Avis : Love And Monsters - Page 8

Prenez ‘Zombieland et son univers post-apo, remplacez les morts-vivants par des insectes et batraciens montés en graine et voilà, vous tenez votre ‘Love and monsters’, odyssée initiatique d’un ado maladroit pour rallier le bunker où aurait survécu son amour d’avant la chute de la civilisation. Il n’y aurait donc rien de très original à tirer du film, si ce n’est des monstres géants visuellement très bien fichus alors que le projet fait par ailleurs preuve d’une évidente modestie ? Non, définitivement rien d’original...mais à bien y regarder, quand le cinéma de genre américain mainstream a-t-il été original pour la dernière fois ? Aujourd’hui, au-delà de qualités proprement cinématographiques, ce n’est plus tellement l’intelligence du projet qui séduit mais l’état d’esprit dans lequel il a été conçu. Je n’ai d’ailleurs pas été tout à fait précis avec ma référence à ‘Zombieland’ : le second volet de cette franchise était agréable mais il n’était aussi que l’application scrupuleuse de ce qui avait fonctionné dans le précédent dix ans plus tôt ; il s’agissait donc d’une démarche empreinte d’ironie post-moderne vis-à-vis de l’ironie post-moderne du premier volet, mais aussi d’opportunisme, voire même de cynisme. Alors que ‘Zombieland’ premier du nom, justement...il s’en dégageait une irrésistible spontanéité, une certaine innocence même, avec ces tentatives d’humour méta dont personne ne savait comment elles allaient être perçues : on peut discuter l’originalité, on peut ergoter sur le savoir-faire mais en 2009, ‘Welcome to Zombieland’ était “Fresh””. Et c’est exactement la même impression qui se dégage de ‘Love & monsters’, au-delà de ses limitations, de son peu d’ambition et de ses maladresses : un truc sincère, un truc qui ne recoupe les clichés du genre que par inadvertance, un truc qui a juste ce qu’il faut de naïveté et de bons sentiments pour ne pas devenir le perdreau filmique de l’année, et juste ce qu’il faut de violence et de trucs gluants pour marquer les jeunes spectateurs : en résumé, une production Amblin arrivée avec 35 ans de retard. N’étant moi-même pas pas né de la dernière pluie, je sais que la sincérité n’est qu’un choix de ciblage et une posture parmi d’autres mais si le cinéma est l’art de l’illusion, alors celle-ci me convient tout à fait.

Il y a beaucoup de similitudes entre Love And Monsters et Zombie Land même si certaines personnes ont suggéré que ce film est un peu plus orienté vers la famille. Je pense que les similitudes résident dans le fait que les deux films se déroulent dans un paysage post-apocalyptique et que les deux films sont assez légers et ont pour personnage principal un individu plutôt geek. Je ne considère pas qu'il s'agisse d'un film à mourir de rire pas comme Zombieland que je n'avais de toute façon pas aimé. Par exemple j'ai beaucoup aimé le chien surtout quand tout le monde s'y réfère comme à un garçon. En fait le chien était un ajout vraiment cool a l'histoire surtout qu'il était à peu près aussi excentrique que certains des personnages. Malgré quelque défauts j'ai bien aimé ce film d'autant plus que comme le suggère le titre il parle d'amour et de la façon dont l'amour vous fait faire des choses assez stupides comme traverser un terrain vague infesté de monstres à la recherche de votre amour perdu même si celui-ci ne vous aime plus forcément ça m'a rappelé mes gaffes d'adolescent. Je suppose qu'il s'agit aussi de prendre une certaine forme de responsabilité et de voir comment nos décisions peuvent définir nos personnages surtout si nous faisons quelque chose de dangereux comme traverser un royaume infesté de monstres. Cependant comme je l'ai indiqué il s'agit d'un film plutôt cool et c'est certainement un film que j'aurais fini par regarder s'il était dans les cinémas dans mon pays...

Un film d'aventure SF avec un scénario simple mais qui fait le job. On s'attache direct au héros et à son magnifique chien. Les effets spéciaux sont top et les différents monstres hyper bien pensés. En effet, ces derniers constituent vraiment le gros point fort de cette production.

Film sans pretention. Avec une histoire simple et de l'action faible mais equilibré !!!
Film a moyen budget ou les montres sont super bien realisé et originaux ( on a pas une vulgaire fourmi geante ou un vers de terre de 50m de long !!!). Le danger sur terre est tres bien representé !! En gros, il y a danger mais c'est comme tout, on apprend a les eviter en allant plus loin que la peur et sans tuer tout ce qui bouge sans reflechir . Il y a pas une avalanche de monstres mais chacun fait peur a sa facon. On est presque dans le concept de "Maman j'ai retrecie les gosses" ou le simple fait de traverser le gazon miniaturisé est un danger en soit !! Mais les bebetes , meme immenses, restent des bebetes qui cherchent uniquemet a manger !!!
Et notre heros, heros malgré lui, est tres proche de nous. On est pas des gens courageux qui saute et tire sur la bebete telle un Rambo !! Plutot un mec tres peureux et tetaniser par ce qu'il y a devant lui !!! On se reconnait tous en lui...

