Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Critikat.com
par Théo Ribeton
Jamais le cinéaste n’a approché avec un tel resserrement, ni une telle sérénité, ce motif originel de son cinéma qu’est la blessure de l’âme. Tapie dans la chair du film, la cicatrice fait graviter autour d’elle tous les voyages intérieurs des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Marianne
par Danièle Heymann
"Jimmy P." va relever un sacré défi. Par une mise en scène ample et libre, par le jeu sans faille de ses acteurs (...)
Positif
par Nicolas Bauche
Le dernier long métrage d'Arnaud Desplechin cristallise et dépasse les inquiétudes d'un réalisateur fasciné par la mort et la psyché.
Transfuge
par François Bégaudeau
(...) "Jimmy P." offre à la fois la jouissance de l'élucidation et celle du mystère intact ; la force du simple et les séductions du complexe ; le confort de la ligne droite et le charme sinueux des traverses ; les puissances conjuguées d'un cinéma populaire d'auteur.
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
"Jimmy P." est à l'image de son héros, d'une sourde complexité sans cesse en rétention, cachée sous le manteau, comme une âme avant l'analyse : sous sa solide et minérale simplicité se cache un autre film, introspectif et douloureux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ecran Large
par Sandy Gillet
Le western (freudien) vu par Arnaud Desplechin
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Cette brillante psychothérapie faite de drame, d'humanité et d'humour, entre le huis clos et le western, est portée par l'élégance et l'intelligence de la mise en scène d'Arnaud Desplechin.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Sandrine Marques
(...) un beau film classique, dense, subtil, foisonnant d'idées de mise en scène (...). Récit de guérison, puissant autant que sensible, "Jimmy P." parle de ces blessures de l'âme qui obligent à redéfinir la notion volatile de folie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Tournant le dos à la manière ample et retorse de ses précédents films, Desplechin négocie un virage classique. Déceptif, mais d'une maîtrise rare.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Luc Chessel
Arnaud Desplechin fait migrer son théâtre analytique dans l’Amérique au cœur du XXe siècle et réussit un film ample et presque apaisé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Desplechin a retrouvé une trajectoire à la hauteur de ses responsabilités. Longtemps maintenu dans le statut émollient de premier de la classe "auteurs", le cinéaste rompt avec le confinement, renoue avec le risque. Et n’est jamais aussi bon que lorsqu’il prend le large.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Desplechin signe un film à la mise en scène de facture plus classique qu’à l’accoutumée. (...) Benicio del Toro (...) incarne avec retenue cet Indien renfermé intrigué par ce médecin au fort accent.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Pascal Mérigeau
Desplechin insiste et affine, en virtuose (...), qui a su mettre admirablement en valeur ses deux interprètes, Benicio del Toro et Mathieu Amalric, et se glisser dans les espaces laissés par le livre de Georges Devereux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Paris Match
par Christine Haas
Tandis que deux comédiens d'exception s'apprivoisent, le cinéaste filme cette quête identitaire avec une véritable invention et une grâce aérienne.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
La psychanalyse, parfaitement maitrisée par le cinéaste (...), produit l’étrangeté du film, en dépit d’une pauvreté visuelle qui au premier abord le fait passer pour ce qu’il n’est pas : une œuvre banale, policée, une peu plate. (...) Impossible par ailleurs de ne pas évoquer la performance magistrale de Benicio Del Toro.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
[POUR] (...) le film est une ode à cette complicité qui unit les êtres et perdure après leur séparation. C'est cette foi qui émeut, dans ce qu'il y a de plus mystérieux et de plus troublant chez l'homme : le pouvoir de s'aider longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
En se resserrant sur son duo de personnages, Desplechin abandonne les formes chorales qui hystérisaient le montage de ses films précédents et leur substitue cette circulation fluide de signes, mais si fluide qu’elle tourne parfois trop court.
