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    Before Midnight
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    3,6
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    106 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 juillet 2013
    Je n'ai pas vu les deux premiers épisode de la trilogie "Before..." ("Before Sunrise", 1995 et "Before Sunset", 2004, avec les mêmes acteurs). Ca m'a donné envie de le faire pour -- peut-être -- mieux comprendre ce troisième numéro. Aucune action dans ce film, rien que du verbiage, beaucoup de verbiage. C'est une sorte de tête à tête en 4 ou 5 temps entre les deux principaux acteurs (Julie Delpy et Ethan Hawke), entrecoupé par moments de scènes avec d'autres personnages. Dialogues parfois très acides, en particulier de la part de Céline qui "vide son sac" (j'allais écrire "sa poubelle") sur la tête de son mari Jesse. A qui elle reproche.... quoi donc au fait ? Tout et rien, peut-être de ne pas l'avoir aimée comme elle l'aurait souhaité, ou encore une certaine amertume qu'elle ressent de s'être souvent trouvée seule pour élever des jumelles, et, pour finir, de l'avoir peut-être un jour trompée... Ce film décrit en fait l'effet du temps sur un couple, en insistant assez lourdement sur les frustrations qui s'accumulent au fil des années. Globalement, j'ai trouvé tout cela assez exagéré, en ce sens que Céline se comporte de manière trop cyclothymique, passant en quelques minutes d'une attitude agressive à un comportement plus tendre et/ou à l'écoute et vice versa, le pauvre Jesse se trouvant pris dans ce tourbillon et perdant ses repères car il est lui aussi confronté à des difficultés relationnelles avec le fils qu'il a eu d'un premier mariage. Je reste donc quand même assez mesuré quant à mon jugement concernant ce film qui n'est pas tellement passionnant, tout en reconnaissant que les acteurs sont assez bluffants parleur interprétation.
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juillet 2013
    Souvent irritante et verbeuse, cette comédie romantique dispose cependant d’un atout majeur : l’osmose parfaite établie entre ses deux acteurs principaux. Cette harmonie permet de supporter des scènes parfois interminables, paresseusement filmées mais ayant pour cadre des décors naturels idylliques. Le personnage de Céline révèle bien des similitudes avec la Marion de son diptyque « 2 Days … » mais dans ce film-ci, Julie Delpy se surpasse et nous offre une prestation brillante.
    negsa
    negsa

    6 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 juillet 2013
    Je n'ai pas vu les 2 premiers "épisodes" de cette saga qui m'a un peu fait penser à un soap sur grand écran - intérêt du scénario très limité et dialogues dépassant rarement la discussion de comptoir.
    Mais je me suis demandé pendant tout le film et à l'instar d'une célèbre pub des années 90 pour une marque de soda à l'orange : "mais pourquoi est-elle si méchante"? Car franchement Julie Deply (enfin son personnage) n'est pas seulement insupportable de verbiage (loi du genre de ce type de film), mais juste méchante comme une teigne : on comprendrait vraiment que son mari la plaque à la fin, bien que sa patience et sa quasi abnégation lui laisse une porte de sortie pour un prochain opus... On est quand même très loin de Woody Allen!
    cinono1
    cinono1

