Que penser de Camping 3, avec un jugnot à contre emploi qui, une fois de plus, se fourvoit, empêtré dans un rôle caricatural ridicule, (grand?) père d'une jeune fille "chelou", caricature de la jeunesse 2015 (et 2023, avec "8 ans d'avance") avec son adjectif caillera banlieusard préféré (chelou, donc), aujourd'hui dans toutes les séries françaises à petit budget peu (pas) inspirées, qui polluent les écrans hd ou 4 k(k)...Que penser donc de Camping 3, avec toujours ce doux parfum vintage assumé qui sent bon les campings de jadis, années 70/80, d'un Dubosc tendre/amer toujours fidèle à lui-même, un peu "moche" en maillot de bain cintré, "coeur sur la main" qui lui va si bien, hébergeant 3 jeunes bobos français sortis du magazine gay "têtu" pour la "plastique" et le badinage pseudo-mielleux plein de (faux) bons sentiments qui va avec, Duléry, pas en reste pour enfoncer le clou du "je suis peut-être gay" de circonstance qui va très bien dans le décor pour faire "genre (j'y touche pas mais ça serait bien quand même d'essayer au moins 1 fois..) hype" d'avec la société faussement permissive et libérée d'aujourd'hui, Brasseur (paix à son âme)...Ouais, que penser de ce film qui, en dehors de son aspect consensuel et convenu, au parfum "chelou" d'un camping (Paradis..?) qui n'évite aucun poncifs (Oh, Duléry serait gay et, Dubosc, en bon franchouillard gaulois de 'bon aloi" vexé ne voudrait plus lui parler, Oh...Que c'est dommage de chercher un ailleurs "paradisiaque", ou les différences seraient toujours interdites, pointés du doigt, avec ce film en dehors des clous, pas "chelou" pour un sou...