Elle
par Anne Diatkine
L'histoire d'une rencontre entre deux marginaux en rupture de ban, qui, à leur manière, vont se sauver l'un l'autre. C'est aussi le film le plus apaisé de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Arnaud Schwartz
Arnaud Desplechin signe une mise en scène sobre, économe de ses effets, concentrée sur son sujet.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Le problème, c’est que cette plongée en apnée dans les traumatismes — Mathieu Amalric auscultant Benicio Del Toro — est totalement déconnectée des attentes d’un spectateur lambda.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Frédéric Foubert
(...) si le réalisateur (...) met son style en sourdine, c'est en réalité pour mieux faire résonner la puissance intellectuelle et émotionnelle de l'ouvrage de Devereux et s'abandonner à la contemplation de la présence minérale de Benicio del Toro.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Superbement mise en scène et interprétée (Benicio del Toro et Mathieu Amalric), cette belle histoire de fraternité touche au plus profond...
aVoir-aLire.com
par Bruno Rit
Il ne fait guère de doute que beaucoup y verront un long-métrage mollasson, uniquement rythmé par les paroles de ses deux protagonistes principaux. Mais cela constitue l’inévitable prix à payer pour profiter d’un film à la portée résolument universelle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Verbeux, flou : "Jimmy P." a de l'ambition mais Desplechin semble hors sujet.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par Thomas Mahler
(...) en dépit de la qualité des interprètes ces deux heures de divan sont une invitation au sommeil.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TF1 News
par Romain Le Vern
Tous ces artistes (...) ont beaucoup de talent mais l'interaction ne porte malheureusement pas ses fruits. Le sujet est assez génial, puissant. Le traitement, bizarrement tout petit, sans vraie ampleur sous couvert de faire intimiste. (...) Rien à faire : on s'ennuie ferme.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Frédéric Strauss
[CONTRE] L'usage de l'anglais est un carcan pour ces deux personnages, qui ne parlent pas dans leur langue maternelle. Desplechin, lui, ne filme pas dans la sienne et semble coupé de son énergie naturelle : il reste rivé au protocole de la cure analytique, faisant pratiquement abstraction de tout le reste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Jamais le cinéaste n’a approché avec un tel resserrement, ni une telle sérénité, ce motif originel de son cinéma qu’est la blessure de l’âme. Tapie dans la chair du film, la cicatrice fait graviter autour d’elle tous les voyages intérieurs des personnages.
Marianne
"Jimmy P." va relever un sacré défi. Par une mise en scène ample et libre, par le jeu sans faille de ses acteurs (...)
Positif
Le dernier long métrage d'Arnaud Desplechin cristallise et dépasse les inquiétudes d'un réalisateur fasciné par la mort et la psyché.
Transfuge
(...) "Jimmy P." offre à la fois la jouissance de l'élucidation et celle du mystère intact ; la force du simple et les séductions du complexe ; le confort de la ligne droite et le charme sinueux des traverses ; les puissances conjuguées d'un cinéma populaire d'auteur.
Chronic'art.com
"Jimmy P." est à l'image de son héros, d'une sourde complexité sans cesse en rétention, cachée sous le manteau, comme une âme avant l'analyse : sous sa solide et minérale simplicité se cache un autre film, introspectif et douloureux.
Ecran Large
Le western (freudien) vu par Arnaud Desplechin
Le Journal du Dimanche
Cette brillante psychothérapie faite de drame, d'humanité et d'humour, entre le huis clos et le western, est portée par l'élégance et l'intelligence de la mise en scène d'Arnaud Desplechin.
Le Monde
(...) un beau film classique, dense, subtil, foisonnant d'idées de mise en scène (...). Récit de guérison, puissant autant que sensible, "Jimmy P." parle de ces blessures de l'âme qui obligent à redéfinir la notion volatile de folie.
Les Fiches du Cinéma
Tournant le dos à la manière ample et retorse de ses précédents films, Desplechin négocie un virage classique. Déceptif, mais d'une maîtrise rare.
Les Inrockuptibles
Arnaud Desplechin fait migrer son théâtre analytique dans l’Amérique au cœur du XXe siècle et réussit un film ample et presque apaisé.
