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    Before Midnight
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    106 critiques spectateurs

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    Himbry
    Himbry

    1 abonné 46 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juillet 2013
    Ennuyeux, drôle, romantique, irritant, joyeux, énervant, la vie quoi ! C'est toujours avec plaisir que l'on retrouve Céline et Jesse. A la prochaine...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 juillet 2013
    Après les films Before sunset et before sunrise, de Richard Linklater , cette fois on a before Midnight en Péloponèse, une région en Grèce. Il s'agit d'un psychodrame qui nous fait penser aux films américains des années 70 qui consiste à faire une analyse psychologique fine des personnages. Un couple en Grèce se trouve face à un passé qui menace leur union. En effet, quand on reconstruit sa vie, on ne doit jamais oublier son passé. Dans ce situtation on a deux parties opposées: L' homme qui a du sang froid et ses arguments s'appuient sur la logique et la femme qui est impulsive, intuitive et ses arguments s'appuient sur ses sentiments. Bien que l' homme apparaisse plus fort, il se trouve dans une situtation difficile, car sa bien aimmée met en évidence l' amour thème principal de ce film ce qui diminue considérablement la force de son interlocuteur. On se demande s'il ya quelque chose qui peut sauver leur union liaison en s'appuyant sur la suppression du passé.y compris sa vraie famille. Si ce film était européen on aurait de forte chances de se trouver dans une situtation catastrophique et on devrait mettre en évidence la destruction du passé.Ici tout a sa solution et tout trouve sa juste place. Par ailleurs, le metteur en scène n' avait pas l'intention d' exprimer le fatalisme et le défaitisme tels qu'on trouve dans certains films. Cependant cela est le produit d'un dialogue difficile, fondé sur un vocabulaire riche . Son discours est dense et se compare à celui d'une belle pièce de théâtre. Malgré cette omniprésence du discours, il y a de beaux paysages et nous devons retenir la belle chanson grecque de Haris Alexiou intitulée "Gia ena tango" (Pour un tango). Cette chanson peut être considérée comme un résumé de cette oeuvre.
    Lululouci
    Lululouci

    27 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juillet 2013
    Richard Linklater n'est pas un réalisateur particulièrement connue en France mais si il y a bien un réalisateur d'expérimentation, c'est bien lui. Il s'est déjà frotté avec succès au cinémas sans date de péremption comme par exemple avec Boyhood dont le tournage a commencé en 2002 et n'est toujours pas terminé aujourd'hui (sortie prévu en 2015), au comédie musical pour les jeunes avec Rock Academy (2003) et les séries temporel avec sa trilogie Before (Sunrise, Sunset et aujourd'hui Midnight).
    Cette trilogie Before n'a pas pour but de suivre un hobbit prisonnier d'un anneaux qui doit vaincre les ténèbres mais de suivre un simple couple composé par Céline (Julie Delpy) et Jesse (Ethan Hawke) à travers les âges (3 épisodes en 18 ans). On suit leurs bon moment, leurs querelles et en bref leurs quotidien.
    Dans ce derniers opus, on rompt la tradition de deux précédents volet noyé dans l'amour juvénile pour ce concentré sur la réalité d'adulte. Finis les illusions, les rêves ... place à la réalité !
    Le duo Linklater/Delpy/Hawke signe donc un film très humain.
    Au programme plus de levé et de couché de soleil mais cette fois ci minuit.
    Certe une mise en scène très minimaliste mais qui offre des plans divins, des séquences bien pensé, des acteurs à l'apogée des leurs arts (Ethan Hawke évidement moins bien que dans Gattaca mais quand même ...), filmé comme dans les années 80, un rythme infernal et un romantisme intact.
    Conclusion :
    Richard Linklater, Julie Delpy, Ethan Hawke signent ensemble l'une des plus belles comédies dramatiques de l'années.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 juillet 2013
    J ai aimé les 2 1er opus et celui ci aussi car la recette est la même intimité vérité dialogue porté par un couple sublime. A l écran tout fonctionne c'est un vrai plaisir de cinéphile de voir qu'une romance "basique" peut devenir une trilogie importante pour le 7ème art.
    Isabelle G
    Isabelle G

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 juillet 2013
    ça se termine au moment ou on soupire en se disant que le film va enfin commencer !
    Une interminable scène de ménage, de " si on faisait une scène parce que tout va bien ", la scène d'une sale gosse trop gâtée, dont le mari est formidable, car malgré sa mauvaise foi, sa méchanceté, il ne cesse de lui dire et répéter qu'il l'aime, qu'il la trouve belle, qu'elle est la femme de sa vie, ....