Un 2 serait appreciable. Bravo pour l'originalité !!!

Super film vraiment c'est une très bonne surprise on voit qu'il y a de l'argent investi dans le film les effets spéciaux sont très beaux et l'histoire trop Cool.

« Love and Monsters » est un film divertissant, notamment grâce à Dylan O’Brien, qui apporte beaucoup de charme à l’ensemble. Le film réussit à combiner émotion, action, et des performances d'acteurs convaincantes pour offrir un spectacle divertissant qui réinvente l'esprit des « popcorn movies ». Les effets spéciaux sont impeccables, animant des créatures impressionnantes et contribuant à l'atmosphère ludique du film. Cependant, malgré son bestiaire captivant et une fin plus audacieuse, « Love and Monsters » reste un peu timoré. Néanmoins, c'est un divertissement généreux qui, sans révolutionner le genre, remplit bien son rôle de feel-good movie familial, rappelant les films fantastiques des années 80 et 90. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).

Le but d'un film n'étant pas de se torturer le cerveau mais de nous emmener dans un rêve, je plebiciste ce bon film pour un public assez large. J'ai eu un peu peur au début en pensant regarder un énième film d'horreur mais l'humour et l'émotion sont vraiment présents jusqu'au bout. Les monstres totalement imaginaires sont très bien réalisés. Bref, j'ai aimé.

Film pour ados, et encore, pas trop vieux ... Les monstres sont bien fichus, mais les personnages sont vraiment légers, et le chien ne suffit pas à compenser.

Dans un futur post-apocalyptique causé par la destruction d’une météorite fonçant vers la Terre par des armes nucléaires, les retombées radioactives ont eu pour effet de changer les insectes en monstres gigantesques et assoiffés de sang.

N’étant plus au sommet de la chaine alimentaire, le reste de l’humanité n’a eu d’autre choix que de se réfugier sous terre ou dans des abris nucléaires, fuyant la surface habitée désormais par ces monstres.

Sept ans après ces évènements tragiques, Aimée, la petite amie de Joel Dawson, lance un SOS depuis son camp basé à plus de 130 Km.

Armé de courage, Joel s’aventure pour la première fois en dehors de son bunker pour sauver sa belle, il fera la connaissance de Clyde et Minnow, des survivants qui lui apprendrons tous ce qu’ils savent sur les monstres et comment s’en sortir vivant.

Love and Monsters est une agréable surprise, qui traite du dépassement de soi dans un milieu hostile, l’action et la solidarité sont les moteurs du film.

Avec en tête d’affiche Dylan O’Brien un acteur montant que j’apprécie beaucoup et que l’on a découvert dans la série Teen Wolf ou plus récemment dans la nouvelle série diffusée sur Apple TV « Amazing Stories » produite par Steven Spielberg.

Le final laisse la porte ouverte à une suite qui me ferait bien plaisir, foncez c’est une valeur sure !