Libération
Desplechin a retrouvé une trajectoire à la hauteur de ses responsabilités. Longtemps maintenu dans le statut émollient de premier de la classe "auteurs", le cinéaste rompt avec le confinement, renoue avec le risque. Et n’est jamais aussi bon que lorsqu’il prend le large.
Ouest France
Desplechin signe un film à la mise en scène de facture plus classique qu’à l’accoutumée. (...) Benicio del Toro (...) incarne avec retenue cet Indien renfermé intrigué par ce médecin au fort accent.
Paris Match
Desplechin insiste et affine, en virtuose (...), qui a su mettre admirablement en valeur ses deux interprètes, Benicio del Toro et Mathieu Amalric, et se glisser dans les espaces laissés par le livre de Georges Devereux.
Paris Match
Tandis que deux comédiens d'exception s'apprivoisent, le cinéaste filme cette quête identitaire avec une véritable invention et une grâce aérienne.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
La psychanalyse, parfaitement maitrisée par le cinéaste (...), produit l’étrangeté du film, en dépit d’une pauvreté visuelle qui au premier abord le fait passer pour ce qu’il n’est pas : une œuvre banale, policée, une peu plate. (...) Impossible par ailleurs de ne pas évoquer la performance magistrale de Benicio Del Toro.
Télérama
[POUR] (...) le film est une ode à cette complicité qui unit les êtres et perdure après leur séparation. C'est cette foi qui émeut, dans ce qu'il y a de plus mystérieux et de plus troublant chez l'homme : le pouvoir de s'aider longtemps.
Cahiers du Cinéma
En se resserrant sur son duo de personnages, Desplechin abandonne les formes chorales qui hystérisaient le montage de ses films précédents et leur substitue cette circulation fluide de signes, mais si fluide qu’elle tourne parfois trop court.
Elle
L'histoire d'une rencontre entre deux marginaux en rupture de ban, qui, à leur manière, vont se sauver l'un l'autre. C'est aussi le film le plus apaisé de son auteur.
La Croix
Arnaud Desplechin signe une mise en scène sobre, économe de ses effets, concentrée sur son sujet.
Le Parisien
Le problème, c’est que cette plongée en apnée dans les traumatismes — Mathieu Amalric auscultant Benicio Del Toro — est totalement déconnectée des attentes d’un spectateur lambda.
Première
(...) si le réalisateur (...) met son style en sourdine, c'est en réalité pour mieux faire résonner la puissance intellectuelle et émotionnelle de l'ouvrage de Devereux et s'abandonner à la contemplation de la présence minérale de Benicio del Toro.
Télé 7 Jours
Superbement mise en scène et interprétée (Benicio del Toro et Mathieu Amalric), cette belle histoire de fraternité touche au plus profond...
aVoir-aLire.com
Il ne fait guère de doute que beaucoup y verront un long-métrage mollasson, uniquement rythmé par les paroles de ses deux protagonistes principaux. Mais cela constitue l’inévitable prix à payer pour profiter d’un film à la portée résolument universelle.
CinemaTeaser
Verbeux, flou : "Jimmy P." a de l'ambition mais Desplechin semble hors sujet.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Point
(...) en dépit de la qualité des interprètes ces deux heures de divan sont une invitation au sommeil.
TF1 News
Tous ces artistes (...) ont beaucoup de talent mais l'interaction ne porte malheureusement pas ses fruits. Le sujet est assez génial, puissant. Le traitement, bizarrement tout petit, sans vraie ampleur sous couvert de faire intimiste. (...) Rien à faire : on s'ennuie ferme.
Télérama
[CONTRE] L'usage de l'anglais est un carcan pour ces deux personnages, qui ne parlent pas dans leur langue maternelle. Desplechin, lui, ne filme pas dans la sienne et semble coupé de son énergie naturelle : il reste rivé au protocole de la cure analytique, faisant pratiquement abstraction de tout le reste.