    Pour être plus pragmatique, on a toutes vécues ça, la parole douce ou aigre n'est-elle pas le lien le plus puissant du monde.
    herve p.
    herve p.

    2 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juillet 2013
    Je n'ai pas accroché au film. Il ne s'y passe rien sauf de longue discussion, principalement entre un couple. Quelques bons passages ne suffisent pas à éclairer l'ensemble du film. Je ne suis pas parvenu à m'y sentir à l'aise, bien que comprenant tout à fait l'ensemble des arguments sur la vie de couple, ses joies, ses limites, son abysale complexité. Peut-être, comme je l'ai lu sur d'autres critiques, faut-il être marié pour apprécier ce long partage de la vie d'un couple...Peut-être...
    Ceci étant, la réalisation est correct, le jeu d'acteur idem (mention à Ethan Hawke), et la photo est très réussie, avec quelques trop rares paysages magnifiques.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 juillet 2013
    Presque vingt ans après Before sunrise, Richard Linklater remet en scène les amoureux July Delpy et Ethan Hawke. Toujours des dialogues... mûris dans ce troisième opus par l'âge des protagonistes, une July Delpy riche de répliques, un décor et des personnages secondaires qui servent l'histoire du couple. Un film qui comme les précédents n'est pas figé sur des péripéties mais qui s'écoute comme un écho de notre vie. Pas de fantaisie, pas d'action pas de passion, ce film met en scène le quotidien. Malgré quelques creux notamment lors du dîner entre amis le soir (discussions un peu lourdes), les aficionados de Delpy ainsi que ceux qui ont apprécié les before précédents ne seront pas déçus. Les autres à moins qu'ils ne soient mariés, ne comprendront probablement pas !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 juillet 2013
    Après Before Sunrise et Before Sunset, après Viennes et Paris, voici Before Midnight au Péloponnèse qui clôt - ou peut-être pas - une trilogie sentimentale épurée, sensible et touchante. Ce triptyque réalisé par Richard Linklater met en scène une nouvelle fois ses deux personnages que l'on a rencontrés dans un train en 1994, retrouvés à Paris en 2004, qu'on retrouve aujourd'hui, neuf ans plus tard, mariés, avec enfants, en vacances pendant six semaines en Grèce. Une journée passée avec ces quadragénaires devenus un couple. Ils se sont rencontrés et tombés amoureux, ils se sont retrouvés. On parle (encore) de beaucoup de choses dans Before Midnight, ces dialoges, ces plan-séquences qui ont fait la renommée des deux précédents sont de retour, ces discussions caustiques sur l'amour, le passé, les espoirs, les enfants, la mort, le travail: un film du quotidien, simple et pourtant traité avec une infinie justesse (le naturel et la connivence de Julie Delpy et Ethan Hawke sont toujours aussi saisissants). Before Midnight, encore une fois, ce sont ces longs dialogues, ces "walk and talk", mais cette fois au pays de la tragédie.
    Si les deux films précédents étaient deux petits chemins fluides et linéaires dans deux capitales européennes, celui-ci est divisé en six scènes, deux actes. Une ouverture sur la solitude dans un aéroport, un trajet en voiture, une scène de repas. Un premier acte donc ; de nouveaux personnages entrent en scène où l'on remet en perspective ce couple, qui avant s'était extrait du monde réel, alors qu'ici il y est pleinement attaché, avec tous les tracas qui peuvent s'y mêler. D'où un second acte, cette fois recentré sur notre duo, avec une scène de marche, une scène de ménage, et un épilogue. Une dimension quasi tragi-comique est injectée au récit lors d'une scène d'engueulade mémorable, transcendant donc cette trilogie, mettant en péril le devenir de ce couple, la vocation même de l'amour "pour toujours". Pendant un long dialogue autour d'un repas, l'amour est présenté comme de plus en plus pragmatique, en phase avec notre monde contemporain, une époque où il serait facile d'en finir avec l'autre, claquer une porte suffirait pour mettre un point final à une histoire qu'on aura suivi par petites touches pendant 18 ans. On sait et il est admis qu'on peut passer à côté de l'amour, mais de le jeter par contrariété l'est tout autant. L'éphémère et le temps qui passe sont au centre de ce splendide et magnifique Before Midnight, un film sur le passé, sur les souvenirs, l'insécurité de l'amour, et à l'image de ce passage où la famille, à bord de leur voiture, Jesse aux commandes cette fois, alors que lui et Céline étaient les passagers en 94 et 2004 et se laissaient aller le temps de deux journées à l'incertitude et l'imprévisibilité, cette fois ils sont les maîtres de leur monde mais passent à côté des splendides ruines de la Grèce Antique: le passé est révolu, seul le présent compte, mais vouloir aller trop vite mène inéxorablement vers le chaos. Ce troisième chapître serait-il l'introduction d'une véritable tragédie antique ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 juillet 2013
    A la Folie. Ce film est bien sur (majoritairement) pour ce qui ont vu les deux premiers que je recommande.
    Ce duo est incessament aussi captivant et on aime encore autant le suivre au fil des évenements de la vie.
    Cette capacité de longues scènes et de dialogues entre les deux sont toujours aussi absorbant.
    Bref si vous avez aimé les deux premiers, vous aimerez le troisième qui n'a rien perdu de cette univers avec la touche de Julie Delpy !
    Piwi47
    Piwi47

