Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
De la nostalgie et de bons gags bien plantés.
Le Parisien
par Thierry Dague
Malgré ses blagues limites sur les homos ou les handicapés, Chirac-Dubosc, éternel loser toujours aussi attachant, gagne en sensibilité. Derrière les éclats de rire pointent le chômage, le vieillissement et la solitude. Ce « Camping 3 » nous ferait presque pleurer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Public
par Florence Roman
Après un "Camping 2" poussif et répétitif à souhait, le réalisateur Fabien Onteniente et son acteur fétiche, Frank Dubosc, redonnent des couleurs à la saga estivale.
TF1 News
par Yves Grosjean
On est content de retrouver ce cher Patrick Chirac/Franck Dubosc dans ce troisième volet de "Camping", qui ô surprise pourrait bien être le meilleur de la saga.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une réussite qui repose sur l'abatage sensible et clownesque de Franck Dubosc.
CNews
par La Rédaction
Même si le décor reste le même et que l’intrigue est cousue de fil blanc, on appréciera de retrouver cette bande de joyeux drilles, qui se balancent des vannes comme un ballon dans une partie de volley-ball sur la plage
Closer
par La Rédaction
Après avoir testé le covoiturage, Patrick Chirac se retrouve à devoir héberger des jeunes pour un "cocouchage" qui va bouleverser la routine du camping des Flots bleus.
L'Express
par Eric Libiot
"Camping 3" n'est pas un mauvais film. Pas de quoi jouer au volley-ball à poil, mais il y a, de la part de Fabien Onteniente et de Franck Dubosc, une tentative touchante de s'éloigner du potache gras pour croquer l'air du temps intergénérationnel.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Télé 2 semaines
par Jérémy Mingot
Les personnages incarnés par Franck Dubosc et Claude Brasseur réussissent à apporter une touche de sincérité. Sur la durée hélas, pas mal de clichés finissent par s’accumuler. Si les amateurs des deux premiers volets de la saga devraient s’en accommoder, les autres pourraient trouver le temps un peu long.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télérama
par Guillemette Odicino
Le film est moyen : à la frontière entre gags médiocres (notamment sur l'homosexualité) et moments très réussis.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Onteniente réunit sa brochette habituelle de Français moyens. Mais en les dotant d’une pointe supplémentaire de tendresse et en leur permettant de porter un regard ironique mais juste sur l’évolution de notre société, il leur évite de tomber dans le piège de la « beaufitude » qui les menace. Une agréable surprise !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
GQ
par Toma Clarac
Dans cet ouvrage "téléfilmé" pas vraiment réhaussé par la présence de Gérard Jugnot, seul Franck Dubosc parvient à nous amuser, en dépit d'un penchant nébuleux pour les Village People, dont il était déjà beaucoup question dans son premier spectacle il y a bien longtemps.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Apéro, drague, copains, problèmes de couple, c’est toujours la même histoire estivale. Sur une mise en scène datée, le scénario est parfois paresseux, parfois souriant. Si on aime le camping…
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La suite des aventures en tongs de Patrick Chirac. Balourd mais attachant.
Première
par Sylvestre Picard
Onteniente ne cherche pas tant à faire une comédie grassement beauf : son but de cinéma depuis toujours (...), c'est d'émouvoir à la Michel Lang, ou façon socio-comédie anglaise à la "The Full Monty" (...). Mais tant qu’il n'y aura pas un vrai scénario en lieu et place du chapelet de sketches façon Rires et chansons, les vacances au camping seront toujours un peu ratées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Si l'intrigue se révèle moins paresseuse que dans le catastrophique "Camping 2", l'absence cruelle de finesse, de rythme et d'originalité reste patente, empêchant de transformer de trop rares sourires (...) en un seul éclat de rire, même tout petit et coupable.
VSD
par Olivier Bousquet
Le deuxième épisode était, comment dire, embarrassant. "Camping" troisième du nom n’est pas pire. Faut-il crier au chef-d’œuvre pour autant ? Euh, non.
La critique complète est disponible sur le site VSD
Voici
par La Rédaction
Dubosc, impec dans son genre, est le seul personnage intéressant de cette suite bâclée, rythmée par les blagues d'apéro, où les autres font tapisserie.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Lors de la projection de presse, au spectacle du dragueur ne parvenant pas à dégager sa chaussure collée par un énorme chewing-gum, plusieurs confrères se marraient comme des baleines. Ah, les heureuses natures !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Face à l’absence de scénario et à la vacuité des personnages, on se dit que la recette est infinie et on redoute déjà le Camping 4.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un scénario qui s’essaie à relancer le camping franchouillard en lui insufflant un coup de jeune. Problème : ça le ringardise plutôt…
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Gags éculés, humour crasse, apologie du quant-à-soi, personnages confits dans leur médiocrité qu’un doigt de tendresse fait semblant de rattraper, in extremis, par le slip.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Femme Actuelle
De la nostalgie et de bons gags bien plantés.
