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I'm A Rocket Man
288 abonnés
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1,5
Publiée le 18 janvier 2019
Téléfilm qui est censé dénoncer mais qui est trop convenu, trop cliché et trop académique pour contenter. Rarement vu des personnages si lisses et si agaçants !! Un raté monumental !!
Ce film dure 1H26. Il est diffusé soit sur France O soit sur les chaînes publiques de l'outremer. L'histoire se déroule à l'époque du procès de Dreyfus. Le film commence de cette façon : le spectateur voit de loin, un homme inconnu à cheval, qui avance et demande son chemin et ensuite une main gantée frappe à la porte. La caméra utilise le plan large et éloignée. Le spectateur comprend qu'il y a quelque chose d'anormal, en regardant la réaction des personnages blancs que rencontre cet étrange voyageur/visiteur. Pour faire simple, le scénario est basé sur la description des préjugés en Charente. Il faut attendre la fin du film pour savoir quelle est la femme qui a la préférence du mystérieux visiteur. En lisant le générique final, le spectateur lit que la Charente Maritime a aidé à la fabrication du film. Je donne 4 étoiles et demie.
L'homme qui venait d'ailleurs (2004) France Ô ke 12.11.2016
Dommage : le réalisateur François Luciani semble avoir remisé ses caméras aux vestiaires depuis 2008. Dommage parce que grâce à lui, les téléspectateurs de France Ô, pas toujours gâtés par le service public, ont pu se régaler d'un film vieux il est vrai de 2004, mais méritant l'exhumation. Un film bien travaillé et mûrement préparé semble-t-il car il se savoure comme un cocktail glacé pendant une canicule. Pour résumer le scénario, c'est une espèce de Docteur Knock à la sauce raciste ou plutôt un toubib martiniquais qui débarqua jadis, en Charente...La réalisation est parfaite, et Frédérique Armand doit être félicitée pour son casting : elle frise le sans-faute avec des comédiens qui semblent faits sur mesure pour leurs rôles Une mention spéciale pour Laure Marsac qui cabotine avec beaucoup de bonheur, et Barbara Schultz, parfaite. La faiblesse vient du scénario qui souffre des troubles courants chez les récits à deux mains : on ne sait pas trop bien où chacun des deux plumitifs veut nous emmener et ce récit à un goût d'inachevé. Il ne dure du reste que 90 mn avec une fin qui ne me satisfait guère et qui en laissera beaucoup sur leur faim. Dommage. willycopresto