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    Jeune & Jolie
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    cdf80
    cdf80

    8 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 octobre 2014
    Ce film est fascinant, il nous montre sous un jour des plus modernes une tranche de vie d'une adolescente. Cela déroute et dérange sans doute, et c'est à faire pâlir de peur n'importe quel parent de jeune fille (je parle en connaissance de cause). En effet cette période de la vie est celle de la provocation, du goût du risque, de l'expérience des premières désillusions, de l'utilisation à outrance des nouvelles technologies de communication alors en mélangeant tout cela Ozon nous propose une plongée dans une prostitution qui semble de prime abord un peu absurde et aberrante, mais il a l'intelligence de ne pas répondre vraiment aux inévitables questions qu'on se pose voire qui nous hantent bien après la projection. Et il y a Marina Vacth qui a la beauté du diable.
    jthuil
    jthuil

    13 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2014
    Faux film sur la prostitution, mais vrai film sur l'adolescence et l'oedipe "mal" réglé, sublimé par une photographie impeccable et la beauté troublante de Marine Vacth.
    zhurricane
    zhurricane

    82 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2014
    Dès le début du film on sent quelque chose qui va nous happer, qu'il va y avoir un truc de choquant. Après ce que je n'aime pas c'est que le film évolue de la mauvaise façon. En effet la fille évolue toujours trop vite. Du moins les étapes de son évolution sont parfois ellipsées. 000000000(spolier)Par exemple elle se transforme de fille sage à pute en n'en rien de temps et ensuite il a suffit la mort d'un client pour qu'elle redevienne très sage, je dirais même trop sage. Alors oui c'est justement une adolescente qui veut tester ses limites, qui s'auto détruit c'est ça la force du film, mais ça ne va pas assez loin, dommage on aurait pu avoir quelque chose de très fort. Mais bon il faut après tout prendre ce film pour ce qu'il est. Comme un portrait touchant d'une expérience hard dans la vie d'une jeune fille avant que la réalité ne la rattrape. D'ailleurs Ozon y dirige son actrice de main de maître, elle y est étincelante. Pour finir j'ai bien aimé la relation frère soeur qui est déjà choquante en elle même, j'ai bien aimé le caractère choquant du film mais comme je le disais j'aurais aimé qu'il aille encore plus loin.
    Claude DL
    Claude DL

    89 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2014
    Film vraiment très bien fait sur les dérives toujours possibles d'une adolescente qui s'ennuie entre sa famille recomposée, ses études au lycée, l'éveil de sa sexualité et qui veut goûter la liberté loin des convenances. La jeune et très belle actrice est troublante de naturel et les seniors se souviennent tous du passage difficile de leurs enfants par l'adolescence. Certes beaucoup de scènes osées, mais vulgarité absente. A voir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 septembre 2014
    Le titre est inspiré par un journal pour adolecentes des années quatre vingts et ça tombe bien car c’est l’histoire d’une demoiselle qui couche à droite à gauche et qui se fait payer. Et oui messieurs et dames, et en plus elle n’a pas besoin d’argent. « Elle n’a jamais manqué de rien » c’est peut-être à cause de ce type de phrase conformiste qu’on décide de désobéir, de vivre sa vie parrallèlement…

    Autre phrase débilisante : « Tout est plus clair » quand on paye le prix que ça coûte vraiment. Un objet, un service, une prestation. La pension que verse
    le papa parti à la maman, l’argent qu’il envoie à sa fille comme seul signe d’affection misérable, comme le prix des passes...
    videoman29
    videoman29

    242 abonnés 1 832 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2014
    Que voilà un beau film de société ! François Ozon propose un sujet pour le moins sulfureux et l'expose de manière particulièrement intelligente. Il met en scène cette jeune adolescente, issue de la petite bourgeoisie Parisienne, qui découvre sa sexualité et les profits qu'elle peut éventuellement en tirer. Cette plongée au cœur de la prostitution librement consentie interpelle par sa simplicité et son authenticité. Le réalisateur a l'intelligence de ne porter aucun jugement sur son « héroïne ». Il se contente de la laisser évoluer librement au sein de notre société tout en laissant le soin à chacun de se faire son opinion. Bien évidemment la réussite d'un tel film repose en grande partie sur la qualité de sa distribution. En l’occurrence, « Jeune et jolie » nous gâte avec un casting magnifique. Les acteurs sont tous parfaitement à la hauteur mais Marine Vacth porte littéralement le film sur ses jeunes épaules. Elle illumine l'écran et sa dernière scène avec Charlotte Rampling restera dans ma mémoire de cinéphile comme une des plus touchantes. J'ai parfois du mal avec le cinéma Français mais là....
    Vixare
    Vixare