Le Parisien
Malgré ses blagues limites sur les homos ou les handicapés, Chirac-Dubosc, éternel loser toujours aussi attachant, gagne en sensibilité. Derrière les éclats de rire pointent le chômage, le vieillissement et la solitude. Ce « Camping 3 » nous ferait presque pleurer.
Public
Après un "Camping 2" poussif et répétitif à souhait, le réalisateur Fabien Onteniente et son acteur fétiche, Frank Dubosc, redonnent des couleurs à la saga estivale.
TF1 News
On est content de retrouver ce cher Patrick Chirac/Franck Dubosc dans ce troisième volet de "Camping", qui ô surprise pourrait bien être le meilleur de la saga.
Télé 7 Jours
Une réussite qui repose sur l'abatage sensible et clownesque de Franck Dubosc.
CNews
Même si le décor reste le même et que l’intrigue est cousue de fil blanc, on appréciera de retrouver cette bande de joyeux drilles, qui se balancent des vannes comme un ballon dans une partie de volley-ball sur la plage
Closer
Après avoir testé le covoiturage, Patrick Chirac se retrouve à devoir héberger des jeunes pour un "cocouchage" qui va bouleverser la routine du camping des Flots bleus.
L'Express
"Camping 3" n'est pas un mauvais film. Pas de quoi jouer au volley-ball à poil, mais il y a, de la part de Fabien Onteniente et de Franck Dubosc, une tentative touchante de s'éloigner du potache gras pour croquer l'air du temps intergénérationnel.
Télé 2 semaines
Les personnages incarnés par Franck Dubosc et Claude Brasseur réussissent à apporter une touche de sincérité. Sur la durée hélas, pas mal de clichés finissent par s’accumuler. Si les amateurs des deux premiers volets de la saga devraient s’en accommoder, les autres pourraient trouver le temps un peu long.
Télérama
Le film est moyen : à la frontière entre gags médiocres (notamment sur l'homosexualité) et moments très réussis.
aVoir-aLire.com
Onteniente réunit sa brochette habituelle de Français moyens. Mais en les dotant d’une pointe supplémentaire de tendresse et en leur permettant de porter un regard ironique mais juste sur l’évolution de notre société, il leur évite de tomber dans le piège de la « beaufitude » qui les menace. Une agréable surprise !
GQ
Dans cet ouvrage "téléfilmé" pas vraiment réhaussé par la présence de Gérard Jugnot, seul Franck Dubosc parvient à nous amuser, en dépit d'un penchant nébuleux pour les Village People, dont il était déjà beaucoup question dans son premier spectacle il y a bien longtemps.
Le Journal du Dimanche
Apéro, drague, copains, problèmes de couple, c’est toujours la même histoire estivale. Sur une mise en scène datée, le scénario est parfois paresseux, parfois souriant. Si on aime le camping…
Les Inrockuptibles
La suite des aventures en tongs de Patrick Chirac. Balourd mais attachant.
Première
Onteniente ne cherche pas tant à faire une comédie grassement beauf : son but de cinéma depuis toujours (...), c'est d'émouvoir à la Michel Lang, ou façon socio-comédie anglaise à la "The Full Monty" (...). Mais tant qu’il n'y aura pas un vrai scénario en lieu et place du chapelet de sketches façon Rires et chansons, les vacances au camping seront toujours un peu ratées.
Studio Ciné Live
Si l'intrigue se révèle moins paresseuse que dans le catastrophique "Camping 2", l'absence cruelle de finesse, de rythme et d'originalité reste patente, empêchant de transformer de trop rares sourires (...) en un seul éclat de rire, même tout petit et coupable.
VSD
Le deuxième épisode était, comment dire, embarrassant. "Camping" troisième du nom n’est pas pire. Faut-il crier au chef-d’œuvre pour autant ? Euh, non.
Voici
Dubosc, impec dans son genre, est le seul personnage intéressant de cette suite bâclée, rythmée par les blagues d'apéro, où les autres font tapisserie.
L'Obs
Lors de la projection de presse, au spectacle du dragueur ne parvenant pas à dégager sa chaussure collée par un énorme chewing-gum, plusieurs confrères se marraient comme des baleines. Ah, les heureuses natures !
La Voix du Nord
Face à l’absence de scénario et à la vacuité des personnages, on se dit que la recette est infinie et on redoute déjà le Camping 4.
Le Dauphiné Libéré
Un scénario qui s’essaie à relancer le camping franchouillard en lui insufflant un coup de jeune. Problème : ça le ringardise plutôt…
Le Monde
Gags éculés, humour crasse, apologie du quant-à-soi, personnages confits dans leur médiocrité qu’un doigt de tendresse fait semblant de rattraper, in extremis, par le slip.