Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette comédie d’aventures est très amusante notamment grâce à la présence de Dylan O’Brien.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
GQ
par Jérémy Patrelle
[...] l'histoire émouvante, l'action proposée et les performances des acteurs font de Love and Monsters un film à voir.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Ecran Fantastique
par Erwan Bargain
Cette production renoue avec l'esprit des meilleurs "popcorn movies" et s'impose comme un divertissement haut de gamme comme on aimerait en voir plus souvent.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
La conclusion, précipitée, aurait gagné à prendre un peu plus son temps, mais l’ensemble est une excellente petite surprise et, avec son goût pour l’évasion, fait figure de film anti-confinement idéal.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Hautement recommandable pour sa galerie de personnages mais aussi pour son excellent sidekick canin, "Love and Monsters" étonne surtout par ses questionnements terriblement d'actualité sur la notion de survie, et sur la nécessité de repenser son rapport à la nature pour s'adapter à un monde nouveau.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les bons mots se succèdent mais le second degré n’est jamais envahissant. L’apparition d’un crabe géant fait même de l’œil à L’Île mystérieuse, le classique de 1961. Sympa.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Michel Valentin
Ce nouveau film de science-fiction proposé par la plate-forme se distingue surtout par ses grosses bébêtes, rendues vivantes par des effets spéciaux impeccables.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
C'est à cette veine hollywoodienne que « Love and Monsters » appartient. Des petits films astucieux et pas prétentieux, taillés sur mesure pour les samedis pluvieux. Voilà le cinéma que l'on appelle affectueusement le « cinoche ».
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Thierry Chèze
Un Bienvenue à Zombieland familial qui sans révolutionner le genre, tient ses promesses de feel good movie d’aventures.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si, par moments, le film s'essoufle, il est suffisamment généreux en monstres pleins de dents et en fantaisie un peu barrée pour offrir un pur divertissement.
Télérama
par Sébastien Mauge
Un chant d’amour aux monstres qui peuplaient les films fantastiques des années 1980-1990, avec un Dylan O’Brien impeccable, digne héritier des héros de Spielberg.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré son bestiaire éminemment sympathique et un dernier tiers qui montre un tout petit peu les crocs, Love and Monsters est beaucoup trop timoré, quand il ne se repose pas sur le souvenir de ses modèles.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Cette comédie post-apo hyper formatée et curieusement réjouissante avec Dylan O’Brien réalise un véritable jackpot sur Netflix. (...) Difficile, devant Love and Monsters, de ne pas imaginer sa fabrication comme l’application scrupuleuse d’une recette bien rôdée – ne serait-ce parce que son titre ressemble à une liste de courses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Cette comédie d’aventures est très amusante notamment grâce à la présence de Dylan O’Brien.
GQ
[...] l'histoire émouvante, l'action proposée et les performances des acteurs font de Love and Monsters un film à voir.
L'Ecran Fantastique
Cette production renoue avec l'esprit des meilleurs "popcorn movies" et s'impose comme un divertissement haut de gamme comme on aimerait en voir plus souvent.
Les Fiches du Cinéma
La conclusion, précipitée, aurait gagné à prendre un peu plus son temps, mais l’ensemble est une excellente petite surprise et, avec son goût pour l’évasion, fait figure de film anti-confinement idéal.
Mad Movies
Hautement recommandable pour sa galerie de personnages mais aussi pour son excellent sidekick canin, "Love and Monsters" étonne surtout par ses questionnements terriblement d'actualité sur la notion de survie, et sur la nécessité de repenser son rapport à la nature pour s'adapter à un monde nouveau.
La Voix du Nord
Les bons mots se succèdent mais le second degré n’est jamais envahissant. L’apparition d’un crabe géant fait même de l’œil à L’Île mystérieuse, le classique de 1961. Sympa.
Le Parisien
Ce nouveau film de science-fiction proposé par la plate-forme se distingue surtout par ses grosses bébêtes, rendues vivantes par des effets spéciaux impeccables.
Les Echos
C'est à cette veine hollywoodienne que « Love and Monsters » appartient. Des petits films astucieux et pas prétentieux, taillés sur mesure pour les samedis pluvieux. Voilà le cinéma que l'on appelle affectueusement le « cinoche ».
Première
Un Bienvenue à Zombieland familial qui sans révolutionner le genre, tient ses promesses de feel good movie d’aventures.
Télé 7 Jours
Si, par moments, le film s'essoufle, il est suffisamment généreux en monstres pleins de dents et en fantaisie un peu barrée pour offrir un pur divertissement.
Télérama
Un chant d’amour aux monstres qui peuplaient les films fantastiques des années 1980-1990, avec un Dylan O’Brien impeccable, digne héritier des héros de Spielberg.
Ecran Large
Malgré son bestiaire éminemment sympathique et un dernier tiers qui montre un tout petit peu les crocs, Love and Monsters est beaucoup trop timoré, quand il ne se repose pas sur le souvenir de ses modèles.
Les Inrockuptibles
Cette comédie post-apo hyper formatée et curieusement réjouissante avec Dylan O’Brien réalise un véritable jackpot sur Netflix. (...) Difficile, devant Love and Monsters, de ne pas imaginer sa fabrication comme l’application scrupuleuse d’une recette bien rôdée – ne serait-ce parce que son titre ressemble à une liste de courses.