    31 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2014
    Un film troublant et dérangeant qui pose de nombreuses questions sur l'adolescence, la recherche d'une identité, la fragilité mentale et morale, le regard parental, la découverte de la sexualité et les rapports à l'argent, à la prostitution. Sublimée par la caméra de François Ozon, l'indécente beauté de la jeune Marina Vacht glace l'écran lorsqu'elle montre le désarroi de l'adolescente, plongée dans un jeu sexuel sans aucun but matériel. On est bien loin des clichés éprouvés sur le thème de la prostitution, et l'on se surprend, horrifié en plein délit de voyeurisme, à suivre le parcours d'une jeune adolescente, délaissée par ses partenaires mais fascinée par son propre pouvoir sexuel sur les hommes qu'elle rencontre. Et même si l'impression est parfois malsaine, Ozon garde une certaine distance dans sa façon de narrer son histoire. Au final, il s'agit d'un film osé, qui pose de nombreuses questions sur un sujet taboo ... Pari réussi !
    Celestia T.
    Celestia T.

    1 abonné 48 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    La grande qualité de "Jeune et Jolie" réside dans sa simplicité. Le film n'impose aucun discours véhément au sujet de la prostitution. Le regard porté étant presque neutre, c'est au public de se faire sa propre opinion. Mais la tâche n'est pas aisée, parce que la belle Isabelle a une attitude détachée vis-à-vis de son activité de prostitution. Même le passage chez le psychologue, auquel elle doit se confier, ne révèle rien de ses pensées profondes. Comment expliquer qu'une jeune fille aisée, ne manquant de rien, puisse entacher à jamais sa vie en se donnant à des inconnus ? La réalisation est tout à fait satisfaisante, mais je trouve que le sujet n'est pas suffisamment exploité. Le scénario est trop lisse, l'ensemble manque de rebondissements. Je reproche aussi au film la manière dont la prostitution est représentée - tout semble trop facile - : les hommes respectent (globalement) la jeune fille, la mise au jour de son activité choque sa famille sans la bouleverser profondément, et la fin laisse perplexe. En voulant être trop neutre, "Jeune et Jolie" en est presque dérangeant, et il est difficile de se faire une idée claire du message véhiculé par le film. Un film qui marque, mais pas vraiment pour les bonnes raisons. Dommage...
    Peyton28
    Peyton28

