et se payer beaucoup moins cher / Des collégienn's, des ménagèr's, / Et des marquises. » (Brassens, Concurrence déloyale)
    Gaëlle C.
    Gaëlle C.

    17 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juin 2014
    Jeune et Jolie se présente totalement comme un film élitiste, se tournant dans un Paris très bobo, et dans un univers totalement hors de portée, sans aucune comparaison possible. Et ce choix aurait pu être doublement intéressant si Ozon avait creusé l'aspect psychologique de ses personnages, mais il tombe complètement à côté. Le film est de ce fait creux, glacial (surtout l'héroïne) et sans but. Pire, il semblerait même qu'à la fin, le message du film soit "prostituez-vous, c'est le fantasme de toutes femmes de se faire désirer et payer". Or,non Monsieur Ozon, cela n'est pas le fantasme de toutes, et si il l'est c'est tout aussi respectable. Bref, le jeu est plat, il n'y a aucune explication pour comprendre et se rapprocher de l'actrice principale. A regarder si vraiment la curiosité vous pique (ce qui a été mon cas) ou perdez votre temps à mieux faire.
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