    303 abonnés 2 056 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2013
    Décidemment, une belle cohérence dans cette trilogie. Ce n'est pas si facile que ca que de tourner en plan séquence, des dialogues qui semblent improvisés et qui conservent toujours quelque chose d'intéressant, cherchant à respecter le passage du temps. Car c'est aussi de cela que parle le film, le temps, celui qui file ou qui marque. Les paysages Grecs servent le thème. Le couple Julie Delpy et Ethan Hawke carbure entre harmonie, reproches, désaccords. "La vie est faite de morceaux qui ne se rejoignent pas" chantait Anna Karina. Montre aussi la capaçité de rebond de la quarantaine ou l'oubli et l'humour sont les meilleures armes dans un film qui ne choisit pas entre romantisme et pessimisme dans son final. Bravo au trio.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 juillet 2013
    faire ce film est une pure masturbation intellectuelle. Rhedibitoire film de bobos qui aiment se creer des problemes
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 juillet 2013
    Le premier quart d'heure (dans l'aéroport) est agréable. Ensuite c'est un verbiage intellectuel sur fond de 5 à 6 décors quasiment en plan fixe. Celui dans la toyota 4x4 c'est un plan "figé".Une sorte de Woody Allen sans son talent spoiler: .Le dialogue sonne faux surtout lors de la "scène de ménage" dans la chambre d’hôtel.
    Pour une fois, si vous allez le voir (il y a quand même Julie Delpy !) évitez la version VO si vous ne maîtrisez pas l'anglais; il y a tellement de texte que vous gardez le regard rivé sur les sous titres.
    Maintenant que les 24 heures d'une journée y sont passées, j’espère un film ou Julie Delpy écrira seule le dialogue et assurera, seule, la réalisation
    Kévin Pilastra L
    Kévin Pilastra L

    9 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2013
    Cela a l'odeur de W. Allen, cela à le goût du W. Allen, mais il manque l'humour du maître new yorkais. Mais malgré ça, ce film est une petite réussite et un plaisir jubilatoire pour quiconque se pose des questions sur l'amour, la vie, le sexe et sur les petits tracas de la vie quotidienne...
    Robin M
    Robin M

    70 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juillet 2013
    Avec Before Midnight, Richard Linklater approfondie et clôt son étude de la vie de couple. De son œuvre se dégage finalement non pas forcément l’idée romantique des âmes sœurs, mais plutôt une sorte de fatalité amoureuse. Céline (Julie Delpy) et Jesse (Ethan Hawke) sont destinés à vivre une histoire malgré la rencontre furtive de Before Sunrise (1995), la vie les rattrape et les unit dans Before Sunset (2004). Before Midnight, en dernier volet de la trilogie sentimentale de Linklater, se focalise alors sur ce basculement qui fait que l’amour devient famille, et qu’aimer rime avec routinier. « C’est le début de la rupture » clame d’ailleurs Julie Delpy lors d’un long plan séquence au début du film donnant le ton au règlement de comptes et aux vieilles rancœurs emmagasinées durant les 9 ans qui ont fait de ce couple un ménage avec enfants. Cependant en gardant sa logique de « fin ouverte », le réalisateur américain ne clôt pas une histoire et laisse au spectateur le choix romantique et idéalisé du maintien du couple ou plutôt une logique de mettre la poussière sous le tapis qui fera exploser leur histoire plus tardivement.

    Before Midnight n’est finalement pas une comédie romantique, mais plutôt un questionnement sur les relations hommes/femmes. Richard Linklater donne alors à chacun le rôle que la société souhaite lui donner : Céline s’occupe des enfants face à un Jesse, écrivain, absent et ne réussissant pas à occuper une place de père au sein de sa « deuxième » famille obsédé par les séquelles d’un premier mariage. Plus de romantisme et plus de séduction face à un être acquis : « je voulais que tu dises un truc romantique, et tu as tout foiré » définit bien cette perte de l’attention et de la recherche du mot qui plaît. La vie de famille n’est pas idyllique mais parvient seulement à occuper l’esprit empêchant alors de poser un regard critique sur un couple qui se perd et qui s’éloigne. Le temps à deux ne sera qu’un moyen de régler des comptes loin des enfants unificateurs.

    Si Richard Linklater place son dernier chapitre en Grèce, ce n’est pas par pure envie de dépaysement. En effet, l’idée d’un amour éternel et des âmes sœurs se range au côté des mythes et des légendes qui parcourent le pays. La perte des croyances entraîne également une autre vision du couple. La grand-mère de Jesse et son couple de 74 ans paraît aberrant et presque impossible de nos jours. Dans une société prenant l’individualisme et la liberté, le divorce est complètement dédramatisé. Comment croire en la pérennité et la stabilité de l’amour lorsqu’un mariage sur deux finit par un divorce. L’amour, c’est finalement ce qui se rattache au passé : la rencontre, les premiers temps. C’est d’ailleurs la doyenne de la table qui décrira le mieux l’amour avec un grand A signifiant qu’il disparaît et qu’il n’est plus en adéquation avec notre société. En opposition se dresse l’amour naissant d’Anna (Ariane Labed) et d’Achilleas (Yannis Papadopoulos) : amour virtuel. La tablée se penche alors sur le devenir des relations humaines enclin à devenir de plus en plus virtuelles. L’amour véritable et passionnel serait-il mort ?