    24 abonnés 331 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2014
    Marine Vacth est brillante et excellente dans le rôle d"'Isabelle", elle est d'une fraîcheur, d'une beauté, d'un talent immense, elle nous charme et nous enivre par la même occasion, elle m'a bluffée dans ce film.
    Le scénario est vraiment bien écrit, merci à François Ozon pour ça. La mise en scène, les acteurs, les musiques, les dialogues: Tout nous embarque dans l'univers d'Isabelle, c'est une vraie surprise et un très bon film.
    Que feriez-vous si vous appreniez que votre fille de 17ans était devenue prostituée du jour au lendemain?
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    289 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2014
    Un film qui me réconcilie avec le cinéma de François Ozon, qui ne m'a pas toujours convaincu avec ses films. "Jeune et jolie" a le mérite d'évoquer un fait d'actualité, la prostitution chez de jeunes femmes, même s'il s'agit généralement d'étudiantes, alors que l'on a affaire ici à une lycéenne. Marine Vacth, effectivement jeune et jolie, brille à l'écran, et convainc largement dans son rôle de victime d'un système dans lequel elle se sera enfermée toute seule. La réalisation est sobre mais efficace, et laisse place à un scénario très bien écrit. Les scènes fortes sont surtout présentes dans la première partie du film, qui tend à perdre en épaisseur à mesure qu'on se rapproche de la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 septembre 2014
    Pour commencer ma critique (qui racontera le coeur de l'histoire), je reprendrai l'expression de Danièle Heymann prononcé dans Le Masque et la plume au sujet de Jeune & jolie de François Ozon : ce film est "un miracle".
    Miracle, car il surpasse les attentes, le spectateur croit venir voir un film sur un jeune fille de 17 ans qui se prostitue, ce qui devrait impliquer : psychologisation du personnage principal, problème dans l'enfance pour expliquer un tel comportement, en somme de "la moraline". Or, il voit là un portrait sensible d'une fille de 17 ans, sublimement interprété par Marine Vacht, sous une forme tragique.
    Forme tragique en 4 actes, 4 saisons, 4 chansons de François Hardy.
    spoiler: Premier acte, l'été : la plage, l'amour passager. Le spectateur découvre doucement Isabelle et son caractère particulier, un mélange de sensibilité exacerbée et de force intérieure. Sa relation amoureuse de vacances avec un jeune allemand apparaît rapidement comme l'opportunité de découvrir sa sexualité, mais la première fois est douloureuse, le réalisateur montre l'actrice se dédoublant, elle se regarde, elle est spectatrice et non actrice. On est étonné de voir la distance qu'installe Isabelle entre elle et son "ami" allemand. Ce n'est pas une distance seulement liée à un manque de sentiment d'elle envers lui, c'est l'expression de sa différence. Une fois ce thème mis à la vision du spectateur, le premier acte est terminé. Deuxième acte, l'automne : on découvre Isabelle sortant du métro, se dirigeant vers un grand hôtel, le tout sublimé par Ozon. Le spectateur découvre que la jeune fille qui monnaye ses charmes, sa première expérience est avec un vieil homme, cela la gêne au premier abord, mais au premier abord seulement. S'ensuit de nombreuses autres expériences. On voit qu'Isabelle est d'un milieu aisé, bourgeois, elle étudie à Henry IV. Ses éléments mis à la disposition du spectateur par le réalisateur l'amène à se demander le pourquoi de ses actions. Elle a tout, outre sa beauté, elle est choyé par sa mère et son beau-père, sa relation avec son petit frère est sereine (et agréable à regarder !). Les pièces sont posées, le portrait s'affine, il va s'affiner de plus en plus, derrière sa beauté juvénile, sa grâce naturelle, elle renferme quelque chose de profond, le vieil homme avec qui elle monnaye "ses services" décrit ses yeux comme ceux "de la mélancolie". Les éléments de la tragédie sont mis en place, l'évènement tragique se produit, lors d'une de ses fins d'après-midi devenues courantes, le vieil homme, avec qui une relation presque amicale s'est nouée, décède pendant l'acte. L'évènement tragique est arrivé, il est inévitable, deux choix s'offre au protagoniste principal, prendre la fuite en espérant que personne ne découvrira son activité ou appeler les secours pour ce vieil homme, qu'elle a tenté de réanimer sans résultat, mais au prix de la découverte de son secret. Sous le choc, elle choisit la première option. Troisième acte, l'hiver, long et douloureux hiver : il s'ouvre sur l'annonce de la police judiciaire, suite à une enquête résultant de la mort de l'homme âgé, à la mère d'Isabelle des activités de sa fille, tout s'écroule pour elle, elle va tenter de comprendre pourquoi sa fille fait cela. Elle est effrayée par ses actions. Mais, ne comprendra jamais pourquoi. Quand on lui propose d'aller voir un psy, Isabelle refuse d'abord, avant d'accepter mais elle sait bien que cela n'aura aucun effet, car elle le dit, elle n'est pas folle, la thérapie par la parole ne changera rien, on ne saura pas pourquoi ses actes, car elle ne le sait pas elle-même. Elle ne le sait pas, le réalisateur intelligemment ne tombe pas dans de la psychologie idiote, la seule raison qui est expliqué l'est déjà dans la bande-annonce, une première transgression et puis un désir, désir beau mais violent et dangereux cela est expliqué dans plan magnifique sur la bouche d'Isabelle. Le portrait s'affine une nouvelle fois par la différence sublime de son être, sa sensibilité la guide et la rend froide avec certains, c'est sa mélancolie. La réalisateur dresse un portrait plein de cette jeune fille fascinante. Quatrième acte, la vie tente de reprendre son cour : sa mère qui a culpabilisé, de manière logique bien qu'elle n'est rien à voir avec les activités de sa fille, tente de lui refaire confiance, comme un moyen pour essayer de la sortir de l'eau dans laquelle la première croit qu'elle est tombée à la différence de la seconde. Un amour passager démontre une nouvelle fois le caractère particulier de cette jeune fille. Mais, son avenir est incertain, le réalisateur joue avec le spectateur en lui faisant croire qu'elle retombe dans ses activités, elle va plutôt revenir à l'endroit de la mort de l'homme. Mais, comment analyser la fin et l'hypothétique suite ? Rien ne nous dit qu'elle ne retombera pas dans la prostitution, le tragique doit toujours rester à l'esprit.