    43 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juillet 2013
    Après nous avoir enivré d'amour au lever puis au coucher du soleil dans les balades « Before Sunrise » / « Before Sunset », le couple Jesse / Céline revient sur grand écran pour nous emporter (une bonne fois pour toutes?) en Grèce dans la comédie dramatique intimiste « Before Midnight », véritable coup de cœur cinématographique du mois de juin. Comme à l'accoutumée, Richard Linklater figure aux postes de scénariste et de réalisateur, tandis que le tandem Ethan Hawke et Julie Delpy sont présents face caméra, et à la plume du long métrage.

    Synopsis Allociné : Une île grecque, un villa magnifique, en plein mois d'août. Céline, son mari Jesse et leurs deux filles passent leurs vacances chez des amis. On se promène, on partage des repas arrosés, on refait le monde. La veille du retour à Paris, surprise : les amis offrent au couple une nuit dans un hôtel de charme, sans les enfants. Les conditions sont idylliques mais les vieilles rancœurs remontent à la surface et la soirée en amoureux tournent vite au règlement de comptes. Céline et Jesse seront-ils encore ensemble le matin de leur départ ?

    S'il existe un metteur en scène d'expérimentations, c'est bien Richard Linklater. Réalisateur indie par excellence, le bonhomme – peu connu du grand public français – s'est notamment déjà frotté – avec mérite et succès critique – au cinéma sans date de péremption (« Boyhood », en tournage depuis 2002), au septième art rotoscopique (« A Scanner Darkly », adapté d'une nouvelle de Philip K. Dick), à la teenage comédie musicale déjantée (« Rock Academy »), au docu-fiction sous forme de pamphlet agroalimentaire (« Fastfood Nation »), ainsi qu'aux méandres de la parole et du temps avec la série des « Before » (« Sunrise » en 1995, « Sunset » en 2004 et « Midnight » aujourd'hui).

    La saga des « Before », c'est surtout l'ambition de suivre la vie d'un couple à travers les âges (3 opus sur 18 ans), de l'épanouissement des débuts aux tracas du quotidien du mariage, jusqu'à l'épuisement des ressources et la souffrance de la fin.

    Céline, l'artiste frenchy, Jesse, l'écrivain américain, leurs enfants (les deux jumelles + le fils aîné, né d'un précédent lit de Jesse), une île Grecque (berceau de la tragédie, choix forcément pas anodin), le bonheur parfait en apparence. Jesse & Céline s'aiment mais se déchirent, se déchirent mais s'aiment.
    Mais, comme le dit si bien Gaspard Noé, « le Temps détruit tout ».

    « Before Midnight » rompt donc la tradition des deux précédents volets trempés d'un charme juvénile pour se confronter cette fois à la dure réalité adulte. Exit la rencontre au détour d'un voyage en train, les illusions, les rêves, les fantasmes, la passion jusqu'au petit matin, place aux conversations épanouies et aux discussions hystériques, sur tout et rien. Le triumvirat Linklater / Delpy / Hawke portent aujourd'hui un regard sincère, humble et terriblement humain sur les relations sentimentales poussées dans leurs extrêmes, dépeintes comme pouvant être aussi tendres que fracassantes. En moteur de l'éclatement, la « temporalité », fondement de la toxicité de ce couple passionnel, que l'on perçoit au bord du précipice.