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Assez bon divertissement, Love and Monster propose dans un monde dévasté par des insectes géants spoiler: après que les retombées d'une explosions atomiques les aient fait grandir et évoluer ; même genre de critique du nucléaire que Godzilla
, la quête, pour notre jeune Héro interprété par Dylan O'Brien, de l'amour. La critique que j'ai à adresser au film concerne sa substance : La quête. Je pose là une question : Quel est l'intérêt du film ? C'est le monde dévasté. Le bestiaire des monstres, très varié, cette action ajustée comme il le faut, et ces visuels superbes. Il y a de la couleur, les décors sont riches et variés. C'est excellent de ce point de vu là. Sauf que, cette quête, moteur de l'action spoiler: puisque sans cette quête de l'amour, notre héro ne se serait jamais aventuré d'un orteil dehors
, disons le, n'est finalement pas une si bonne idée. Pourquoi ? Cela tient à la richesse du monde et des environnements. Pourquoi une telle intrigue, quand le monde est si beau, et intéressant ? Pourquoi perdre le développement final dans un scénario prévisible ? Convenons en : Je ne dis pas que le film a un mauvais scénario. Juste, que ce scénario est convenu. Ce qui, je le trouve, nuit au caractère d'ensemble de l'œuvre, qui aurait pu se trouver bien plus sombre, mêlé d'une amertume, d'un regard terne, propre au post-apocalyptique. Au final, on se retrouve avec une quête divertissante, mais qui ne met pas en valeur le monde. C'est le dépassement de soi, mouais, la valeur de l'amour, mouarf, et une légère réflexion sur le soi qui est menée par le film. Mais c'est beaucoup trop simple ! Et surtout, je le répète, le monde n'est pas mis en valeur comme il le devrait ; car, ce monde, est mis en valeur par la quête, par l'avancée du personnage (Il doit aller d'un point A à un point B), puis par lui même. Autrement dit, on passe presque rapidement sur ces vestiges du monde d'avant (Le "presque rapidement", est, sachez le, du au fait qu'on se serait bien attardé sur ce monde), appartenant désormais aux monstres, sans jamais prendre le temps de s'arrêter, ou de proposer au spectateur un développement différent de ce à quoi on est tous habitués. C'est là le propre de ce genre d'œuvre : Quand on sait dès le départ, de quel point à quel point le personnage va aller, bah... Le reste sonne remplissage. Un remplissage qui fonde toute l'excellence du film, mais remplissage quand même. Pourquoi, je le demande, ne pas avoir fait un film dans un esprit plus "Explorateur" ? Pourquoi un scénario convenu, et pas un peu plus mature ? Pourquoi ne pas avoir tenu en haleine autrement, pas une découverte toujours continuelle (Comme c'est le cas avec ce film), mais en plus, avec disons, une incertitude quand à ce qui va arriver ? L'amour est un sentiment que toutes les œuvres traitent : Si vous n'avez pas d'inspiration, c'est le genre de truc que vous prenez immédiatement. Les artistes qui savent en parler brillamment sont très peu, mais alors très peu nombreux. Et à prendre l'amour comme thème de fond pour le récit, pour ne le traiter qu'aussi basiquement, c'est à dire de façon parcellaire et limitée (Car le monde, dans sa structure, et le scénar, le veulent ! Ironie du sort !), c'est simplement dommage. Ou idiot, je ne sais pas. Quoi qu'il en soit, l'introduction, le début, le milieu, tout est génial. Ce qui cloche, c'est cette quête, qui fait qu'on se retrouve avec un final prévu d'avance, sympathique ma foi, mais que, sympathique. Devais-je en attendre plus ? Non. Comprenez le : J'en attendais plus, après la vision du film, car l'univers crée est tout simplement génial. C'est un peu comme The Walking' Dead, vous voyez ? Un monde gigantesque, qui tient en haleine un temps (Pour TWD, c'est quand dure l'exploration, à partir de l'installation et de la répétition de décors répétitif, ça se perd), pour au final décevoir. Cette déception, c'est celle du plus, de ce qu'aurait pu être, ce film. Récemment, j'ai revu Pacific Rim 1. Ce film, est excellent, vous savez pourquoi ? Car ce n'est pas juste un blockbuster idiot. Il y a de la réflexion, et le reste. Bon, il est pas parfait, mais vous comprenez l'idée. Ici, qu'a t-on ? Le reste. Mais la réflexion, bof bof. Au final, on se retrouve avec une œuvre de qualité, certes, mais cette qualité est celle d'un bon divertissement. On a pas plus, pas moins. L'ambiance était parfaite pour installer de quoi se poser. Mais non. On aurait pu décrouvrir je sais pas, une grande ville ! Mais... Non.
Les personnages ? Rien à reprocher. Le cadrage ? Idem. L'histoire (Hors intrigue) ? Ca va.

En conclusion, je suis triste de constater que beaucoup d'œuvres ne manquent pas de matière, mais finissent souvent comme celle-ci : Dans le convenu. Dans la facilité. Voyez les notes : Tout le monde (Ou presque), dit du bien de ce film. Ils ont-tous raison, mais c'est aussi prévisible. La quête n'apporte rien. Le final, j'aurais aimé qu'il soit réservé à un environnement plus large, plus grand ; j'aurais aimé que la fin soit de nature plus, à inspirer une réflexion. Regardez ce film, et voyez. Y'a pas de fausse note. Juste, c'est terriblement creux. Le creux typique aux créations qui se bornent à rester dans les limites, sans s'étendre comme elles en ont les capacités, et les moyens. Une déception pour moi. La déception du lendemain.

Manque d'originalité à tous les étages : scénario, design des monstres, écriture des personnages. Pas de décor, d'effets spéciaux, ou de bande-son wahou pour rattraper le tout. On a vu mieux ailleurs à maintes reprises.

Un teen movie qui se laisse regarder, bon divertissment. Il aurait cependant été bon de citer l'oeuvre qui a inspiré ce film: Vermine.

Que dire ?

Dans le genre apocalypse on avait presque tout eu. Mais il faut bien avouer que ce film est assez original. Avec un scénario volontairement assez absurde, basé sur beaucoup d'ironie, il arrive à bien raconter son histoire, simplement, mais tout en gardant des codes vraiment clichés par moment. Seulement il est un peu plus profond que les histoires d'amour bateau, à l'eau de rose, habituelles.
Le jeu d'acteur est vraiment pas mal, tout équilibré, la musique est pas mal et la réalisation très soignée. Les scènes sont vraiment belles parfois et les effets spéciaux très très corrects.

À première vue, un scénario peu original et une histoire d'amour un peu inappropriée dans un monde apocalyptique comme celui-ci. Mais en fait dès les premières rencontres avec les créatures, on tombe sous le charme. L'intrigue nous pousse jusqu'au bout, avec des personnages attachants, des décors vraiment incroyables et un Dylan O'Brian brillant ! Ce film mérite d'être vu !

Je mets 2 etoiles juste pour le chien qui rajoute quelque chose de touchant. Pour le reste, c'est vraiment pas terrible.