    Ce long résumé avait pour but de louer la réalisation superbe d'Ozon, la prestation géniale de Marine Vacht (et de tous les acteurs en général) et les grandes sensations produites par ce long-métrage. Le tout avec trois très beaux morceaux de Philippe Rombi.
    Un bijou sensible.
    Hastur64
    Hastur64

    222 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 septembre 2014
    Je ne suis pas un grand connaisseur du cinéma de François Ozon, mais le 4 ou 5 films que j'ai vu de lui m'avaient toujours beaucoup plu, c'est donc peu dire que j'allais voir "Jeune & jolie" en toute confiance et ce d'autant plus que les critiques avaient été plutôt élogieuses à son sujet. Las, je dois malheureusement dire que je n'ai vraiment pas aimé ce que j'ai vu. Loin de trouver le film d'une grande profondeur, je dois avouer que pour ma part je l'ai trouvé carrément vain, même s'il ne m'a pas ennuyé. En fait je crois que c'est l'héroïne même du film qui m'a le plus posé problème, tant son mutisme, sa mélancolie et, pourquoi ne pas le dire, sa froideur me l'ont aliénée. Je n'ai pas eu pour elle d'empathie et parfois j'ai éprouvé pour ces parents et surtout sa mère plus de sympathie que pour celle qui ne m'a paru être qu'une petite adolescente bourgeoise gâtée pourrie qui pour tromper son ennuis, et sa vacuité intérieure, se lance dans la prostitution. D'ailleurs le film qui traite de cela pendant la première partie (en gros une grosse moitié du long-métrage), ne devient un peu intéressant que dans la deuxième partie après que la double vie d'Isabelle soit exposée et encore il finit tout de même par retomber comme son personnage principal dans une neurasthénie peu engageante qui rend l'apparition du générique bienvenue. L'esthétique du film et la mise en scène sont très belles à contempler, comme le physique incroyable de Marine Vacth, mais ces qualités harmonieuses ne compensent pas une intrigue sans objet qui ne fait que mettre en lumière des pratiques déjà bien documentées par des reportages et des émissions. Un film d'Ozon vraiment très décevant qui ne mérite, à mon humble avis, pas tout le parfum flatteur qui a accompagné ses présentations dans les festivals et sa sortie dans les salles. Pas vraiment indispensable en fin de compte.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 954 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2022
    Portrait troublant d’une jeune fille aussi belle que vénéneuse, illuminée par l'interprétation de la jeune Marine Vatch qui crève l’écran.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 932 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 août 2014
    Voilà un sujet sensible bien traité ni racoleur ni moraliste. Cela ne m’a pas du tout gêné de ne pas savoir les motivations d’Isabelle. Ce qu’elle confesse à la police me suffit et comme sa mère, cela ne m’empêche pas d’être démangé par la curiosité. Les scènes de sexe sont sagement bien filmées, c’est un minimum pour illustrer et crédibiliser l’histoire. J’ai apprécié que le réalisateur n’ait pas fait preuve de pudibonderie pour ménager des susceptibilités hypocrites. Marine Vacth est une découverte agréable au-delà de son corps, son jeu est intéressant, tout en nuance dans ses regards, ses rictus, ses silences. Un bon Ozon.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 août 2014
    Jeune et jolie est assez semblable au précédent film de François Ozon, Dans la maison, mais ce dernier était beaucoup mieux réussi. Ce film la est bien moins prenant et contrairement à son prédécesseur, la psychologie du personnage n'est pas vraiment aboutie et il manque quelque chose au film pour qu'il soit vraiment bon, on a l'impression que le réalisateur ne va jamais au bout des argument qu'il avance et contrairement à Dans la maison, le personnage principale n'est à pas vraiment intéressant et d'ailleurs, beaucoup considèrent l'interprétation de Marine Vacth comme très bonne mais j'ai trouvé que son visage ne laissait transparaître aucune émotion sincère et quand elle essaye de jouer la tristesse ou la mélancolie, j'ai eu plus l'impression qu'elle manquait de sommeil. Pour continuer la comparaison avec Dans la maison, ce film ne va assez loin et assez profondément dans l'analyse de la psychologie de son personnage principal, ce qui donne une vague impression de vide, le film aurait pu être bien meilleur.
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