    Si Before Midnight jouit d’une alchimie Delpy/Hawke et d’une fluidité de dialogues ciselés, il finit par s’enliser suite à son immobilisme : Linklater abuse du plan-séquence qu’il ponctue parfois par une alternance bien trop sage de champs/contre-champs. Sans prise de risque formelle, Before Midnight tend à devenir un peu bavard et à tomber parfois dans la gratuité d’un discours pseudo-sexuel qui finit par faire croire que le teenager américain n’est finalement que Richard Linklater. Un peu trop théâtral, Richard Linklater ne parvient pas à cerner la vérité de l’instant ou à faire basculer son récit dans une réelle pensée sur le couple : tout paraît comme millimétré, engoncé dans un mise en scène molle.

    Souhaitant sans doute réaliser son Scènes de la vie conjugale (Ingmar Bergman, 1974) à lui, Richard Linklater se perd un peu dans les problèmes qui font parfois défaut au cinéma de Woody Allen. Choisissant une fausse légèreté, Before Midnight est comme une brise : douce, mais qui passe sans qu’on y fasse véritablement attention.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 juin 2013
    Je recommande ce film à tous ceux qui ont envie de se marier. Il renvoie chacun à son histoire personnelle avec maturité, sur le thème du temps qui passe, de ce qu'il y a de meilleur et de pire dans une relation. L'histoire de la vie, celle que ni vos parents, ni vos "amis" ne vont nous expliquer. Celle à laquelle il faut s'attendre, celle qu'il vaut mieux connaitre avant d'y laisser des plumes. Mais cela finit bien ! Un film intelligent que peut-être tout le monde ne comprendra pas.
    A ceux qui n'ont pas encore vu le 1er film de la trilogie, empruntez vite le DVD. Il est génial !
    lipfy
    lipfy

    7 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juin 2013
    Un verbiage "quotidien" non stop sur l'amour, la vie, le monde, gna gna gna, des scènes en bagnole, à table en train de bouffer, assis, debout, à blablater, à sortir des banalités, comme vous, comme moi, «comme-dans-la-vie-quoi ! », genre de film qui se croit moderne parce que les personnages ne cessent de discuter entre eux, de dire ce qui leur passe par la tête. C'est carrément... INSUPPORTABLE !!! Ça se voudrait Woody Allen, certes, mais il manque juste la magie allénienne... et l'humour !
    Quand un réalisme factice ne sert qu'à dissimuler un vide narratif abyssal, ça donne exactement ça. Et que ce soit bien joué (ça l'est mais à quoi bon ?) ne change rien. J'ai lu quelque part que ce film a été tourné en 18 jours. Tout s'explique !!
    Cinephille
    Cinephille

