Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
De ce mélange frappé nait une agréable surprise. "Oh Boy" est de l’essence des premiers films pétris d’influences où se distingue la patte d’un auteur à suivre.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Metro
par Medhi Omaïs
(...) vingt-quatre heures de rencontres bigarrées que nous conte le cinéaste Jan Ole Gerster dans ce premier film à la fois beau, désabusé et jazzy. (...) le résultat, porté tout en légèreté par le comédien Tom Schilling, a le charme d'un Woody Allen.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Ecran Large
par Matthieu Leniau
Grâce à un scénario modeste et fluide, chargé de dialogues incertains mais pleins de vie, le film allie finesse et pince-sans-rire, pour aboutir à un résultat des plus captivants.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Florence Ben Sadoun
Ce premier film peut ressembler, par ses aspects comiques, à "After Hours", de Scorsese (...). D'une course à l'expresso à une quête d'identité... un film charmant bricolé par Jan Ole Gerster.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Libération
par Gilles Renault
Sans excès démonstratif, cette galerie de portraits contemporains forme un ensemble cohérent qui confirme, en substance, que l’on est toujours potentiellement l’importun ou la béquille d’autrui.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
Quelque part entre dandysme Nouvelle Vague et glande wendersienne, Jan Ole Gerster chante là la permanence d'un certain je-m'en-foutisme berlinois, comme une forme de résistance souriante au cinéma ampoulé, à Merkel, à l'euro, à tout ce que vous voudrez.
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une œuvre de jeunesse joliment désabusée (…) qui séduira les amoureux d'un cinéma farouchement indépendant. On en ressort les yeux gorgés d'images et les oreilles bercées de répliques décalées. Le renouveau du cinéma allemand.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Un certain charme opère (…). Dommage que la structure du récit soit si compartimentée et empêche d’évoluer vers le romanesque.
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
L’errance très « Nouvelle vague » d'un jeune fils à papa berlinois désabusé, aurait pu avoir du charme, si l’"After Hours" de Scorsese ou Woody Allen n’étaient pas déjà passés par là. Las, Berlin se prend un peu trop pour "Manhattan", sans en avoir l’étoffe jazzy.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
"Oh Boy" répond avec habileté aux contraintes et aux attentes d'un premier film : avec son atmosphère travaillée, sa narration libre, et une tonalité tragicomique, le film touche, mais manque de piquant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Bernard Achour
Une fin en queue de poisson arbitrairement tragico-moralisatrice entame le capital sympathie du film.
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
(...) son scénario et sa mise en scène s’appuient sur des béquilles beaucoup trop voyantes qui enferment le film dans un exercice de style par trop scolaire et mécanique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Les rencontres successives de Niko s'organisent comme dans un film à sketchs, réalisé avec savoir-faire, mais qui perd de son charme à mesure qu'il s'enferme dans le procédé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marianne Fernandez
La mise en scène reste à la surface du sentiment d’étrangeté dont il est question. "Oh Boy" n’en est qu’une vitrine qui peine à dépasser l'anecdote.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
L’ennui est tel qu’on s’interroge sur les raisons de cet enthousiasme, outre-Rhin, qui reste pour le moins mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) Le film a peut-être séduit pour la manière apaisée qu'il a d'aborder le parti nazi comme un élément historique sur lequel on peut aujourd'hui faire des blagues. La haine de soi qui se distille tout du long suggère pourtant que ce n'est pas si simple.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
De ce mélange frappé nait une agréable surprise. "Oh Boy" est de l’essence des premiers films pétris d’influences où se distingue la patte d’un auteur à suivre.
Metro
(...) vingt-quatre heures de rencontres bigarrées que nous conte le cinéaste Jan Ole Gerster dans ce premier film à la fois beau, désabusé et jazzy. (...) le résultat, porté tout en légèreté par le comédien Tom Schilling, a le charme d'un Woody Allen.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Ecran Large
Grâce à un scénario modeste et fluide, chargé de dialogues incertains mais pleins de vie, le film allie finesse et pince-sans-rire, pour aboutir à un résultat des plus captivants.
Elle
Ce premier film peut ressembler, par ses aspects comiques, à "After Hours", de Scorsese (...). D'une course à l'expresso à une quête d'identité... un film charmant bricolé par Jan Ole Gerster.
Libération
Sans excès démonstratif, cette galerie de portraits contemporains forme un ensemble cohérent qui confirme, en substance, que l’on est toujours potentiellement l’importun ou la béquille d’autrui.
Positif
Quelque part entre dandysme Nouvelle Vague et glande wendersienne, Jan Ole Gerster chante là la permanence d'un certain je-m'en-foutisme berlinois, comme une forme de résistance souriante au cinéma ampoulé, à Merkel, à l'euro, à tout ce que vous voudrez.
aVoir-aLire.com
Une œuvre de jeunesse joliment désabusée (…) qui séduira les amoureux d'un cinéma farouchement indépendant. On en ressort les yeux gorgés d'images et les oreilles bercées de répliques décalées. Le renouveau du cinéma allemand.
Cahiers du Cinéma
Un certain charme opère (…). Dommage que la structure du récit soit si compartimentée et empêche d’évoluer vers le romanesque.
Le Figaroscope
L’errance très « Nouvelle vague » d'un jeune fils à papa berlinois désabusé, aurait pu avoir du charme, si l’"After Hours" de Scorsese ou Woody Allen n’étaient pas déjà passés par là. Las, Berlin se prend un peu trop pour "Manhattan", sans en avoir l’étoffe jazzy.
Les Fiches du Cinéma
"Oh Boy" répond avec habileté aux contraintes et aux attentes d'un premier film : avec son atmosphère travaillée, sa narration libre, et une tonalité tragicomique, le film touche, mais manque de piquant.
Première
Une fin en queue de poisson arbitrairement tragico-moralisatrice entame le capital sympathie du film.
TéléCinéObs
(...) son scénario et sa mise en scène s’appuient sur des béquilles beaucoup trop voyantes qui enferment le film dans un exercice de style par trop scolaire et mécanique.
Télérama
Les rencontres successives de Niko s'organisent comme dans un film à sketchs, réalisé avec savoir-faire, mais qui perd de son charme à mesure qu'il s'enferme dans le procédé.
Critikat.com
La mise en scène reste à la surface du sentiment d’étrangeté dont il est question. "Oh Boy" n’en est qu’une vitrine qui peine à dépasser l'anecdote.
La Croix
L’ennui est tel qu’on s’interroge sur les raisons de cet enthousiasme, outre-Rhin, qui reste pour le moins mystérieux.
Le Monde
(...) Le film a peut-être séduit pour la manière apaisée qu'il a d'aborder le parti nazi comme un élément historique sur lequel on peut aujourd'hui faire des blagues. La haine de soi qui se distille tout du long suggère pourtant que ce n'est pas si simple.
Le Parisien
[Une] tranche de vie insipide.