    On ne peut évidemment s'empêcher de saluer le chef d'œuvre de Mike Nichols « Closer, entre adultes consentants » comme source d'inspiration probable, ainsi que le respect profond de Linklater envers ses aînés – Ingmar Bergman et la Nouvelle Vague (enfin surtout Éric Rohmer).

    Au programme, une mise en scène certes minimaliste, mais offrant au passage une dégustation divine de plans – séquences bien fagotés, des acteurs au diapason de leur art, filmés de la même manière que dix ou vingt ans plus tôt, un rythme infernal qui pousse l'empathie jusqu'à son paroxysme et enfin, un romantisme intact (la vraie – fausse lettre imaginée par Jesse que sa femme lui aurait envoyée du futur à l'âge de 80 ans).

    Bilan : À l'heure où la franchise « Before » aurait pu commencer à sentir la naphtaline, Richard Linklater, Ethan Hawke et Julie Delpy signent ensemble l'une des plus belles comédies dramatiques de l'année. Les relations de couple, le mariage, les unions du long terme, l'érosion des sentiments, l'effondrement conjugal, tout ça et bien plus dans « Before Midnight ».
    officiel76
    officiel76

    46 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juillet 2013
    c'est tellement bavard que quelquefois on décroche, mais c'est tellement écrit qu'on ne peut qu'admirer la maîtrise du sujet. le problème c'est que l'on peut décrocher à un moment très important, ce qui m'est arrivé et que je ne sais pas pour quelle raison ils se rabibochent à la fin. la dispute est un peu trop longue à arriver, la dispute est un peu trop brutale, la réconciliation trop courte...il y a beaucoup de trop dans ce film, mais c'est intelligent, même si un peu fatigant à force de ne jamais laisser place à un moment de silence.
    Erick B.
    Erick B.

    42 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 juillet 2013
    Je me suis rarement autant ennuyé dans un film !! Au bout de 45 minutes je suis sorti de la salle.
    Ennuyeux a bailler ! Des dialogues interminables, 4 plans a la demi heure.......La scène du début devrait rentrée dans les annales du cinéma. 20 minutes de dialogue a travers un pare brise de voiture qui roule sur une petite route.
    Comment peut on réaliser se genre de film ??? Le cinéma intello je veux bien, mais là......c'est le pompom.
    J'ai détesté et suis sortit de la salle en colère, comme si l'on m'avait volé
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 juillet 2013
    Jesse et Céline vont devenir des spécialistes du bilan de couple « binational » ! Ils vivent aux Etats-Unis, mais le check-up a lieu cette fois en Grèce, pendant les vacances. Lui, devenu écrivain à succès, se verrait bien déménager à la rentrée pour retrouver son fils né d’un précédent mariage. Elle, qui s’occupe de leurs jumelles et à qui on propose un nouveau job impliquant un changement de résidence, se vit encore comme la « sacrifiée » du couple. Jesse, un brin macho, ne comprenant évidemment pas les velléités d’indépendance de la femme qu’il aime et à qui il pense tout apporter.
    Alors, pendant le trajet d’arrivée en voiture, sur la terrasse de la maison des amis, ou sur le chemin de l’hôtel, ça cause à n’en plus finir. Interminables face à face ou chacun déstabilise l’autre à tour de rôle. On est constamment sur le fil. Entre rupture et réconciliation. Entre Woody Allen et Cassavetes...
    Malgré des dialogues très (bien) écrits, le film saoule un peu par leur surabondance. Et quand arrive la fin de l’épisode « crise de la quarantaine », on se demande si on n’a pas juste assisté à un long bavardage. Ce qui devient un peu la marque de fabrique de Julie Delpy, pourtant bien sympa.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 juillet 2013
    BOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOORING
    Flore A.
    Flore A.

    34 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 juillet 2013
    De beaux paysages, un duo d'acteurs qui fonctionne à la perfection (les seconds rôles étant très bien aussi d'ailleurs !), des thèmes universels, des dialogues percutants, toujours justes, parfois très drôles, parfois plus amers ... Ce film ne fait pas dans l'originalité mais il le fait très bien !
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