    156 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juin 2013
    Cruelle déception que ce dernier (?) opus de la série des Before. Fan absolue de Before Sunset j'ai commencé à m'ennuyer fermement dès le premier quart d'heure de Before Midnight. De façon absolument manifeste on reprend les recettes de Before Sunset, les longs plans séquences en voiture, en balade...Mais tout sonne faux, les dialogues sont convenus, Ethan Hawke et Julie Delpy semblent jouer (pas très bien) un remake médiocre. Arrive une scène de diner où là chacun récite son petit couplet, le tout censé représenter l'amour selon les âges de la vie. Là encore c'est lourd, c'est artificiel. Mais le pire est à venir : l'interminable scène de ménage où Julie Delpy joue la ménagère de 40 ans frustrée, aigrie, mesquine, méchante. Elle ne manque pas auparavant de longuement s'exhiber seins nus histoire de montrer qu'elle a peut-être vieilli mais qu'elle reste une bombasse hein. Cette scène de ménage sans aucun humour, où cette femme écrabouille son compagnon comme un méchant cafard n'a aucun charme, aucune profondeur. Certes ce genre de scène arrive, la violence verbale des femmes n'est pas un mythe. Mais n'est pas Elisabeth Taylor qui veut et là on est juste gêné de voir Julie Delpy telle qu'elle semble à son plus désagréable. Et soudain le film se termine, avec un twist fainéant qui laisse juste craindre un Before le gouter.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2013
    Le dispositif minimal peut surprendre ou agacer : quatre longs plans-séquences (un trajet en voiture, un repas, une déambulation dans un site historique, une chambre d'hôtel) et quelques courtes scènes de transition. Pourtant, il permet de se consacrer entièrement aux dialogues et aux échanges nourris entre Céline et Jesse. C'est donc une sorte de dissection de la relation complexe et mouvante d'un couple (en vacances en Grèce). Lui est préoccupé par le départ de son fils pour Chicago qui y rejoint une mère alcoolique et intransigeante et elle n'est pas prête à tout abandonner de sa vie en France (sa carrière notamment) pour partir aux États-Unis. Coécrits par la comédienne Julie Delpy, les dialogues révèlent la justesse d'un regard qui sait aussi être moqueur et embrasser les différents points de vue.

    On retrouve ici la verve de Two Days in Paris et le rapport à la tribu (famille, amis) que la comédienne avait exploité dans Le Skylab. L'ironie mordante, la logorrhée où cohabitent un langage très crû et de nombreuses références culturelles, principalement littéraires, et le discours plus généralement analytique et égocentrique font bien sûr penser au monde de Woody Allen. Le film est nettement plus grave et moins léger qu'attendu. Il montre comment une relation peut basculer d'un moment à l'autre, comment les trajectoires en apparence parallèles peuvent soudain diverger et, du coup, laisser apparaitre un abime d'incompréhension qui peut conduire ai désastre. L'émotion affleure au cours d'un repas où une veuve parle du souvenir et de l'effacement inexorable et révoltant qui l'accompagne. Le duo formé par Julie Delpy et Ethan Hawke (qui a mis aussi la main à la pâte pour l'écriture) fonctionne très bien et l'actrice française demeure à ce jour celle qui parle le mieux l'américain. Beaucoup de charme, mais aussi de la profondeur et de la lucidité qui ne manqueront pas de rejaillir dans le cœur de chaque spectateur.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 114 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2013
    Suite et fin de cette trilogie aujourd’hui culte débutée en 1995 avec Before Sunrise. Après Paris et Vienne c’est au tour de la Grèce, terre de toutes les grandes et belles tragédies, de leur servir de cadre. Doté d’une humanité désarmante, Before Midnight se dévoile comme l’épisode le plus touchant de cette trilogie romantique...
    Christoblog
    Christoblog

    828 abonnés 1 675 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2013
    Evidemment, le plaisir de retrouver Jesse et Céline est accru quand on a suivi leur aventure amoureuse depuis le début, en voyant Before sunrise il y a 18 ans et Before sunset il y a 9 ans.

    Sinon, j'imagine que le film paraîtra peut-être un peu plat et ordinaire, car après tout il ne s'agit là que de montrer des situations dans lesquelles chacun pourra se reconnaître : petites piques, vieilles rancoeurs, non-dits, raccomodages. Bref, tout un arsenal de comédie romantique low-fi.

    Pour les connaisseurs de la "série", ce troisième opus se distingue par.... la suite ici :
    jspl
    jspl

    23 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juin 2013
    Ce n'est ni filmé, ni écrit, ni joué. Ce film prend les spectateurs pour des c. et apparemment ça fonctionne. J. Delpy est pathétique et pitoyable. Comment lui confie-t-on des rôles??? Je m'abstiendrai de donner la réponse!
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